mardi 31 décembre 2013

L'olivier (6) - Fessée toujours et découverte de la badine

Fessée et public
 
Le lendemain, rentrant du travail, je retrouve les deux copines installées comme la veille. Je regarde Julie en souriant.

— Julie, il va falloir que tu nous laisse un peu ensemble comme hier.

Julie au lieu de se lever me répond :

— Vous allez recommencer à fesser Marie comme hier ? Tu acceptes cela, ajoute-t-elle en se tournant vers Marie ?

Marie restant sans voix, je réponds à Julie.

— En fait Marie aime être fessée mais je crois qu’elle ne pensait pas être aussi bien servie. A ta question je déduits que tu nous as espionné hier soir.
— Je ne voulais pas, mais c’est le bruit qui m’a intrigué et ensuite je ne suis pas arrivé à m’arracher au spectacle. Tu ne m’en veux pas Marie ?

Marie est devenue toute rouge et fait non de la tête.

— Puise que tu as tout vu hier, tu peux rester, cela ne me dérange pas.

Je me garde bien de demander son avis à Marie, au contraire je lui fais signe de se préparer. Elle n’ose pas se rebeller ou peut-être est-elle heureuse de s’exhiber. En tout cas elle retire pantalon et culotte et s’installe en travers de mes genoux.

Je la fesse copieusement comme la veille. La principale différence est que je m’arrête de temps à autre pour regarder Julie. Celle-ci a les yeux fixés sur le derrière de sa copine, comme fascinée. Quand elle voit que je la regarde, elle rougit. Quand je termine la fessée et laisse Marie se reprendre, je me tourne vers Julie.

— Que penses-tu de cette fessée ? Le derrière de Marie est bien rouge non ?
– C’est fou, Marie doit avoir très mal. Comment peut-elle accepter ?
— Je vais te donner la réponse. Marie a bien sûr mal aux fesses, mais ce soir, dans son lit, elle va se masturber comme une folle et y trouver plein de plaisir. N’est-ce pas Marie ?

Marie qui vient de se relever devient toute rouge en m’entendant, ce qui vaut une réponse.

— Julie, c’est à la demande de Marie que je suis autoritaire et sévère, cela l’aide pour réussir. Tu peux le comprendre ?
— Honnêtement pour l’instant j’ai du mal à comprendre, me répond-elle.
— Je crois que je vais vous laisser terminer votre travail.

Je me retire donc pour lire dans le salon. Je vois bien que les deux filles ont une conversation animée dont j’imagine le sujet.

Vendredi
 
La semaine se termine, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Marie et la punition qui l’attend ce soir. Je me demande comment doser, je ne veux pas aller trop loin. C’est donc plein de pensées vagabondes que je rentre en fin d’après-midi.

J’ouvre la porte, pénètre dans la grande salle et pose mon sac. Un mouvement sur la terrasse attire mon regard. Marie est tranquillement installée dans un fauteuil en train de lire. Au temps pour moi qui m’attendais à la trouver, obéissant aux instructions claires que nous avions partagées, nue dans le coin du salon.

J’ouvre la porte fenêtre qui donne sur la terrasse, Marie tourne la tête vers moi. Je n’ai pas à me forcer pour exprimer ma colère.

— Marie, de qui te moques-tu ? On est vendredi à ma connaissance et la liste dans la cuisine indique sans conteste une faute qui mérite punition. Tu cherches les ennuis ? Tu vas les trouver…
— Mais, dit-elle essaye de trouver une bonne réponse, mais cette faute tu as compris que je ne l’avais pas faite. Tu m’as déjà puni et même devant Julie. Je ne croyais pas qu’elle comptait encore…
— Si elle est sur la liste et soulignée, c’est qu’elle compte, bien sûr. Plus que la faute fictive, c’est le mensonge qui compte. Je vois que tu veux faire la maligne. File te déshabiller dans ta chambre et revient vite, je perds patience.

Marie n’insiste pas. Elle court dans sa chambre. Je l’attends les bras croisés. Elle revient rapidement, nue. Je lui fais mettre les mains sur la tête et la regarde en silence. J’attarde volontairement mon regard sur sa poitrine. Ses deux seins ronds sont légèrement tirés vers le haut de par la position de ses bras. Les aréoles sont d’un rose soutenu et les tétons discrets démontrent qu’elle n’est pas excitée par la situation. Je regarde ensuite son ventre, son abondante touffe brune, taillées en triangle masque son sexe que l’on devine à peine. Je lui fais signe de se retourner et regarde maintenant ses fesses. La fessée de la veille au soir n’a laissé aucune trace sur les deux globes, traversée par la trace de bronzage qui marque les limites du bas de son maillot.

— Suis-moi.

Je me dirige d’un pas tranquille vers la bordure du jardin. J’entends derrière moi les pas de Marie puis plus rien. Je me retourne.

— Je t’ai dit de me suivre, arrête de traîner.
— Mais, on peut me voir.

Elle a une main sur son sexe et l’autre bras en travers de la poitrine.

— Ce n’est pas mon problème. Quand on choisit de désobéir on en paye toujours les conséquences.

Je m’arrête finalement devant la haie de noisetiers. Je sors un couteau de ma poche et coupe une branche puis la dépouille de ses brindilles et de ses feuilles. Je fouette dans le vide. Marie me regarde et pâlit de plus en plus.

— Regarde bien cette badine. Tu vois que sa partie la plus épaisse à l’épaisseur d’un doigt. J’ai tenu à ce que tu me suives car la prochaine fois que nous aurons besoin d’une badine tu te chargeras toi-même de la préparer. Je te conseille de fouetter dans l’air plusieurs fois pour vérifier sa solidité.

Je lui tends la badine pour qu’elle la prenne et nous retournons sur la terrasse. Une fois sur place je reprends la badine et la pose sur la table. Je m’assieds et fait signe à Marie de se mettre en travers de mes genoux. Une bonne fessée suit qui laisse deux fesses bien rouges. Marie finit par se redresser, en se massant les fesses. Je me lève aussi et prends la badine.

— Bon maintenant que tes fesses sont chaudes, tu vas pouvoir découvrir la badine. Penche-toi et pose tes mains à plats sur la table basse.

Dans cette position ses épaules sont légèrement plus basses que son derrière. Je lui fais légèrement écarter les jambes pour qu’elle soit bien stable.

— Voilà, c’est la position que tu devras prendre quand je te dirai de te préparer pour la badine.

Ne voulant pas la faire attendre plus, je lève le bras et abat d’un coup sec la badine en travers de ses fesses. Une ligne blanche apparait qui vire au rouge. Marie pousse un grand cri, se relève, porte ses mains à ses fesses et s’écarte de moi. J’attends tranquillement la badine à la main.

— Pitié, ne me frappe plus avec cette badine, dit-elle entre deux sanglots.
— Je n’avais pas l’intention de te donner plus d’un coup. Je ne serai pas toujours aussi gentil. Tu connais maintenant la badine et son effet. Va rejoindre ton coin.

Pendant une heure Marie reste au coin, montrant son fessier traversé par une belle ligne rouge. Je lui demande enfin de se retourner.

— Tu sais maintenant que la badine est la rançon des mensonges. Pour que tu médites sur cette leçon et te punir de ne pas t’être mis au coin pour m’attendre, tu resteras nue tant que la trace du coup de badine n’aura pas disparu. Cela t’obligera à regarder régulièrement cette belle trace et à méditer sur tes fautes. Va donc t’installer sur le pouf pour la suite.

Marie reçoit donc enfin les quelques coups de ceintures que sa faute justifie. Elle passe ensuite tout son week-end nue. La trace de la badine s’atténuant petit à petit. Je l’entendis appeler des amis pour décommander une sortie puis Julie pour lui dire de ne pas passer car elle ne se sentait pas bien. Cela me fit sourire.

Le dimanche après-midi, alors que Marie est à quatre pattes en train de laver la terrasse, la sonnerie retentit à l’entrée. Marie se fige en me voyant me diriger vers la porte. Je pose la main sur la poignée, laissant monter son angoisse, avant de lui dire d’aller dans sa chambre. C’est un voisin qui passe me demander un conseil.

samedi 7 décembre 2013

L'olivier (5) - Julie - Fessée en présence d'une copine


Julie

Les cours avaient finalement commencé à la fac et Marie était beaucoup plus occupée. Nos jeux s’espaçaient un peu. C’est pendant ces premières semaines de cours que j’ai fait la connaissance de Julie.


Notre première rencontre a eu lieu un soir. En rentrant du travail, j’ai vu que Marie travaillait sur la table de la terrasse avec une autre fille. En m’entendant entrer, Marie s’est levée et m’a présenté Julie comme une camarade de fac.


J’ai essayé de ne pas trop détaillé le corps de cette dernière quand elle s’est levée à son tour pour me serrer la main. Julie avait un corps de rêve comme on pense n’en voir que dans des magazines. La première chose que j’ai admiré a été son visage fin à la peau pale, entouré de cheveux blonds mi-longs et surtout éclairé par deux yeux bleus. Puis son sourire a attiré mon attention sur ses lèvres pulpeuses qui semblaient quémander un baiser. Le plus dur a ensuite été de ne pas attarder son regard sur sa poitrine qui tendait son chemisier ou sur la courbe de ses hanches mise en valeur par un jean collant.


Les présentations faites, Marie est allée me préparer mon verre traditionnel et je me suis installé dans mon fauteuil, la lecture du journal me donnant une contenance. Ce soir là j’ai relu certains articles plusieurs fois car mon regard, le plus discrètement possible, était attiré par Julie. Ses longues jambes, ses jolies fesses et ses seins tout était parfait. La vue de profil me confirmait qu’elle avait une poitrine affolante, ronde, ferme, épanouie.


C’est avec regret que je l’ai vue partir et je n’ai pu m’empêcher de fixer mon regard sur ses fesses pendant que Marie la raccompagnait vers la porte. Je suis certain que Marie avait compris l’effet que me faisait sa camarade.


Julie est revenu de plus en plus régulièrement. Elle a même dîner avec nous certains soirs, reprenant ensuite le travail avec Marie.


Le soir d’un jour particulièrement chaud et orageux comme on en a de temps à autre au début de l’automne j’ai entendu, en rentrant, des rires venant de la piscine. En m’approchant, j’ai constaté que Marie et Julie avaient décidé de profiter de la piscine. Je me suis installé tranquillement avec mon verre traditionnel et les ai regardées. Les deux filles semblaient bien s’amuser, jouant à s’éclabousser comme des enfants. Le spectacle m’amusais et me détendais moi aussi.


Un peu plus tard Marie est sortie de l’eau et a enroulé une serviette autour de son corps. Julie l’a suivi peu après. Au fur et à mesure que son corps sortait de l’eau, comme elle montait l’escalier, mes pensées de père amusé se transformaient en pensée beaucoup moins paternelles. Le haut de son maillot jaune d’or, bien que très décent, mettait en valeur sa poitrine. Mon regard est attiré par la peau dénudée du haut de ses deux beaux seins puis, chaque pas les faisant se balancer légèrement, il se porte sur leur forme parfaite et sur la trace qui marque l’emplacement des mamelons sur le tissu mouillé. Comme elle avançait, l’eau dégageait son ventre plat puis le bas de son maillot. Je savais que je ne devrais pas, mais je ne pouvais m’empêcher de regarder en bas de son ventre, le renflement qui marquait son pubis et sa fente que le maillot collant moulait délicatement. Quand elle s’est retournée pour prendre une serviette, j’ai regardé ses fesses que le maillot ne couvrait qu’à peine. Superbe, cette fille est vraiment superbe. Puis mon regard a croisé celui de Marie et j’ai vu à son sourire que je n’avais pas été discret.


Après le départ de celle-ci, Marie m’a expliqué que Julie n’arrivais pas du tout à s’habituer à la vie en cité universitaire, aux mauvaises conditions de vie, au bruit qui traversait les murs et, je l’ai compris à demi-mots, au nombre de personnes qui lui tournaient autour comme des mouches attirées par du miel. J’avais pour ma part une tendance à les comprendre.

Dérive et sanction


Notre vie était bien tranquille quand un soir, en regardant la liste dans la cuisine, j’ai remarqué une faute plus grave que d’habitude. Marie avait noté avoir perdu deux livres de cours, au prix élevé hélas. Je suis bien sûr obligé de souligner la ligne, signifiant par-là que le vendredi ses fesses payeront le prix de la faute.


Le lendemain matin, lors du petit déjeuner, j’ai demandé à Marie quels livres elle avait perdu. Quand je l‘ai vue rougir et s’embrouiller dans des explications confuses,j’ai compris qu’en fait elle n’avait rien perdu mais inventé une faute pour être punie plus sévèrement que d’habitude. Je savais, bien sûr, qu’elle appréciait les punitions au moins autant qu’elle ne les redoutait mais ce qu’elle venait de faire c’était mentir. Je ne pouvais pas le laisser passer et je l’ai quittée pour partir au travail en lui expliquant qu’on en reparlerait et que puisse qu’elle rêvait de fessée elle allait être servie.


A mon retour le soir j’ai trouvé Marie en train de travailler avec Julie sur la terrasse. Après un bonjour souriant à destination de Julie, je lui ai demandé :


— Excuse-moi Julie, mais nous avons commencé une discussion ce matin avec Marie que je dois terminer au plus vite. Peux-tu nous laisser quelques instants et aller lire dans sa chambre ?


Marie n’a pas pu cacher une réaction inquiète pendant que Julie acceptait et nous laissait. Je me suis alors tourné vers ma fille.


— Tu te souviens de ce que j’ai dit ce matin ?


Marie est restée sans voix et légèrement tremblante.


— Ne fais pas l’idiote. Tu rêves de fessées et tu vas être servie, disant cela je me suis installé sur une chaise que j’ai écartée de la table. Viens tout de suite, je suis certain que tes fesses te démangent.

— Mais, Julie est là, elle va entendre. Tu ne peux pas faire ça !

— Bien sûr que je peux. Tu vas me faire le plaisir de retirer immédiatement ton jean et ta culotte à moins que tu préfères que j’aille chercher ma ceinture…


Marie a fini par comprendre qu’elle n’avait pas le choix. Elle s’est levée, en jetant un coup d’œil vers la fenêtre de sa chambre qui était masquée par un voilage. Elle a porté les mains à sa ceinture et s’est contorsionnée un peu en retirant son jean moulant. J’ai constaté qu’elle avait choisi de retirer la culotte en même temps. Elle m’a donc offert une vue sur son buisson brun et bouclé. Elle s’est approchée de moi à petits pas. Je l’ai couchée en travers de mes genoux.


J’ai caressé un instant ses jolies fesses, encore bien blanches. Elles pointaient vers la fenêtre de la chambre. J’ai enfin entrepris de la fesser.


Je tenais à ce que ce soit une fessée mémorable. J’ai commencé doucement, les fesses prenant lentement de la couleur. Les claquements étaient néanmoins sonores. Au bout de quelques minutes qui ont déjà du sembler longues à Marie, je suis passé à la vraie fessée. A chaque claque ma main s’enfonçait légèrement dans ses fesses pourtant fermes et musclées. 


Les fesses rougissaient, les claquements étaient plus bruyants et rapidement la voix de Marie s’ajouta au spectacle. Soudain mon regard a remarqué un léger mouvement des voilages de la chambre. Julie, probablement attirée par le bruit, était en train de nous regarder. Elle devait avoir une vue imprenable sur les fesses de sa copine, maintenant rouge vif. Je maintenais ma cadence jusqu’à ce que les cris de Marie se transforment en sanglots. Je l’ai laissée reprendre son souffle puis lui ai dit de se rhabiller et d’aller se passer un coup d’eau sur la figure. Elle a eu quelques difficultés à fermer son jean, sans doute un peu trop serré pour le confort de son derrière.


Un peu plus tard, Marie est allée chercher Julie et les deux filles se sont remises au travail. Marie se trémoussait un peu sur sa chaise. Julie me jetait des regards interrogatifs que je faisais semblant de ne pas voir. Elle nous a quitté un peu plus tard sans un commentaire.

samedi 30 novembre 2013

Adulte et responsable, ou comment recevoir une juste punition sur ses fesses nues


Un frisson dans mon dos accompagne mes pensées.

Je me souviens de ce jour, il y a trois mois, où j’ai eu une discussion tendue avec Élodie et de ce qui s’en est suivi.

Élodie est ma cousine, elle a maintenant plus de dix-huit ans et vit chez nous.

La cause de notre dispute pourrait paraître futile. La veille je m’étais accrochée avec elle car sa chambre était dans un désordre indescriptible et voila que non seulement elle n’avait rien fait mais qu’en plus je recevais un courrier me signalant que son compte bancaire était à découvert.

« Arrive, tu vas y avoir droit. Une bonne fessée va t’apprendre à ne plus te comporter comme une gamine. »

Élodie s’était récrié, m’expliquant qu’elle était majeure et que c’était fini les fessées sur mes genoux. Notre dispute avait continué jusqu’au moment où je l’avait mise au défi de réfléchir comme une adulte.

« Élodie, tu vas monter dans ta chambre et réfléchir à ton comportement récent. Je veux te retrouver demain matin, au coin, les fesses nues et ta brosse en bois posée sur la table, prête à une punition d’adulte et non plus à une petite fessée. A moins que tout bien réfléchi tu penses n’être pas vraiment adulte… »

Élodie avait disparu dans sa chambre. Le lendemain, à ma grande surprise il faut l’avouer, je l’avais trouvée toue nue au coin en entrant dans la cuisine. Thomas, mon mari, qui me suivais en resta figé, la bouche entrouverte. La brosse était sur la table. Je l’ai prise et ai demandé à Élodie de se pencher sur la table. Elle avait le feu aux joues quand elle s’est retournée nous dévoilant le devant de son corps. Elle s’est installée, appuyée sur ses bras repliés, et nous offrant ses fesses. Je lui ai donné quelques bons coups de brosse, la faisant tressaillir et rougissant son derrière puis j’ai tendu la brosse à Thomas.

— Élodie a choisit d’avoir désormais de vraies punitions d’adulte.

Thomas semblait un peu perdu, mais il prit la brosse, posa sa main gauche sur le bas du dos d’Elodie et continua la punition. Ses premiers coups étaient hésitants mais, voyant qu’Elodie ne se débattait pas, il finit par une volée de coups rapides qui arrachèrent des cris et des larmes. Il s’arrêta tout de suite. Élodie se releva, les mains sur les fesses, cherchant à en chasser la douleur. Je lui dis qu’elle était pardonné et que je lui avancerais l’argent qui manquait sur son compte.


C’était il y a trois mois. Après cela Élodie avait fait attention.


Mais voila qu’hier un courrier est arrivé me signalant que j’avais été contrôlée en excès de vitesse par un radar. Je râlais dans la cuisine et pris Élodie a témoin de cette injustice.

— C’est du vol ! Leur seul but c’est de nous piquer de l’argent… Là je suis bonne en plus pour m’inscrire à un stage qui ne sert à rien, mais pas le choix, je ne peux pas risquer mes derniers points !
— Tu veux dire que tu as déjà perdu des points ?
— Oui, leur machine infernale, je ne la supporte plus !

C’est là qu’Elodie m’a eu par surprise.

— Dis, Nathalie, tu crois que tu te comportes en adulte ?

Face à mon silence elle a enchaîné.

— Tu te rappelle la dernière fois que j’ai fais n’importe quoi ce que tu m’as dis ? A propos des adultes et de leurs punitions… A moins que tu penses que tout est normal et rien de ta faute…

Et sur ce, elle est sortie de la pièce. Après cela des pensées ont tourné dans ma tête toute la nuit. Je sais bien au fond de moi que tout cela est de ma faute. Que je râle pour ne pas penser au fait que je suis idiote et que cet argent il est perdu par ma faute. Je me rappelle bien sûr de ma discussion avec Élodie et de la séance qui s’en est suivie. N’arrivant pas à dormir, je me suis levée tôt. Au lieu de mettre un peignoir, j’ai retiré ma chemise de nuit, j’ai pris la brosse en bois et je suis descendue.

La brosse est sur la table. Je suis nue, le nez pointant dans le coin de la cuisine. J’attends que le temps passe. Je suis sûre que Thomas va comprendre ce qu’il doit faire. J’ai un peu froid. Je me dis, pensée idiote, que mes fesses ne vont pas avoir froid longtemps.


Un frisson dans mon dos accompagne mes pensées.

samedi 23 novembre 2013

L'olivier (4) - Premier vendredi - La ceinture tombe sur des fesses nues

Le reste de la semaine a été sans histoire. Je dois reconnaître que je me suis très bien habitué à avoir mon petit déjeuner de servi à mon réveil et à me mettre les pieds sous la table le soir en rentrant de mes réunions. Marie semblait prendre plaisir à jouer les servantes attentionnées. Elle restait debout pendant mes repas, cherchant à devancer mes besoins. Elle s’installait à genoux, dans la position de soumise qu’elle semblait affectionner pendant que je sirotait mon whisky du soir. Elle parlait le moins possible.


Ce vendredi soir, alors que j’étais installé le verre en main sur la terrasse, j’ai remarqué que, contrairement à son habitude, Marie n’était pas restée auprès de moi. Elle s’est présentée un peu plus tard et m’a tendu une feuille de papier.


— Père, j’ai noté sur cette feuille toutes mes erreurs de la semaine. Je n’ai pas voulu vous déranger pour chacune d’entre elles.


Elle a pris position à genoux pendant que je lisais. C’était un journal sans compromission. Par exemple, en date de mercredi il était noté : « réveil à 6h15, un quart d’heure de retard, je ne dois pas traîner au lit ». La note suivante c’était « j’ai renversé du café, je dois être plus attentive ». Certaines fautes me paraissaient plus graves : « Je suis en retard sur mon programme de lecture car j’ai passé trop de temps sur le net ». A la fin de la liste, comme ajouté au dernier moment, « Mercredi, je me suis masturbée avant de m’endormir ». Cette dernière ligne me fit sourire.


— Je vois que mademoiselle se masturbe. C’est le fait de devoir attendre nue dehors sous l’olivier quoi t’a donné cette envie ?


Elle a hoché la tête.


— Donc quand je t’envoie méditer sur tes fautes, tu en profites pour fantasmer… mais revenons-en à la masturbation. Décrit-moi donc ce que tu fais pour que je puisse juger de la gravité.


Je me doutait bien que cette demande allait l’embarrasser et effectivement le rouge lui est monté aux joues.


— J’ai eu envie en me déshabillant. Je me suis allongée nue sur le lit et je me suis caressée.


Voyant que j’en attendais plus elle reprend.


— J’ai écarté un peu les jambes et je me suis caressée avec un doigt qui a remonté ma fente puis a joué autour de mon clito. Avec mon autre main celle que tu avais fouettée, je me caressais les seins. Le frottement de la pointe de mes seins dans ma paume si sensible me faisait bizarre.

— Tu t’es contenté de te caresser ou tu as joui ?

— J’ai joui, a-t-elle ajouté d’une petite voix. Le plaisir a soudain explosé quand j’ai enfoncé un doigt dans mon sexe. Je sais que c’est mal. J’ai honte d’en parler.


J’ai laissé un instant de silence pour avoir son attention avant de parler.


— Je vais peut-être te surprendre, mais de mon point de vue, te donner du plaisir dans ton lit n’a rien de honteux ou de répréhensible. A ton âge, se caresser et y prendre du plaisir c’est tout simplement normal, surtout quand on n’a personne sous la main pour prendre du plaisir à deux. Tu devrais même acheter quelques jouets utiles pour te procurer encore plus de sensations… Tu comprends ce que je t’explique ?

— Euh, oui. Si je comprends bien, tu veux bien que je m’achète un vibro. Je n’ai jamais osé…

— Un vibro, un gode, ce dont tu as envie. A ton âge on a besoin de sexe pour être bien.


Je lui ai souri.


— Pour le reste de cette liste, une seule faute grave : ne pas avoir assez travaillé tes cours. Je pense que quelques bons coups de ceinture sur les fesses vont t’aider à faire mieux la semaine prochaine. Ce que je te propose pour le futur, c’est d’afficher une liste dans la cuisine et d’y noter tes fautes immédiatement. Je soulignerai les fautes graves. S’il n’y a ne serait-ce qu’une faute grave, dès ton arrivée le vendredi tu te mettras nue au coin pour méditer sur tes fautes. Tu resteras le nez collé au mur jusqu’à que je te dise de venir. Va donc dans ta chambre te déshabiller puis va te mettre au coin pour prendre l’habitude.


Pendant que Marie sortait de la pièce, je me suis remis à déguster mon whisky tout en pensant à notre relation qui devenait de plus en plus, comment dire, intéressante. Marie semblait apprécier que j’accepte le rôle qu’elle m’attribuait dans ses fantasmes et moi je devais reconnaître que cela collait parfaitement aux miens. Le seul point délicat et il faut le dire frustrant, c’était le côté sexuel. Je n’avais pas du tout l’intention d’avoir avec Marie des relations incestueuses et tout cela me laissait par moment dans un état…


Marie était revenue, nue, et s’était installée au coin. J’avais corrigé sa position, lui demandant de garder les bras le long du corps et non les mains sur la tête. Elle devait pouvoir tenir la position sans efforts. Quand je tournais la tête je voyais ses jolies fesses. Je la laissais attendre et en profitais pour lire un peu puis je me suis installé au bar pour manger ce qu’elle m’avait préparé.


C’esr seulement plus de deux heures plus tard que je me suis intéressé à elle. J’avais disposé un pouf au milieu de la pièce avec un coussin dessus. Je lui ai demandé de s’allonger, les mains posées sur le sol devant elle. L’installation me semblait parfaite, ses fesses étaient offertes. Ses jambes écartées et légèrement pliées au niveau des genoux rendaient la position encore plus humiliante. J’étais certain qu’elle savait que son sexe était parfaitement visible. Elle m’a suivi des yeux quand je suis allé prendre la ceinture puis suis revinu vers elle en lui montrant.


— Je pense que six coups de ceintures suffiront pour cette fois.


Dans nos positions respectives, la ceinture a pris de la vitesse en s’abattant sur sa cible. Les deux fesses se sont enfoncées sous le coup, le claquement a retenti suivi d’un grand cri. Marie a agité les jambes et les bras mais ne s’est pas relevée. Une bande rouge vif lui traversait maintenant les fesses. Je lui ai laissé le temps de reprendre ses esprits avant d’assener le coup suivant, un peu plus bas. Il lui a bien arraché sur un nouveau cri.


— Je pense que tu comprends l’importance du travail scolaire.

— Oui, je travaillerai plus la semaine prochaine, c’est promis.


Un nouveau coup est tombé. Un nouveau cri a retenti. Elle s’est frottée les fesses avec les mains. Je l’ai laissé faire. Quand la cible a été de nouveau dégagée, j’ai porté le quatrième coup en bas des fesses, à la jonction avec les cuisses. Cette fois ci son cri s’est transformé en sanglots. J’ai un peu hésité mais, constatant qu’elle ne bougeait pas, je lui ai donné les deux derniers coups, l’un sur le haut des fesses et l’autre au beau milieu, là où le premier coup était tombé. Cela a bien sûr relancé cris et larmes.
Je lui ai ensuite demandé de terminer la soirée au coin avant de l’envoyer se coucher sans manger. Après cette punition, l’habitude était prise. La liste des fautes était affichée dans la cuisine et je la regardais chaque soir. Pendant deux semaines toutes les erreurs notées par Marie ont été vénielles et valaient à peine de s’y intéresser. Je l’ai puni chaque vendredi d’une fessée en travers de mes genoux. J’ai constaté à ses occasions qu’elle appréciait autant que moi ces séances où elle se soumettait, fesses nues, à mon autorité.

samedi 9 novembre 2013

L'Olivier (3) - La blouse et l'olivier

Quand je suis rentré du travail, au soir de cette première fessée, elle s’est précipitée vers moi pour m’accueillir dès que j’ai franchi la porte. Elle était vêtue d’une blouse blanche, une blouse de laboratoire en coton comme en possède la plupart des étudiants. Elle est allée pendre ma veste et pendant ce temps j’ai constaté que le salon brillait. Il avait eu le droit au grand ménage en mon absence.

Je me suis servi mon verre de whisky et me suis installé dans mon fauteuil au bord de la piscine. Marie est venue immédiatement s’agenouiller à côté de moi, les fesses posées sur les talons, le corps bien droit et les mains à plat sur ses cuisses nues. Elle m’a demandé si j’avais besoin de quelque chose, en gardant les yeux baissés dans une position de soumise qu’elle avait dû trouver sur le net.

J’ai décidé d’entrer dans son jeu et lui ai demandé si elle avait des fautes à m’avouer. Comme elle restait silencieuse, mon regard a parcouru sa blouse, non pas pour détailler la forme de ses seins pourtant bien mise en valeur, mais pour s’attarder sur quelques taches.

— Marie, cette blouse est tachée. Crois-tu que quand je rentre du travail j’ai envie d’être accueilli par une fille qui porte des vêtements sales ?
— Non, père, a-t-elle murmuré tout en regardant les dites taches. Je vais aller tout de suite me changer.

Comme elle esquissait un mouvement, je l’a retenue.

— Je ne t’ai pas dit de bouger. Peux-tu m’expliquer d’où viennent ces taches ?
— C’est en lavant le carrelage du salon que je me suis éclaboussée.
— Donc tu n’es même pas capable de laver par terre sans faire attention. Je vois que ton éducation est effectivement à revoir. As-tu une excuse à ton comportement ?
— Non père, j’ai été négligente, je mérite d’être punie. Dois-je aller chercher ma brosse ?
— Tourne-toi et découvre tes fesses que je vois leur état.

Quand elle s’est penchée, toujours à genoux et me tournant le dos, la blouse est remontée légèrement mais pas suffisamment pour dénuder son postérieur. Elle s’apprêtait à saisir l’ourlet pour dégager ses fesses quand une idée m’ai venue.

— Marie, retire donc cette blouse pleine de taches, tu ne comptes tout de même pas passer la soirée avec, non ?
— Mais…
— Mais quoi encore ?
— C’est que…

Elle a marqué une pause et repris à voix basse.

— C’est que je suis toute nue sous ma blouse.

Je ne dirais pas que c’était une surprise. A mon âge on est parfaitement capable de faire la différence entre les mouvements d’une poitrine libre sous une blouse et ceux d’une poitrine maintenue. C’était pour voir sa réaction à l’idée de montrer sa poitrine que je lui avais fait cette demande. J’ai choisi néanmoins de jouer les pères offusqués.

— Comment cela nue sous ta blouse ? Tu veux dire que tu te promènes depuis des heures sans le moindre sous-vêtement ? Tu n’as donc aucune pudeur ?

Je ne lui ai pas laissé le temps de répondre.

— Enlève donc cette blouse tout de suite. Et ne m’explique pas que tu es gênée.  Quand on se promène sans culotte c’est que l’on aime montrer ses fesses.

Elle m’a regardé, surprise visiblement pas la tournure des événements. Elle a rougi puis commencé à déboutonner sa blouse lentement. Quand tous les boutons ont été ouverts, je me suis saisi de l’arrière de la blouse, l’aidant à retirer les manches, et j’ai posé ensuite celle-ci à coté de mon fauteuil. Marie était maintenant nue devant moi, de trois-quarts dos. Elle avait vraiment un corps splendide, une taille étroite qui mettait en valeur ses belles fesses. Cela ne rendait que plus visible les marques bleuâtres qui les ornaient. La brosse avait laissé des traces persistantes.

Je lui ai montré l’olivier d’un signe de la main. C’est un vieil arbre noueux, isolé, qui me plaît beaucoup car il apporte une touche d’authentique dans le jardin.

— Vu l’état de tes fesses, je vais devoir trouver une alternative à la fessée que tu mérites. En attendant va de mettre à genoux devant l’olivier et médite un peu sur tes bêtises, mains sur la tête bien sûr.

Je l’ai regardée se relever et s’éloigner lentement. Chaque pas entraînait une ondulation qui lui remontait le long du corps. J’ai aussi remarqué qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de jeter des regards sur les côtés. Elle semblait très consciente de sa nudité et inquiète à l’idée d’être vue. Son hésitation quand est venu le moment de s’agenouiller devant le tronc du vieil arbre ne m’a pas surpris. Elle venait de comprendre que dans cette partie du terrain, recouverte de gravillons, s’agenouiller n’allait pas être très confortable.

Après avoir cherché une idée dans la maison, je suis ressorti et ai posé à côté de moi une ceinture en cuir, large et épaisse. Je venais de constater que je manquais d’instruments adaptés aux punitions. Je me suis installé dans mon fauteuil et ai rêvassé tout en regardant Marie qui s’agitait légèrement au pied de son arbre. Elle semblait avoir de plus en plus de mal à tenir la position.

Je me suis finalement décidé à l’appeler. Elle s’est relevée et dirigée vers moi en gardant les mains sur la tête. Cette très bonne initiative m’a permis d’avoir une vue dégagée sur le devant de son corps qu’elle me dévoilait pour la première fois aussi clairement. Mon regard a tout d’abord été attiré par ses deux beaux seins ronds. Ils bougeaient doucement au rythme de sa marche. Elle avait vraiment une superbe poitrine que l’on aurait envie de caresser.  Plus bas un petit buisson de poils bruns, bien taillé en triangle, cachait son sexe. Il était comme encadré dans un triangle de peau blanche que son maillot de bain avait laissé protégé du soleil.

Quand elle s’est arrêtée près de moi j’ai vu que son regard se portait sur la ceinture.

— Belle ceinture n’est-ce pas ? Vu l’état de tes fesses, il va falloir trouver un autre objectif. Tes cuisses peut-être ? Il parait que l’intérieur des cuisses est tout particulièrement sensible. Mais d’autres parties de ton corps sont sans doute encore plus sensibles…

Je l’ai laissé y réfléchir un peu, tout en regardant ses seins en souriant. Je voyais l’inquiétude monter en elle. Bien sur que je n’avais aucunement l’intention de lui fouetter la poitrine mais je me doutais qu’elle avait passé beaucoup de temps sur internet et que donc l’idée allait lui en venir. En fait mon choix était fait.

— Je vais être gentil, si tu me prouves que tu sais être courageuse. Je vais me contenter de claquer la paume de ta main gauche. Tu veux bien me la tendre ?

Sur ces mots je me suis levé et j’ai pris la ceinture. Marie a tendu sa main devant elle, la paume ouverte.

— Très bien, je vois que tu as compris. Si tu prends ta punition sans retirer ta main, je ne serais pas obligé de te punir ailleurs.

Je l’ai regardé en levant la ceinture. J’ai vu qu’elle serrait les dents. J’ai alors claqué brusquement sa paume avec la ceinture. Son bras a tremblé mais sa main est restée en place. Sa paume a viré au rouge.

J’ai préparé le coup suivant, la regardant dans les yeux, et j’ai abattu la ceinture. Elle a poussé un cri, son bras a tremblé encore plus. Des larmes s’étaient formées dans ses yeux. J’ai claqué une troisième fois la paume qui était maintenant tuméfiée. Elle a poussé un autre cri et une larme s’est mise à couler sur sa joue. Elle na pas pu s’empêcher d’agiter la main comme pour en chasser la douleur.

— Remet la main en place tout de suite.

Par ce qui était visiblement un gros effort de volonté, elle m’a offert de nouveau la paume. Tout son bras tremblait légèrement.

— Parfait. Je vois que tu as du caractère. Pour te récompenser nous en resterons là. Va donc me préparer le repas.

Marie ne se l’ai pas fait dire deux fois. J’ai donc fini tranquillement ma soirée, servi par une fille nue qui se frottait la paume dès qu’elle en avait le temps.

mercredi 30 octobre 2013

L'olivier (2) - Première vraie fessée

Le lendemain, en me réveillant, j’ai entendu du bruit venant de la cuisine. Je me suis levé et ai enfilé un peignoir en me disant qu’un bon café me ferait du bien. Je repensais aussi à notre discussion de la veille.

En entrant dans la cuisine, j’ai eu la bonne surprise de voir que ma tasse était mise sur la table, avec serviette et cuillère, et qu’une bonne odeur de café flottait. Marie s’est tournée vers moi en m’entendant et m’a souri. Elle était vêtue d’une chemise de nuit en coton blanc, assez épaisse et qui se terminait à mi-cuisse. J’ai constaté qu’elle avait rangé notre vaisselle de la veille, ce qui était une grande première. D’habitude c’était moi le premier levé et il faut le reconnaître Marie n’aidait pas beaucoup.

Elle m’a fait signe de m'asseoir et m’a servi du café. Elle m’a regardé boire, debout, comme une servante attentionnée regarderait son maître. Quand j’ai fini, elle a débarrassé et lavé le bol puis s’est tournée vers moi.

— Tu vois, rien que le fait d’avoir discuté avec toi me fait du bien. Je fais des choses utiles au lieu de traîner au lit.

Elle s’est tue un instant puis a repris me regardant.

— Tu veux bien être le père sévère dont j’ai besoin pour me sentir bien ?

J’ai dû hocher de la tête en signe d’approbation car elle a enchaîné.

— Oh, merci. J’aimerai que tu fasses une chose pour commencer. Pour remettre les pendules à l’heure.

Elle est sortie de la pièce et est revenue quelques minutes plus tard avec sa brosse à cheveux en main, cette même brosse en bois qui lui servait la veille. Elle me l’a tendue.

— S’il te plaît, donne-moi une bonne correction pour toutes les bêtises que j’ai faites et qui sont restées impunies.

Ayant compris son attente, j’ai écarté ma chaise de la table pour lui laisser de la place. Elle est venue d’elle-même s’allonger en travers de mes genoux. En se baissant ses mains se sont saisis du bas de sa chemise de nuit et l’ont relevé. Elle n’avait pas mis de culotte. Ce sont deux fesses nues que j'avais maintenant sous les yeux, de belles fesses bien formées, musclées mais pas trop. Tout sauf des fesses de petite fille.

J’ai posé la brosse sur la table et commencé par la fesser à main nue. Tous les quelques coups je caressais ses fesses dont j'appréciais la fermeté et la douceur. Elle se laissait faire. A la couleur qui passait du rose clair au rose plus soutenu, je savais qu’elle devait sentir ce début de fessée mais elle ne disait rien, ne réagissait pas. Je pense qu’elle savourait l’instant. J’ai décidé que le moment était venu de frapper plus fort. J'ai enchaîné plusieurs tapes sur la même fesse qui a viré au rouge avant de changer de coté. Je sentais son corps se tendre un peu et le ritrhme de sa respiration a changé.

Je me rappelle encore la sensation que me donna ce début de fessée. Je ressentais à quel point Marie s’abandonnait, me faisait confiance, s’offrait en offrant ses fesses. Sa nudité, sa position, tout concourait à me donner un sentiment de puissance mais aussi de responsabilité. Instant magique que cette première fessée.

Après une série particulièrement appuyée, elle a lâché un premier gémissement. Je lui ai caressé de nouveau le derrière qui était maintenant rouge et chaud. Une nouvelle série et elle a commencé à agiter ses jambes. Je lui ai alors demandé, d’une voix que je voulais sévère, d’arrêter de gigoter tout en lui claquant la peau tendre du haut des cuisses. Elle a tendu ses jambes, serré ses fesses, visiblement elle cherchait à obéir.

J’ai repris la fessée, ne retenant plus mon bras. Le bas de son corps est devenu progressivement rouge, du haut des fesses jusqu’à mi-cuisse. Elle ne pouvait plus s’empêcher de s’agiter, elle poussait de petits cris.. Ses jambes bougeaient en tous sens, surtout quand ma main s'abattait sur ses cuisses.

J’ai arrêté de la frapper et lui ai expliqué que j’en avais marre qu’elle bouge comme une gamine. Déplaçant ma jambe, j’ai coincé les siennes entre les deux miennes et l’ai repositionnée pour que ses fesses soient bien offertes. J’ai alors saisi la brosse et l’ai posai sur sa peau. Avec mon bras gauche je la tenait bien serrée pour qu’elle ne bouge pas. Je la laissais reprendre son souffle avant le final.

Quand je l’ai sentie prête, j’ai levé la brosse et l’ai claquée sur une fesse puis sur l’autre, régulièrement. Je lui ai immédiatement arraché des cris. J'ai enchaîné néanmoins une vingtaine de coups avant de m’arrêter. Je l’ai finalement laissée sangloter en travers de mes genoux puis je l’ai aidée à se redresser.

Elle se tenait maintenant à côté de moi. Ses jambes flageolaient un peu. Des larmes coulaient de ses yeux. Ses mains s’agitaient. Elle m’a regardé et n’a eu qu’un mot : « merci ». Puis elle est allé d’elle-même s’installer dans un coin de la cuisine, a roulé le bas de sa chemise pour dégager ses fesses et a posé ses mains sur sa tête.

Quand je suis revenu de ma toilette, habillé pour partir, elle était toujours dans la même position, les fesses rouges offertes aux regards. Je l'ai appelée et lui ai fait signe de s'asseoir sur mes genoux. Nous avons discuté, serrés l’un contre l’autre dans un câlin père fille comme nous n’avions pas eu depuis bien longtemps. J’ai rapidement compris qu’elle avait dû réfléchir depuis longtemps car elle m’a expliqué qu’elle allait maintenant aider à la maison et bien sur qu’elle comptait sur moi pour surveiller son travail à la fac. Elle m’a précisé, pour le cas où je n’aurais pas compris sans doute, qu’elle s’attendait à être punie si tout n’était pas parfait.

dimanche 27 octobre 2013

L'olivier (1) - Prologue et Découverte

Prologue



Je roule tranquillement sur la petite route sinueuse qui relie le village à l'agglomération montpellieraine. Au loin, j’aperçois la plaine côtière et ses vignes, les étangs et derrière eux la mer. Une bonne centaine de mètres de dénivelé suffit à donner une vue magnifique sur la Méditerranée.


Un dernier virage et j’arrive en vue de ma maison. Je l'ai baptisée « Villa de l’olivier » en référence au très vieil olivier qui trône dans le jardin. La façade coté rue est assez sobre avec de petites fenêtres et je me gare à l’ombre de pins. Vue du nord la villa est banale mais coté sud elle s’ouvre en U autour d’une piscine et la pente naturelle du terrain dégage une superbe vue sur la mer. C’est entre la piscine et la mer que trône l’olivier. Cette villa et son grand terrain sont mon havre de paix. Une paix qui se paye chaque jour par un peu de route mais qui me garantit la tranquillité dont j’ai besoin.


Mon travail comme consultant me rapporte suffisamment pour ne pas me priver et depuis mon divorce, il y a bientôt dix ans, je profite de la vie sans avoir de compte à rendre à personne. Je vivais seul mais ma fille Marie est venue installée chez moi. Depuis notre divorse elle vivait chez sa mère mais ses études de médecine l’ont amenée à chercher à se loger à Montpellier. Difficile pour moi de ne pas lui proposer de prendre une des chambres libres.


En sortant de la voiture je repense à tous les changements que cette arrivée a produit dans ma vie. Comment aurais-je pu deviner que la villa allait se peupler et ma vie ressembler à un conte pour adultes ?


Découverte



Dès le premier jour nous avions décidé de continuer à mener chacun notre vie. Marie avait choisi une des chambres qui donnent sur la piscine. Nous étions heureux de manger parfois ensemble mais n’en avions surtout pas fait une obligation. Marie me semblait très heureuse d’avoir autant de liberté et moi je m’habituais progressivement à ce changement.


En cette fin du mois de septembre, les cours n’avaient pas encore repris. Marie sortait souvent rencontrer des amis, rentrait tard. Moi, mon travail entraînait un peu plus de déplacements que je ne le souhaiterais.


Je  suis renté d’un déplacement en début d’après-midi. Une réunion s’était terminée tôt que prévu et j’avais pu prendre un avion en avance. J’avais fait la route de l’aéroport à la villa avec le sourire et me réjouissais par avance d’un moment de détente au soleil.


J’ai ouvert la porte d’entrée et pénétré dans la pièce principale de la villa. Elle est à la fois salon et salle à manger. Des fauteuils en cuir beige très clair entourent une table basse en verre. Une table, en verre elle aussi, marque le coin salle à manger. Un bar complète l’agencement de la pièce. La grande pièce a des murs blancs et un décor discret. Ses les portes fenêtres donnent sur une grande terrasse bordée par la piscine et, à l’horizon, derrière l’olivier, la mer. J’ai posé ma petite valise cabine et ouvert en grand la fenêtre.


Comme chaque jour, j’ai commencé par aller me servir un verre de whisky au bar puis me suis dirigé vers la terrasse pour profiter du beau temps. Je sais que boire un petit verre régulièrement n’est pas une excellente habitude mais ce n’est pas un péché si grave. Un bruit étrange attira alors mon attention. J’ai entendu comme un claquement assez régulier. J’ai tendu l’oreille. Le bruit s’est arrêté un instant puis a repris.


Curieux, le verre à la main, je suis passé sur la terrasse. Le bruit semblait venir de la chambre de Marie. J’étais intrigué car je me croyais seul à la maison, à cette heure Marie étant le plus souvent en ville. Je suis allé regarder à la porte vitrée de la chambre. Malgré les légers reflets sur la vitre, je ne pus alors avoir aucun doute sur le spectacle qui s’offrait alors à moi.


Marie était nue, à genoux sur le sol au pied du lit. Son corps était écrasé sur la couverture. Cambrée, ses fesses étaient comme offertes. Son bras gauche était tendu vers la tête du lit et elle empoignait de la main la couverture. Mais ce qui m’a surpris le plus c’est que sa main droite tenait sa brosse à cheveux et l'abattait régulièrement sur une fesse puis sur l’autre.


C’était cela l’origine du bruit. Marie était en train de se fesser seule dans sa chambre et elle y mettait du sien à en croire la couleur rose de ses deux hémisphères.


Je suis resté figé par ce spectacle et n’ai pu m’empêcher de ressentir une excitation que j’ai essayé de combattre. Il faut dire que Marie est une belle brune élancée et a tout ce qu’il faut pour attirer le regard des hommes. Dans cette position il était difficile de ne pas admirer son derrière, deux belles fesses rondes séparées par une raie profonde. Les jambes légèrement écartées permettaient de deviner dans l’ombre les trésors qu’une fille se doit normalement de cacher.


J’ai bu une gorgée de whisky. J’avais du mal à m’écarter et la laisser à ses jeux et à ses fantasmes. Est-ce un bruit ou une ombre, je ne sais, mais comme je commençais à m’éloigner, Marie a tourné la tête et nos regards se sont croisés.



Je m’étais installé sur la terrasse, dans mon fauteuil favori, mon verre à portée de main sur une table basse, mon regard sur la ligne d’horizon. Je pensais bien sûr à ce que je venais de voir, me disant qu’il valait mieux pour notre tranquillité à tous les deux que nous n’en parlions pas. Je ressentais une certaine gêne à avoir troublé son intimité et une légère excitation tant ce spectacle répondait à un de mes fantasmes. Dans mon esprit les fesses rouges de Marie se superposaient avec bien d’autres paires de fesses que j’avais contemplées sur le net, rouges, très rouges, marquées, parfois striées des trace de la célèbre cane anglaise.


Marie m’a finalement rejoint. Elle avait enfilé un jean blanc et un tee-shirt. Elle s’était servi un verre de rhum orange. Nous nous sommes souris sans parler. Elle s’est installée sur une chaise longue et a porté son regard sur l’horizon en buvant lentement.


— Excuse-moi pour tout à l’heure, a-t-elle dit, je ne pensais pas que tu rentrerais si tôt.
— C’est moi qui m’excuse, je n’aurais pas dû aller regarder comme cela dans ta chambre.
— Enfin, c’est peut-être mieux comme cela, pas de raison que j’ai des secrets pour toi.


Elle s’est  tue. Je me suis rendu compte qu’elle réfléchissait à la manière de s’expliquer. Elle a bu une bonne gorgée et repris.


— Je ne sais pas si je suis normale, mais je rêve de fessées. Je rêve d’être soumise à des punitions. De temps en temps je craque et je fais ce que tu as découvert.


Elle a soudain ri, d’un beau rire clair.


— Je suis dingue non ? Prendre du plaisir à me claquer les fesses avec ma brosse…


Je suis resté silencieux.


— Tu n’es pas choqué ?
— Tu sais, ce n’est pas bien grave comme fantasme que de rêver de fessées et tu es loin d’être la seule à trouver l’idée excitante. Tant que tu n’as que cela à m’avouer je suis plutôt rassuré et en aucun cas choqué.


Soudain elle m’a regardé et a rougi avant de tourner la tête.


— Autre chose à m’avouer ?
— Oui, d’une voix plus faible, oui.


J’ai attendu la suite. Elle s’est tournée vers moi mais n’a pas osé croiser mon regard.


— Depuis que je suis ici, dès que tu me fais une remarque je fantasme. Je rêve que tu me demandes de me préparer pour une bonne fessée. Puis je m’imagine en travers de tes genoux.
— Tu en rêves ou tu en as envie ?
— J’en ai envie. J’ai envie que tu t’occupes de moi,  que tu me punisses quand je n’obéis pas. J’ai envie que tu me prennes en main, que tu me surveilles, que tu me dises ce que je dois faire.


Elle s’est tue un instant puis a repris.


— Je dois être folle, mais j’ai envie que tu sois autoritaire et exigeant. J’ai envie de me soumettre à ton autorité, de savoir que mon père m’aime mais ne me pardonnera aucune erreur. Qu’il n’hésitera pas à me punir sévèrement pour mon bien.


Après une pareille déclaration, je n'ai pu m’empêcher de repenser à notre passé, au nombre de fois où je ne m’étais pas occupée d’elle, où j’avais annulé des sorties avec ma fille sous prétexte de travail. J’avais laissé mon ex-femme élever ma fille seule, il me fallait bien l’admettre.


J’ai senti soudain qu’elle avait besoin de moi. J’ai compris qu’au-delà du fantasme, elle me reprochait de n’avoir jamais pu compter sur une autorité paternelle. Je n’ai voulu pas la laisser tomber une fois de plus. J’aime à croire qu’à cet instant, tournant dans notre relation, ce n’est pas mes fantasmes qui prirent le dessus et me guidèrent dans mon choix.


— Si c’est vraiment ce que tu veux, je suis d’accord. Mais je te demande d’y réfléchir encore cette nuit.
— Merci.

La fin de journée s’est déroulé sans histoire. Marie essayait de devancer le moindre de mes souhaits et d’être une fille modèle ou plutôt ce qu’elle imaginait être le comportement d’une fille modèle. De mon coté je la regardais, probablement comme je ne l’avais pas regardée depuis longtemps. Je découvrais une fille plus mure que je ne le pensais, une jeune femme décidée. Je me posais aussi plein de questions sur l’échange que nous venions d’avoir. Cet échange et le comportement de Marie ne montraient que sans aucun doute Marie partageais avec moi des fantasmes de soumission. Mais j’étais son père. Est-ce que je saurais trouver l’équilibre entre la satisfaction de sa volonté d’être encadrée, guidée, punie si besoin, et le risque que notre relation prenne une tournure sexuelle, ce que je ne voulais à aucun prix ?