vendredi 15 décembre 2017

L'Olivier (13) - Kevin

Cela fait quelques temps déjà que le nom de Kevin apparaît dans les conversations. Il étudie les mêmes matières que les filles et fait de toute évidence partie de leur cercle d’amis. Comme son nom apparaît plus souvent que les autres, je finis par comprendre qu’il plaît bien aux filles. La tête de Marie un jour que je prononce son nom me renseigne sur qui est sa copine où rêve de l’être. 

Je finis par le croiser un jour que je rentre tôt du bureau. Il travaille avec les filles et est installé tout près de Marie. En m’entendant il s’en écarte un peu puis se lève pour me saluer. Grand brun à la peau mate, les épaules larges et les traits fins, je comprends qu’il puisse plaire à ma fille. Il a un sourire franc et une poignée de main ferme.

Après son départ les filles m’expliquent que c’est un copain de fac, ce que je sais déjà, et qu’il à une mère marocaine, ce qui explique son teint. Julie ajoute que c’est un sportif, ceinture noire de judo. J’ai donc droit à beaucoup d’explications qui me semblent avoir pour but de s'éloigner du fait qu’il sort avec Marie. Je prends Marie à part un peu plus tard et lui dit en souriant que cela ne me gêne pas qu’elle invite son copain à la maison et qu’elle est libre de sa vie. Elle rougit un peu mais semble satisfaite de cette explication. 

Dans le mois qui suit, je le croise de plus en plus souvent et ai même l’occasion de bavarder avec lui. Il est fils unique, habite Lattes et sa mère est originaire de Fès. Il me parle de sa passion pour le judo et de la détente que ses entraînements lui procurent. Il me dit apprécier le calme qui règne dans ma villa très propice au travail. Un jour que nous bavardons assis dans les fauteuils du salon, Julie passe nous demander si nous voulons boire quelque chose puis revient pour nous servir. Je vois que cela le surprend un peu. Un peu plus tard Marie ramasse nos verres et va les laver. Il me dit en souriant : 

 — Je me croirais au Maroc où les femmes servent les hommes. 

— Les filles font pas mal de travail à la maison, une façon de me remercier de les héberger. Nous avons nos petites habitudes et tout le monde en est content. Ne trouves-tu pas qu’une maison calme et rangée c’est plus agréable ? 

— Bien sûr… 

Je remarque que Julie sourit en nous entendant. 


Kevin était de plus en plus souvent à la villa. Marie semblait très heureuse et détendue. Ce qui devait arriver finit par arriver. Un soir alors qu’ils sont tranquillement installés sur la table à travailler, je rentre du travail et m’installe dans mon fauteuil. Julie se lève pour me servir mon whisky. Kevin la blague sur son empressement à faire le service et Julie se tourne vers lui. Pas de chance, la bouteille suis son mouvement et du whisky se répand sur la table et sur mon bas de pantalon. Julie devient toute pâle. Je me lève en râlant et vais dans ma chambre me changer. 

A mon retour, la table et le sol sont propres, mon whisky servi et Julie est debout à côté du fauteuil. Elle se tient les mains devant le corps, visiblement agitée. Les deux autres la regarde en silence. Je m’assois et la regarde. Elle prend la parole d’une voix basse mais qui semble résonner dans le silence. 

— Excuse-moi, je n’ai pas été attentive. Je sais que je mérite d’être punie. 

— Bien sûr que tu le mérites. Tu acceptes être punie tout de suite ? 

— Oui, répond-elle à ma surprise. 

Je me tourne vers Kevin. 

— Je crois que tu vas découvrir un des secrets de notre organisation. Je compte sur ta discrétion. 

Je note que Marie lui a pris la main. Il semble chercher à comprendre ce que nous entendons par punition. Julie s’installe à ma droite et leur tourne le dos. Elle ouvre son jean et baisse la fermeture. Le bruit semble énorme. Sans hésiter elle baisse son pantalon puis d’une geste décidé glisse sa culotte en dentelle sur ses cuisses, offrant ses fesses à la vue de Kevin et son ventre à la mienne. Je l’aide à se coucher sur mes genoux, la tête baissée.

La fessée qui suit n’a rien de mémorable. Je lui claque le derrière jusqu’à ce qu’il soit bien rouge. Toujours aussi stoïque Julie ne fait aucun bruit. Kevin regarde le spectacle sans un mot, Marie a le regard qui va des fesses de Julie au visage de son copain. 

A la fin de la fessée, Julie se relève et va se mettre au coin. Je remarque qu’elle veille à maintenir ses fesses en direction de Kevin. Je prends enfin mon verre et bois une petite gorgée. Le silence persistant, je le romps.

— Kevin, tu connais maintenant ce secret, les filles m’ont demandé de ne pas hésiter à les punir en cas de bêtise. Julie va méditer un peu avant de vous rejoindre. 

— Marie, toi aussi tu es fessée ?, demande-t-il à sa voisine. 

— Oui, moi aussi quand je fais des fautes ou que je ne travaille pas assez. 

Marie lui sourit en disant cela. Un peu plus tard, ils vont ensemble dans la chambre de Marie. Rien d’original en cela. Ce qui m’amuse un peu plus tard c’est leur allure quand ils ressortent de la chambre. Je savais que les fessées excitaient Marie. Visiblement cette excitation a donné lieu à une séance intense.

dimanche 10 décembre 2017

l'Olivier (12) - Changements progressifs

Le lendemain matin quand je me lève pour prendre mon petit déjeuner, je suis accueilli par Marie. Elle est nue et me sert mon café en me demandant :

— Je dois bien restée nue comme la dernière fois jusqu’à ce que les marque s’effacent?
— A voir ta tenue je crois que tu as déjà pris ta décision. Je la respecte.

Marie sourit. Elle vit de toute évidence son fantasme de soumission. Julie arrive un peu plus tard, vêtue du long tee-shirt en coton qui lui sert parfois de chemise de nuit. Elle regarde Marie, visiblement surprise de la trouver nue.

— Marie a décidé de rester nue à la maison jusqu’à ce que les marques de la badines disparaisse. Je lui avais demandé la dernière fois, lui expliquant que cela permet de méditer sur ces fautes plus longtemps et de ne pas croire que quelques coups de badines effacent tout.

Julie me regarde, songeuse. Elle regarde Marie qui lui tourne le dos car elle s’occupe des toasts. Son regard se porte aux trois lignes roses, plus claires que la veille au soir. Son front se fronce, signe d’intense réflexion puis elle me tourne le dos et retire son tee-shirt, dévoilant ses fesses. C’est quand, après avoir posé son vêtement sur une chaise, elle se dirige vers la table que je découvre qu’elle est totalement nue devant nous. Une petite touffe de poils blond décore son bas ventre plus qu’elle ne le cache. Ses lèvres roses sont tout à fait visibles. Elle me regarde.

— Cela ne te gène pas que je sois nue comme Marie ?

Je fait signe que non de la tête. En fait ce qui me dérange le plus c’est mon sexe qui se rappelle à mon souvenir et se sent à l’étroit. Un peu plus tard, je pars à mon bureau, la tête pleine d’images de Julie et passablement excité.

Pendant deux jours la scène est identique et deux filles nues déambulent dans la villa. le troisième matin, nouvelle surprise, seule Julie est nue. Elle me montre ses fesses où la trace du coup que j’ai porté plus fort que les autres est encore bien visible. Elle demande à Marie de s'asseoir à table et fait le service seule.

Petit à petit je m’habitue au spectacle de son corps nu, des ses seins qui marquent ses mouvements d’un doux balancement et à ses belles fesses rondes qui semblent implorer d’être fessées.

Le vendredi suivant Julie me demande d’être traitée comme sa copine. Après avoir fessé Marie, c’est donc Julie qui s’installe en travers de mes genoux et reçoit les bonnes claques qui font rougir son postérieur.

C’est peu de temps après que Kevin fait son apparition.