mercredi 14 janvier 2015

L'Olivier (11) - Mauvaises notes

Quand je rentre je trouve les deux filles sur le canapé du salon. Assises sur le bout des fesses, le dos légèrement voûté, se tenant par la main, la situation n’est clairement pas normale.

Marie porte un de ses jeans blancs habituels mais Julie porte une petite jupe courte qui l’oblige à serrer les jambes. Je me campe devant elles et les regarde.

— Alors, que se passe-t-il ?
— On a reçu nos premières notes, dit Marie en me regardant.
— Elles sont très mauvaises, ajoute Julie, la tête baissée.
— Si ça continue comme cela je vais rater mon semestre.
— Moi aussi et ce n’est pas possible, il faut faire quelque chose, enchérit Julie, tête toujours baissée comme si elle n’osait pas croiser mon regard.

Je regarde les deux filles en réfléchissant. Pour Marie il faut que je choisisse la sévérité de la punition, mais il est très clair que ses fesses vont rougir avant peu. Mais que faire pour Julie. Je comprends parfaitement qu’elle souhaite que je m’occupe d’elle aussi. Est-ce que je dois lui demander de me montrer ses fesses ? Je décide que non.

— Marie, je crois que la badine s’impose. Va donc chercher mon Opinel avant de te préparer.

Pendant que Marie qui a enfin lâché la main de Julie s’en va, je pose ma main sous le menton de celle-ci pour lui relever la tête et enfin croiser son regard.

— Julie, tu veux que je te punisse toi aussi ?
— Oui, je sais que j’en ai besoin.
— Pour un cas pareil Marie va recevoir une bonne fessée puis la badine sur ses fesses puis finir la soirée au coin. Tu veux l’accompagner ?
— Oui, dit-elle d’une voix peu assurée.
— Comme tu n’es pas ma fille, je tiens à préserver un peu ta pudeur. Tu vas donc aller immédiatement dans ta chambre mettre la culotte qui découvre le plus tes fesses.

Julie hésite avant de répondre puis se lance.

— Je porte déjà un string, je vais pouvoir le garder, c’est cela ?
— Oui, parfait.

Marie est revenue et se prépare, retirant son bas et exposant ses fesses puis retirant le haut avant d’attendre. Elle sait que pour les faute graves elle doit se mettre nue.

Julie se lève lentement et retire sa jupe. Elle offre aux regard son ventre couvert d’une petit triangle de dentelles. Je pensais l’arrêter à ce stade mais comme je reste immobile en la contemplant, je ne sais ce que Julie comprends. Elle porte les mains aux boutons de son chemisier et commence à les ouvrir. Je sais que je devrais l’arrêter, mais je n’arrive pas à m’y astreindre. Elle me regarde dans les yeux en retirant le chemisier qui va rejoindre sa jupe au sol. Son soutien-gorge est assorti à son string. Il met en valeur plus qu’il ne cache sa poitrine. Quand elle retire une à une les bretelles, les glissant sur ses bras nus, le temps semble ralentir. Elle baisse les bonnets et libère ses seins. Deux superbes seins, ronds comme des pamplemousses, qui s’affaissent à peine. Des aréoles très pales entourent des tétons plus foncés et tendus. Cette poitrine que j’imaginais en rêve depuis des mois est nue devant moi et je ne suis pas déçu. Quand mon regard remonte enfin vers ses yeux elle a un petit sourire comme complice. La magie de l’instant se rompt lorsqu’elle va se mettre à coté de Marie.

— Marie tu expliqueras à Julie comment on prépare de bonnes badines comme je te l’ai montré. Le noisetier vous attend.

A travers les fenêtres je les suis des yeux. Marie semble très consciente de sa nudité, Julie beaucoup plus détendue. Je vois qu’elles parlent ensemble. Marie est agitée et Julie calme. Quand elles reviennent vers moi, chacune tient sa badine à la main.

— Parfait, comme Marie te l’a sans doute expliqué la badine est un instrument plus redoutable que le martinet. Mais le travail à l’université est une chose que vous devez prendre au sérieux et je suis sûr que des fesses douloureuses quelques jours vous aideront à vous en souvenir. Je pense que trois coups suffiront pour cette première fois. En place Marie.

Elle s’installe tremblante, ses fesses sont tendues vers moi. Je commence par lui appliquer quelques bonnes claques sur les fesses. Elle remue un peu pendant que je chauffe progressivement tout son postérieur. Quand je juge le moment venu je lui dis :

— Respire lentement et détend toi, des fesses détendues te mettront d’avoir un peu moins mal. Tu me diras quand tu es prête.

La badine à la main j’attends patiemment que Marie me fasse signe. Un timide « c’est bon » entraîne le premier coup, la première marque rouge et le premier cri. J’attends tranquillement la regardant agiter les fesses. Elle finit par comprendre que j’attends son signal. Le « c’est bon » est beaucoup plus tremblant. La seconde marque apparaît un peu plus bas que la première. Marie ne peut pas s’empêcher de se frotter les fesses de la main. Je la laisse faire et en profite pour regarder Julie. Sa badine à la main elle semble comme fascinée par le spectacle.

Le « c’est bon » émis dans un demi sanglot entraine le troisième coup. Je l’ai donné dans le bas des fesses afin qu’il soit ressenti en position assise. La zone est plus sensible et Marie pousse un cri avant de se redresser et de nous offrir le spectacle d’une jeune femme nue se trémoussant les deux mains aux fesses. Elle a de petites larmes qui coulent et je la laisse prendre place à côté de Julie, les mains massant son postérieur visiblement très sensible.

Julie s’avance à son tour et s’installe. Ses mains saisissent les bords de la table. Mes yeux sont maintenant posé sur son derrière. Le blanc de son string disparaît dans une raie profonde avant de réapparaître sous forme d’un triangle de tissu qui moule étroitement son sexe. Étant un peu plus grande que Marie, elle a légèrement écarté les jambes pour trouver une position confortable. Je constate qu’elle se cambre spontanément pour offrir ses fesses.

J’entreprends alors de lui donner à son tour une fessée d’échauffement. Ses fesses sont fermes sous ma main mais rougissent doucement. Elle reste immobile, comme concentrée. Je me dis que la badine va la surprendre, d’autant plus que j’ai remarqué qu’elle m’a tendu une badine plus épaisse que celle de Marie.

« Quand tu voudras. »

Son invitation me surprend dans ma rêverie. Je tapote doucement la badine pour prendre mes distances puis lui donne un premier coup au sommet des fesses. Celle-ci s’enfoncent légèrement sous le coup, une ligne d’abord blanche et qui vire rapidement au rouge apparaît. La seule réaction de Julie est une inspiration plus profonde.

«  Le suivant s’il te plaît. »

Face au côté stoïque de Julie, je décide de mettre un peu plus de force dans ce second coup. Il tombe en dessous du premier, démarquant une zone blanche entre deux lignes rouges parallèles. Une crispation des mains qui tiennent le bord de la table, c’est tout ce que j’obtiens en sus de l’inspiration profonde. Je regarde Marie. Elle se masse toujours les fesses et je constate qu’elle observe sa copine.

« Le suivant s’il te plaît. »

La voix de Julie ne tremble pas. Il n’y aurait pas ces deux lignes rouges et maintenant légèrement gonflées sur ses fesses, on pourrait croire que rien n’a eu lieu. Les jambes sont bien droites, légèrement écartées, les fesses tendues par la cambrure de son corps. Je pose la badine en bas des fesses, légèrement au-dessus de la séparation avec les cuisses. Je prends du recul et l’abat. Nouvelle ligne. Nouvelle inspiration. Rien d’autre. Julie reste en place. Au bout de quelques instants de silence où Marie et moi regardons Julie. Je brise le charme, pensant blaguer.

« Julie, à te voir rester en position je vais croire que tu veux une suite. »

Sans quitter la position, elle tourne la tête vers moi. Je la vois sérieuse et déterminée. Je vois aussi que ces yeux sont restés secs.

« Marc, mes notes sont pires que celles de Marie et en plus je suis sûr que je l’ai empêchée de travailler avec mes problèmes et mes bavardages. Je pense mériter d’être puni plus qu’elle. »

Sans même me laisser répondre, elle remet sa tête dans l’axe et dit :

« Le suivant s’il te plaît. »

Je reste littéralement sans voix. Marie en est bouche bée. Sans même que je réfléchisse vraiment, la demande du coup suivant m’amène à la satisfaire. Le coup tombe un peu plus haut que le dernier.

« Le suivant s’il te plaît. »

Inconsciemment je dois être lassé par son côté stoïque et détaché. Ce cinquième coup, porté entre au milieu de ses fesses est certainement beaucoup plus appuyé. Pour la première fois un léger gémissement sortant d’entre ses dents serrées marque sa réaction. Ses fesses bougent légèrement de gauche à droite comme pour chasser une mouche.

« Le suivant s’il te plaît. »

La demande a mis beaucoup plus de temps à venir. Je décide que ce sixième coup va être le dernier. Ne voulant pas risquer de taper sur un coup précédent, je pose ma badine sur la trace du pli en haut des cuisses. Julie doit savoir la zone sensible car pour la première fois mon tapotement est accompagné d’une brève crispation de ses fesses. Le coup s’abat exactement à l’endroit visé. Il est accompagné d’un cri étouffé et d’une crispation de tout le corps de Julie. Elle ne bouge pas mes son souffle plus profond me montre qu’elle lutte avec la douleur et pour reprendre son calme.

« Lève-toi maintenant, je pense que cela suffit. »

Quand elle se lève, et se tourne vers moi, je vois que sa main a pris le chemin de ses fesses mais interrompt sa route à mi-chemin. Elle me fait face. Je ne peux m’empêcher un regard vers sa poitrine. De légères marques sur ses seins, pour être restés longtemps écrasés sur le plateau en verre de la table, s’effacent rapidement. Elle est superbe. Seuls ses yeux légèrement brillants témoignent de ce qui vient d’avoir lieu.

« Merci. »

Après ce simple mot, elle va prendre place à côté de Marie. Je dis aux filles que je vais réfléchir à comment les aider à avoir de meilleurs résultats et les renvois à leur travail.

A l’heure du repas je constate qu’elles ne se sont pas rhabillées et me servent toutes deux en silence. Je ne fais aucune remarque. Les trois marques sue les fesses de Marie sont bien rouges. Sur celles de Julie je vois que mon cinquième coup a laissé une trace qui a viré au bleu.