samedi 9 novembre 2013

L'Olivier (3) - La blouse et l'olivier

Quand je suis rentré du travail, au soir de cette première fessée, elle s’est précipitée vers moi pour m’accueillir dès que j’ai franchi la porte. Elle était vêtue d’une blouse blanche, une blouse de laboratoire en coton comme en possède la plupart des étudiants. Elle est allée pendre ma veste et pendant ce temps j’ai constaté que le salon brillait. Il avait eu le droit au grand ménage en mon absence.

Je me suis servi mon verre de whisky et me suis installé dans mon fauteuil au bord de la piscine. Marie est venue immédiatement s’agenouiller à côté de moi, les fesses posées sur les talons, le corps bien droit et les mains à plat sur ses cuisses nues. Elle m’a demandé si j’avais besoin de quelque chose, en gardant les yeux baissés dans une position de soumise qu’elle avait dû trouver sur le net.

J’ai décidé d’entrer dans son jeu et lui ai demandé si elle avait des fautes à m’avouer. Comme elle restait silencieuse, mon regard a parcouru sa blouse, non pas pour détailler la forme de ses seins pourtant bien mise en valeur, mais pour s’attarder sur quelques taches.

— Marie, cette blouse est tachée. Crois-tu que quand je rentre du travail j’ai envie d’être accueilli par une fille qui porte des vêtements sales ?
— Non, père, a-t-elle murmuré tout en regardant les dites taches. Je vais aller tout de suite me changer.

Comme elle esquissait un mouvement, je l’a retenue.

— Je ne t’ai pas dit de bouger. Peux-tu m’expliquer d’où viennent ces taches ?
— C’est en lavant le carrelage du salon que je me suis éclaboussée.
— Donc tu n’es même pas capable de laver par terre sans faire attention. Je vois que ton éducation est effectivement à revoir. As-tu une excuse à ton comportement ?
— Non père, j’ai été négligente, je mérite d’être punie. Dois-je aller chercher ma brosse ?
— Tourne-toi et découvre tes fesses que je vois leur état.

Quand elle s’est penchée, toujours à genoux et me tournant le dos, la blouse est remontée légèrement mais pas suffisamment pour dénuder son postérieur. Elle s’apprêtait à saisir l’ourlet pour dégager ses fesses quand une idée m’ai venue.

— Marie, retire donc cette blouse pleine de taches, tu ne comptes tout de même pas passer la soirée avec, non ?
— Mais…
— Mais quoi encore ?
— C’est que…

Elle a marqué une pause et repris à voix basse.

— C’est que je suis toute nue sous ma blouse.

Je ne dirais pas que c’était une surprise. A mon âge on est parfaitement capable de faire la différence entre les mouvements d’une poitrine libre sous une blouse et ceux d’une poitrine maintenue. C’était pour voir sa réaction à l’idée de montrer sa poitrine que je lui avais fait cette demande. J’ai choisi néanmoins de jouer les pères offusqués.

— Comment cela nue sous ta blouse ? Tu veux dire que tu te promènes depuis des heures sans le moindre sous-vêtement ? Tu n’as donc aucune pudeur ?

Je ne lui ai pas laissé le temps de répondre.

— Enlève donc cette blouse tout de suite. Et ne m’explique pas que tu es gênée.  Quand on se promène sans culotte c’est que l’on aime montrer ses fesses.

Elle m’a regardé, surprise visiblement pas la tournure des événements. Elle a rougi puis commencé à déboutonner sa blouse lentement. Quand tous les boutons ont été ouverts, je me suis saisi de l’arrière de la blouse, l’aidant à retirer les manches, et j’ai posé ensuite celle-ci à coté de mon fauteuil. Marie était maintenant nue devant moi, de trois-quarts dos. Elle avait vraiment un corps splendide, une taille étroite qui mettait en valeur ses belles fesses. Cela ne rendait que plus visible les marques bleuâtres qui les ornaient. La brosse avait laissé des traces persistantes.

Je lui ai montré l’olivier d’un signe de la main. C’est un vieil arbre noueux, isolé, qui me plaît beaucoup car il apporte une touche d’authentique dans le jardin.

— Vu l’état de tes fesses, je vais devoir trouver une alternative à la fessée que tu mérites. En attendant va de mettre à genoux devant l’olivier et médite un peu sur tes bêtises, mains sur la tête bien sûr.

Je l’ai regardée se relever et s’éloigner lentement. Chaque pas entraînait une ondulation qui lui remontait le long du corps. J’ai aussi remarqué qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de jeter des regards sur les côtés. Elle semblait très consciente de sa nudité et inquiète à l’idée d’être vue. Son hésitation quand est venu le moment de s’agenouiller devant le tronc du vieil arbre ne m’a pas surpris. Elle venait de comprendre que dans cette partie du terrain, recouverte de gravillons, s’agenouiller n’allait pas être très confortable.

Après avoir cherché une idée dans la maison, je suis ressorti et ai posé à côté de moi une ceinture en cuir, large et épaisse. Je venais de constater que je manquais d’instruments adaptés aux punitions. Je me suis installé dans mon fauteuil et ai rêvassé tout en regardant Marie qui s’agitait légèrement au pied de son arbre. Elle semblait avoir de plus en plus de mal à tenir la position.

Je me suis finalement décidé à l’appeler. Elle s’est relevée et dirigée vers moi en gardant les mains sur la tête. Cette très bonne initiative m’a permis d’avoir une vue dégagée sur le devant de son corps qu’elle me dévoilait pour la première fois aussi clairement. Mon regard a tout d’abord été attiré par ses deux beaux seins ronds. Ils bougeaient doucement au rythme de sa marche. Elle avait vraiment une superbe poitrine que l’on aurait envie de caresser.  Plus bas un petit buisson de poils bruns, bien taillé en triangle, cachait son sexe. Il était comme encadré dans un triangle de peau blanche que son maillot de bain avait laissé protégé du soleil.

Quand elle s’est arrêtée près de moi j’ai vu que son regard se portait sur la ceinture.

— Belle ceinture n’est-ce pas ? Vu l’état de tes fesses, il va falloir trouver un autre objectif. Tes cuisses peut-être ? Il parait que l’intérieur des cuisses est tout particulièrement sensible. Mais d’autres parties de ton corps sont sans doute encore plus sensibles…

Je l’ai laissé y réfléchir un peu, tout en regardant ses seins en souriant. Je voyais l’inquiétude monter en elle. Bien sur que je n’avais aucunement l’intention de lui fouetter la poitrine mais je me doutais qu’elle avait passé beaucoup de temps sur internet et que donc l’idée allait lui en venir. En fait mon choix était fait.

— Je vais être gentil, si tu me prouves que tu sais être courageuse. Je vais me contenter de claquer la paume de ta main gauche. Tu veux bien me la tendre ?

Sur ces mots je me suis levé et j’ai pris la ceinture. Marie a tendu sa main devant elle, la paume ouverte.

— Très bien, je vois que tu as compris. Si tu prends ta punition sans retirer ta main, je ne serais pas obligé de te punir ailleurs.

Je l’ai regardé en levant la ceinture. J’ai vu qu’elle serrait les dents. J’ai alors claqué brusquement sa paume avec la ceinture. Son bras a tremblé mais sa main est restée en place. Sa paume a viré au rouge.

J’ai préparé le coup suivant, la regardant dans les yeux, et j’ai abattu la ceinture. Elle a poussé un cri, son bras a tremblé encore plus. Des larmes s’étaient formées dans ses yeux. J’ai claqué une troisième fois la paume qui était maintenant tuméfiée. Elle a poussé un autre cri et une larme s’est mise à couler sur sa joue. Elle na pas pu s’empêcher d’agiter la main comme pour en chasser la douleur.

— Remet la main en place tout de suite.

Par ce qui était visiblement un gros effort de volonté, elle m’a offert de nouveau la paume. Tout son bras tremblait légèrement.

— Parfait. Je vois que tu as du caractère. Pour te récompenser nous en resterons là. Va donc me préparer le repas.

Marie ne se l’ai pas fait dire deux fois. J’ai donc fini tranquillement ma soirée, servi par une fille nue qui se frottait la paume dès qu’elle en avait le temps.

2 commentaires:

  1. Pourquoi ne pas faire cingler les seins de Marie avec un martinet ? Cette punition pourrait être appliquée par son amie Julie... ou par son père sous les yeux de Julie ( encore plus humiliant pour Marie ), dehors dans le jardin... Ca pourrait faire l'objet de détails croustillants ( les seins qui vibrent au rythme des coups reçus, les zébrures rouges sur la peau tendre des seins de Marie, etc. ). Au préalable, son père aurait obligé Marie à s'épiler entièrement, pour que son sexe soit bien visible, par Julie. Durant les cinglées, Marie devra écarter les cuisses pour entrouvrir ses grandes lèvres de sa vulve. Tout ça devant Julie, afin que son humiliation soit totale. Que Marie soit soumise et parfaitement punie.

    RépondreSupprimer