lundi 25 mai 2015

La canne s'il vous plait...

La journée avait mal démarré avec deux professeurs absents, des élèves sur le dos et tout avait continuer à l’avenant. Il y a des jours comme cela, monsieur Lefebure, proviseur de l’Institut privé Saint Thomas, le savait bien.

Et voilà que Monsieur Dutillois, un parent d’élève, avait demandé à être reçu en urgence. Comment refuser alors que lors de la dernière réunion avec les parents il avait regretté leur manque d’implication dans les études de leurs enfants.

Monsieur Dutillois venait d’être annoncé par sa secrétaire et dans cette panique, il n’avait pas eu le temps de consulter le dossier, enfin…

— Entrez donc monsieur et asseyez vous. Que puis je pour vous ?

— Merci de m’avoir reçu aussi vite monsieur le proviseur. Dès que Dominique m’a appelé, j’ai compris que la situation était grave et que je devais vous rencontrer. Vous savez sans doute ce qui s’est passé lors du contrôle d’anglais…

— Je dois vous avouer que je n’ai pas eu le temps de me renseigner, mais vous allez m’expliquer. Que s’est-il donc passé de si grave ?

— Dominique a triché pendant le contrôle et bien sûr le surveillant s’en est rendu compte. Tricher à son âge, en terminale… On ne sait pas ce que les jeunes ont dans la tête ! Au téléphone Dominique m’a dit que tricher entraînait un zéro et deux jours d'expulsion et en plus que cela serait sur son dossier…

— Tricher à un contrôle, c’est effectivement sérieux. Nous sommes obliger de sévir, il en va de la réputation de notre école.

-- Oh, je ne vous reproche pas de sévir, bien au contraire. Mais je ne voudrais pas que cette ânerie risque d’avoir un effet sur la suite de ses étude en étant sur son dossier. Dominique m’a dit qu’avec l’accord des parents vous offriez une alternative disons plus cinglante à l’expulsion…

— Vous êtes effectivement bien renseigné. Si l’élève et les parents sont d’accord, une punition corporelle peut remplacer l’expulsion et laisser le dossier vierge.

— Vous pouvez m’en dire plus, Dominique m’a donné l’impression de ne pas savoir à quoi s’attendre et même que vous ne me proposeriez pas forcément cette alternative…

— Pour de la tricherie à un contrôle en terminale, c’est douze coups de canne. Cela peut paraître sévère mais n’est pas négociable.

— Douze coups sur les fesses je pense, je commence à comprendre l’inquiétude de Dominique. Je n’ai moi non plus pas l’intention d’épargner ses fesses quand nous rentrerons à la maison. Qui se charge de la punition ? Cela se passe comment ? Dominique est dans votre salle d’attente...

— C’est moi qui officie. Vous voyez cette chaise le long du mur ? L’élève la met au milieu du bureau puis retire ses vêtement pour dégager ses fesses. Enfin il se penche par dessus le dossier, saisit fermement l’assise et subit sa punition.

— Vous punissez toujours fesses nues ? Cela doit être un peu humiliant pour les élèves…

— Vous savez, l’humiliation au bout de deux coups de canne, elle sort de leur esprit. Moi j’ai besoin de bien voir ce que je fais pour ne pas être inutilement cruel en frappant deux fois au même endroit.

— Oui, je comprends. Je vous remercie pour ces explications. Si vous voulez bien, je vais annoncer à Dominique ce qui l’attend. Vous avez bien sûr mon accord. La punition aura lieu quand ?

— Si Dominique est dans la salle d’attente je peux faire cela tout de suite, au temps traiter le sujet à chaud non ?

— Oui, merci bien.

Le père se lève, ouvre la porte…

— Dominique, tu peux venir. Le proviseur est d’accord pour te donner la canne à la place d’une expulsion. Tu vois bien que tu n’avais pas à t'inquiéter…

Dominique entre dans le bureau, le proviseur pâlît et ouvre la bouche sans qu’un son en sorte…

— Merci monsieur, j’étais si inquiète. Il se disait dans les couloirs que les filles n’avaient pas les mêmes possibilités que les garçons ce qui aurait été injuste.

— Dominique, le proviseur s’est prononcé pour douze coups, fesses nues bien sûr. Je pense qu’il serait bon que tu lui confirmes ton accord.

— Euh, fesses nues ? … Oui, je suis d’accord.

— Parfait, la punition va avoir lieu tout de suite, tu vois la chaise là bas… Tu la mets au centre de la pièce.

Le père se retourne enfin vers le proviseur qui se remet lentement du choc. Une fille…

— Je vais vous laisser, et encore merci. Ma fille avait peur d’un comportement sexiste mais j'étais sûr que cela était dépassé de nos jours…

Le proviseur retrouve enfin la parole.

— Si vous le voulez bien je préférerais que vous restiez. Quand je punis une fille il me faut un témoin.

Monsieur Lefebure n’en revenait pas de ce qu’il venait de dire, comme si punir des filles était une banalité. Il avait l’impression de s’être fait manipuler mais ne voulait pas perdre la face. Dominique, la peste soit de ces prénoms ambigus. Cela allait être une première mais la Dominique allait regretter son choix… Hors de question que d’autres filles aient envie de faire ce choix. La peste soit des précédents…

— Mademoiselle, comme votre père vient de vous le dire, vous allez apporter cette chaise et la mettre au milieu du bureau.

— Bien monsieur.

— Parfait, maintenant vous retirer votre jupe et votre culotte et vous les posez bien pliées sur la chaise.

Le proviseur jette un coup d’oeil au père qui s’est installé à coté du bureau pour observer la scène. Quand son regard revint vers Dominique celle-ci a retiré sa jupe et la plie avant de la poser. Il ne peut s'empêcher d’apprécier la jolie paire de fesses encore cachée par la culotte en coton. Et justement Dominique retire délicatement cette culotte, dévoilant ses fesses et la pose sur la chaise. En revenant se positionner près du dossier, elle ne peut s’empêcher de poser sa main en bas de son ventre.

— En place.

Charmant spectacle, quand Dominique se penche, sa chemise remonte, dégageant complètement son derrière, pire encore, pour elle, sa taille l’oblige à écarter un peu les jambes pour que son ventre porte bien sur le dossier.

Le proviseur, détachant les yeux de ce tableau, va chercher la canne dans l’armoire et prend sans hésiter celle des grands. Pas de sexisme.

— Bon, nous allons commencer. Essaye de rester en place…

La canne tapote doucement pour que la bonnes distance soit trouvée puis le bras se lève et le coup claque. Un gémissement sort des lèvres de Dominique qui sert les dents. Une ligne rouge apparaît.

Au fil des coups suivant les fesses s’agitent de plus en plus, Dominique reprend bruyamment son souffle. Des belles lignes rouges parallèle démontrent l'habileté du proviseur.

Le huitième coup est le coup de trop pour la jeune fille. Il a claqué à la base des fesses là où la peau est sensible. Dominique pousse un cri et se relève, les mains sur les fesses. Elle se retourne et on voit les larmes qui ont coulé sur son joli visage. Pour la première fois elle expose son bas ventre, montrant qu’elle taille soigneusement sa toison intime. La pudeur n’est plus son souci.

— Mademoiselle, un peu de courage, plus que quatre. Remettez vous en position.

Voyant que sa fille est comme figée, le père s’agace.

— Dominique, arrête de me faire honte. A ton âge on sait supporter un peu de douleur…

Finalement elle reprends sa place. Cette fois si les jambes sont encore plus écartées, sans doute veut elle une position bien stable. Mais cette position dévoile sans pudeur la fente de son sexe. Le proviseur se force à regarder les fesses, maintenant toutes rouges et marquées de lignes gonflées. Il cherche un endroit entre deux lignes, il sait que les fesses sont maintenant extrêmement sensibles et que les derniers coups sont les pires.

Effectivement chaque coup arrache maintenant un cri. Dominique sert la chaise de toutes ses force pour ne pas se relever. Elle agite les fesses entre chaque coups.

Quand le dernier tombe accompagné d’un cri rauque, elle se relève et pose les mains sur ses fesses. Douleur, elles ne sont que douleur…

— Voilà qui est terminé mademoiselle. Vous pouvez vous rhabiller.

Elle remet délicatement sa culotte, faisant bien attention que l’élastique ne frotte pas la peau si sensible maintenant. La jupe suit.

— Dominique, remercie ton proviseur pour sa gentillesse et le temps que tu lui as fait perdre…

— Merci monsieur, je vous promets de ne jamais recommencer…

— Mais j’espère bien mademoiselle car la prochaine fois c’est l’expulsion, sans autre choix.

— Je vous remercie moi aussi. Je vous assure que je vais avoir avec elle une bonne discussion à la maison…

Après une poignée de mains, le proviseur les regarde sortir de son bureau. Une fille, il vient de punir une fille, fesses nues, mais quelle journée ! Il n’entends pas la suite de la conversation entre le père et sa fille.

— Alors Dominique, soulagé que le proviseur ait accepté ? Pas fâchée conte lui j’espère, même si tu as du te dénudée devant lui…

— Non, je t’avoue que cela a été un choc de savoir que j’allais devoir retirer ma culotte. Mais j’ai surtout été surprise par la tête qu’il a fait quand je suis entrée, comme s’il découvrait soudain que j’étais une fille… Tu as pourtant du lui expliquer.

— Lui expliquer ? Non, mais il devait bien le savoir..; Quoique… Cela expliquerait bien des choses, j’avoue avoir été surpris qu’il te punisse lui même. Enfin, rien de grave. Retourne en cours, Nous discuterons ce soir de ton comportement…

Sur ce, le père quitta sa fille qui ne savait pas trop à quoi penser. A la honte d’avoir montré ses fesses et le reste au proviseur. A la difficulté qu’elle allait avoir pour s'asseoir dans les cours suivant sans trop faire comprendre ce qui lui était arrivé sous peine de moqueries. A son retour à la maison… Mais cela elle voulait le chasser de ses pensées.

mardi 10 février 2015

Le bulletin (ou comment une jeune fille reçoit la badine sur ses fesses nues)

Il fait beau.

Je rentre de mon cours d’équitation. J’adore le cheval et espère bien en avoir un à moi un jour. Mon copain est passé me regarder pendant le cours. J’aime bien. Je sais que la tenue de cheval, si collante, me donne une jolie silhouette. La vie est belle.

Je gare mon scooter dans l’allée qui mène à la maison, retire mon casque et prend mes affaires. J’entends une voiture qui pénètre dans notre allée et tourne la tête.

Je reconnais mon oncle et ma tante et à l’arrière mon cousin. Maxime a treize ans et est déjà presque aussi grand que moi qui en ai dix-sept. Il me fait signe, je lui souris. Ils sortent de leur voiture et je vais vers eux les embrasser.

— Tu es toujours plus belle, ma nièce, me taquine mon oncle. Les garçons doivent te tourner autour.

Je ris, En fait il n’a pas tord et moi j’en profite. J’aime avoir des garçons autour de moi, qui espèrent un sourire, une invitation…

En blaguant nous nous dirigeons vers la maison. J’ouvre la porte et les fais entrer. Ma mère à du nous entendre car elle est déjà là, à venir vers nous. Séance bisous.

Pendant que je me baisse pour retirer mes bottines de cheval, je vois que Maxime regarde mes fesses moulées dans le pantalon beige. Il grandit et s’intéresse aux filles, j’en souris intérieurement.

Pendant que la famille entre dans le salon, j’annonce que je vais me changer. Après une séance d’équitation, une bonne douche s’impose. Je monte donc dans ma chambre et me déshabille en me regardant dans ma glace. Je retire mon tee-shirt et mon soutien-gorge, libérant mes seins. Je me baisse et retire en même temps pantalon et culotte. Tout va aller au sale. Je me souris dans la glace, j’aime ce que je vois, la vie est belle.

Ici, grâce à l’argent que ramène mon père, la maison est grande et chaque chambre à droit à une petite salle de bain privée avec douche. Les copines me l’envient, surtout celles qui doivent la partager avec des frères…

Me voici sous la douche. Je me lave les cheveux puis profite du jet d’eau bien chaud pour me frictionner le corps. Je repense à mon copain, sûr qu’il adorerait être là à me regarder. Il n’a pas encore eu droit à me voir nue, notre relation commence et je sais aller lentement pour les faire mariner. Pour l’instant le mieux que je lui ai laissé faire c’est glisser la main sous mon haut pour caresser ma poitrine pendant que je le caressais plus bas. Il appréciait visiblement. Le gant mouillé passe sur mon sein et je constate qu’il est sensible, je joue avec la pointe qui se tend. La vie est belle !

J’enfile un jean moulant et un haut flottant qui met ma poitrine en valeur puis je descends rapidement rejoindre la famille.

Quand j’entre dans le salon, une conversation est en cours. Je n’en saisis pas bien les tenants mais constate que Maxime fait la tête.

— C’est vrai qu’il est grand, vient de dire mon père.

Je regarde Maxime. Il rougit. Je ne comprends pas.

— Alors tu as encore du mal à t’asseoir ?

— Maxime, répond à ton oncle quand il te pose une question !

— Non, ça va.

Il fait franchement la tête.

— A son âge on commence à avoir les fesses solides ! Rien ne vaut une bonne séance pour aider certains messages à entrer.

Mon oncle vient de me voir, il demande à Maxime de m’expliquer. Il n’a pas le choix et rougit de plus belle. Je crois comprendre de quoi ils parlent et me demande bien ce qui à pu leur passer par la tête pour que cela soit déjà un sujet de conversation. Pauvre Maxime. Je lui souris, espérant avoir l’air sympa.

— Élodie, ils parlent de la punition que j’ai reçue hier soir à la maison...
— Soit plus précis, Maxime, raconte comment tu as été puni.
— Papa m’a annoncé que j’allais recevoir une bonne fessée. Je lui ai dit que j’étais trop grand pour la fessée. Il m’a surpris en me disant qu’il était d’accord. J’ai cru un instant que j’allais échapper à la honte de devoir montrer mes fesses. Hélas, je me trompais. Il s’est tourné vers maman, elle a hoché la tête, puis il a repris en m’expliquant que maintenant j’aurai droit à la badine, comme les grands. Il m’a demandé de me préparer pendant qu’il allait la rechercher. Je ne savais pas ce qu’il voulait que je fasse. Maman m’a expliqué que je devais me mettre nu, tu imagines ma réaction. Quand papa est revenu avec à la main une longue badine, je n’avais encore rien fait. J’ai vite compris que si je n’obéissais pas j’aurai droit à des coups supplémentaire et cet instrument me faisait déjà peur.

Elodie l’écoutait, n’imaginant que trop bien la scène.

— J’ai fini par obéir et rapidement je me suis retrouvé tout nu et tout rouge. J’ai du plier proprement mes affaires puis prendre position, jambes tendues et mains sur les chevilles. Dès le premier coup, j’ai tout oublié de ma honte. Tu n’imagines pas le mal que cela fait un coup de badine. J’ai poussé un cri et me suis redressé, mes mains sur les fesses. je sentais la trace qui gonflait sous mes doigts. J’ai eu droit à trois autres coups et papa m’a expliqué que la prochaine fois j’aurai le droit à six… J’ai fini la journée au coin, les fesses exposées. Heureusement personne n’est passé chez nous.

Tout en racontant, ses mains s’étaient portées sur ses fesses. J’ai souri en le remarquant. Je ne savais pas que c’était mon dernier sourire de la journée. Elle avait si bien commencé cette journée pourtant.

J’ai regardé ma mère et ai fait une dernière remarque innocente.

— Je te plains Maxime. Mais quelle idée de vous mettre à parler de cela par une si belle journée !
— C’est la vue de ton bulletin, posé sur la table qui nous a fait penser à ce qui avait suivi la réception de celui de Maxime.
— Mon bulletin ?

J’étais sûre qu’il n’allait pas arriver avant quelques jours et j’avais prévu tout un plan pour préparer les parents à sa lecture qui risquait de les énerver… Une copine qui siège au Conseil de classe m’avait prévenue que les profs étaient remontés contre moi et que leur remarques étaient encore pire que mes notes. Je tentais une dernière manoeuvre, ramassant le bulletin en me gardant bien de le regarder.

---- On fera le point avec papa quand ils seront partis.

Ma mère a bien compris mon manège et hélas pour moi, avait eu le temps de le lire…

— Montre donc ce bulletin à ton oncle, on va voir ce qu’il en pense…

Je n’ai pu éviter d’obéir. Il l’a pris, l’a ouvert et parcouru une première fois rapidement puis une seconde fois plus attentivement tout en me jetant des regards....

— Alors tu en penses quoi ? Tu ferai quoi si c’était ta fille ?
— J’en pense qu’un pareil bulletin n’est pas acceptable. Les notes ne sont pas terribles, certainement bien inférieures à ce qu’elle pourrait avoir, mais les annotations… Prenons celle du prof de français, typique des autres mais plus claire : « passe son temps à aguicher les garçons et à s’occuper de leurs réactions avec ses copines au lieu d’écouter les cours ». Quant à ce que je ferais, tu t’en doutes. Maxime vient de vous en donner une idée.  
— Je suis bien d’accord avec toi, cela fait deux ans qu’elle n’est pas sortie mais je crois que la badine va de nouveau servir…

En les écoutant j’étais devenue toute pale. Maxime me regardais, regardais ma mère, ses parents. Je pense qu’il se demandais si ses oreilles ne le trompais pas.

— Prépare toi pendant que je vais chercher la badine.

Je me dirige vers l’escalier mais suis rattrapée par une nouvelle remarque.

— Depuis quand on te puni dans ta chambre ?
— Mais, on n’est pas seuls…
— Ils sont de la famille. Ton oncle ne sera pas choqué, je t’assure.

J’étais comme figée sur place.

— Si je te retrouve habillée quand je reviens, tes fesses vont le regretter…

Elle sort. Je regarde mon oncle, ma tante, Maxime. Le premier sourit, la seconde a l’air de me comprendre mon état d’esprit, le troisième est bouche bée.

— Tu ne devrais pas énerver ta mère encore plus, tu sais.

Je sais que ma tante à raison. Je me retourne et défait le bouton de mon jean puis ouvra la fermeture éclair. J’inspire un bon coup puis le baisse en entraînant ma culotte. Je suis très consciente de montrer mes fesses. Je finis de retirer mon bas en gardant les jambes bien serrées et en pliant les genoux. La manoeuvre est sans doute peu esthétique mais j’en montre le moins possible. Je reste face au mur.

Je n’entend pas de bruit derrière moi, c’est presque pire. Je retire mon tee-shirt et mon soutien-gorge. Ils vont rejoindre la pile de vêtements à mes pieds. Dernière humiliation, je mets mes mains sur ma tête. Je dois avoir l’air maligne à mon âge, le nez au mur, les mains sur la tête et les fesses à l’air. Je suis sûre que Maxime doit apprécier le spectacle.

J’entends marcher et je comprends que ma mère est de retour car elle m’interpelle :

— Elodie, depuis quand on laisse ses affaires en tas par terre ?

Je regarde à coté de moi mes vêtements.

— Fais moi le plaisir de les poser sur la table, bien pliés. Tu ne vas pas en avoir besoin de si tôt.

Je vous laisse imaginer la suite. J’essaye de rester le dos tourné vers les spectateurs mais je me doute que mes mouvements dévoilent par moment ma poitrine. Qu’y faire quand on a les mains occupées à plier des habits.

— Cela suffit ces manières. Retourne toi et vient donc vers nous nous expliquer comment tu as réussi à avoir un pareil bulletin…

Je me fige et l’entendant. C’est affreux. A dix-sept ans. Ils vont tout voir.

Je me retourne, une main posée en bas de mon ventre et l’autre bras cachant comme il peut ma poitrine. Je sais que j’ai l’air ridicule mais je n’arrive pas à dévoiler mon corps devant eux. Maxime à les yeux qui lui sortent de la tête.

— Mains sur la tête et explique nous donc…

Ca y est, ils voient tout. La position de mes bras tend ma poitrine. Maxime regarde en bas de mon ventre. Ma touffe taillée en triangle ne masque pas grand chose. C’est la mode de se raser et j’aime les regard jaloux des autres filles sous la douche. Là, j’avoue aimer beaucoup moins sentir des regards.

Le quart d’heure qui suit est marqué par un échange de questions et de mauvaises excuses en retour. Ma mère m’annonce rapidement que je vais avoir du mal à m'asseoir quand on se sera occupé de mes fesses.

Je remarque que Maxime remet en place son pantalon. Je comprends sans peine que son sexe s’est tendu en me regardant. Il vit le rêve d’un jeune ado : avoir une grande nue devant lui.

Finalement ma mère me demande d’aller me placer les mains sur la table et les fesses bien tendues. J’espère que je vais accepter ma punition comme une grande, sans me ridiculiser.

Dès que le premier coup de badine s’abat en travers de mes fesses, je sais que cela va être difficile.  On oublie vite… Je ne me souvenais pas du trait de feu que l’on ressent.  Après quelques coups je sais que l’on doit m’entendre expirer bruyamment. J’essaye de ne pas gémir.

Encore quelques coups et je ne peux pas m’empêcher d’agiter les fesses et d’écarter un peu les jambes.

Finalement mon calvaire se termine. Je suis contente de ne pas avoir craqué. Je prends aussi conscience de ma position. On doit avoir une vue imprenable sur mon sexe. Je sers vite les jambes.

Puis le monde s’effondre.

— Va te mettre au coin, les mains sur la tête en attendant le retour de ton père. Je suis sûr qu’il va vouloir s’occuper de toi lui aussi.

Je n’arrive pas à retenir mes larmes en allant prendre position. Mes fesses brûlent et je ne peux même pas les masser. Jamais je ne supporterai une nouvelle dose de badine.

J’entends Maxime qui dit à son père que mes fesses sont plus marquées que les siennes. Je sens qu’il s’approche pour voir de plus près.

La journée avait si bien commencée...

mercredi 14 janvier 2015

L'Olivier (11) - Mauvaises notes

Quand je rentre je trouve les deux filles sur le canapé du salon. Assises sur le bout des fesses, le dos légèrement voûté, se tenant par la main, la situation n’est clairement pas normale.

Marie porte un de ses jeans blancs habituels mais Julie porte une petite jupe courte qui l’oblige à serrer les jambes. Je me campe devant elles et les regarde.

— Alors, que se passe-t-il ?
— On a reçu nos premières notes, dit Marie en me regardant.
— Elles sont très mauvaises, ajoute Julie, la tête baissée.
— Si ça continue comme cela je vais rater mon semestre.
— Moi aussi et ce n’est pas possible, il faut faire quelque chose, enchérit Julie, tête toujours baissée comme si elle n’osait pas croiser mon regard.

Je regarde les deux filles en réfléchissant. Pour Marie il faut que je choisisse la sévérité de la punition, mais il est très clair que ses fesses vont rougir avant peu. Mais que faire pour Julie. Je comprends parfaitement qu’elle souhaite que je m’occupe d’elle aussi. Est-ce que je dois lui demander de me montrer ses fesses ? Je décide que non.

— Marie, je crois que la badine s’impose. Va donc chercher mon Opinel avant de te préparer.

Pendant que Marie qui a enfin lâché la main de Julie s’en va, je pose ma main sous le menton de celle-ci pour lui relever la tête et enfin croiser son regard.

— Julie, tu veux que je te punisse toi aussi ?
— Oui, je sais que j’en ai besoin.
— Pour un cas pareil Marie va recevoir une bonne fessée puis la badine sur ses fesses puis finir la soirée au coin. Tu veux l’accompagner ?
— Oui, dit-elle d’une voix peu assurée.
— Comme tu n’es pas ma fille, je tiens à préserver un peu ta pudeur. Tu vas donc aller immédiatement dans ta chambre mettre la culotte qui découvre le plus tes fesses.

Julie hésite avant de répondre puis se lance.

— Je porte déjà un string, je vais pouvoir le garder, c’est cela ?
— Oui, parfait.

Marie est revenue et se prépare, retirant son bas et exposant ses fesses puis retirant le haut avant d’attendre. Elle sait que pour les faute graves elle doit se mettre nue.

Julie se lève lentement et retire sa jupe. Elle offre aux regard son ventre couvert d’une petit triangle de dentelles. Je pensais l’arrêter à ce stade mais comme je reste immobile en la contemplant, je ne sais ce que Julie comprends. Elle porte les mains aux boutons de son chemisier et commence à les ouvrir. Je sais que je devrais l’arrêter, mais je n’arrive pas à m’y astreindre. Elle me regarde dans les yeux en retirant le chemisier qui va rejoindre sa jupe au sol. Son soutien-gorge est assorti à son string. Il met en valeur plus qu’il ne cache sa poitrine. Quand elle retire une à une les bretelles, les glissant sur ses bras nus, le temps semble ralentir. Elle baisse les bonnets et libère ses seins. Deux superbes seins, ronds comme des pamplemousses, qui s’affaissent à peine. Des aréoles très pales entourent des tétons plus foncés et tendus. Cette poitrine que j’imaginais en rêve depuis des mois est nue devant moi et je ne suis pas déçu. Quand mon regard remonte enfin vers ses yeux elle a un petit sourire comme complice. La magie de l’instant se rompt lorsqu’elle va se mettre à coté de Marie.

— Marie tu expliqueras à Julie comment on prépare de bonnes badines comme je te l’ai montré. Le noisetier vous attend.

A travers les fenêtres je les suis des yeux. Marie semble très consciente de sa nudité, Julie beaucoup plus détendue. Je vois qu’elles parlent ensemble. Marie est agitée et Julie calme. Quand elles reviennent vers moi, chacune tient sa badine à la main.

— Parfait, comme Marie te l’a sans doute expliqué la badine est un instrument plus redoutable que le martinet. Mais le travail à l’université est une chose que vous devez prendre au sérieux et je suis sûr que des fesses douloureuses quelques jours vous aideront à vous en souvenir. Je pense que trois coups suffiront pour cette première fois. En place Marie.

Elle s’installe tremblante, ses fesses sont tendues vers moi. Je commence par lui appliquer quelques bonnes claques sur les fesses. Elle remue un peu pendant que je chauffe progressivement tout son postérieur. Quand je juge le moment venu je lui dis :

— Respire lentement et détend toi, des fesses détendues te mettront d’avoir un peu moins mal. Tu me diras quand tu es prête.

La badine à la main j’attends patiemment que Marie me fasse signe. Un timide « c’est bon » entraîne le premier coup, la première marque rouge et le premier cri. J’attends tranquillement la regardant agiter les fesses. Elle finit par comprendre que j’attends son signal. Le « c’est bon » est beaucoup plus tremblant. La seconde marque apparaît un peu plus bas que la première. Marie ne peut pas s’empêcher de se frotter les fesses de la main. Je la laisse faire et en profite pour regarder Julie. Sa badine à la main elle semble comme fascinée par le spectacle.

Le « c’est bon » émis dans un demi sanglot entraine le troisième coup. Je l’ai donné dans le bas des fesses afin qu’il soit ressenti en position assise. La zone est plus sensible et Marie pousse un cri avant de se redresser et de nous offrir le spectacle d’une jeune femme nue se trémoussant les deux mains aux fesses. Elle a de petites larmes qui coulent et je la laisse prendre place à côté de Julie, les mains massant son postérieur visiblement très sensible.

Julie s’avance à son tour et s’installe. Ses mains saisissent les bords de la table. Mes yeux sont maintenant posé sur son derrière. Le blanc de son string disparaît dans une raie profonde avant de réapparaître sous forme d’un triangle de tissu qui moule étroitement son sexe. Étant un peu plus grande que Marie, elle a légèrement écarté les jambes pour trouver une position confortable. Je constate qu’elle se cambre spontanément pour offrir ses fesses.

J’entreprends alors de lui donner à son tour une fessée d’échauffement. Ses fesses sont fermes sous ma main mais rougissent doucement. Elle reste immobile, comme concentrée. Je me dis que la badine va la surprendre, d’autant plus que j’ai remarqué qu’elle m’a tendu une badine plus épaisse que celle de Marie.

« Quand tu voudras. »

Son invitation me surprend dans ma rêverie. Je tapote doucement la badine pour prendre mes distances puis lui donne un premier coup au sommet des fesses. Celle-ci s’enfoncent légèrement sous le coup, une ligne d’abord blanche et qui vire rapidement au rouge apparaît. La seule réaction de Julie est une inspiration plus profonde.

«  Le suivant s’il te plaît. »

Face au côté stoïque de Julie, je décide de mettre un peu plus de force dans ce second coup. Il tombe en dessous du premier, démarquant une zone blanche entre deux lignes rouges parallèles. Une crispation des mains qui tiennent le bord de la table, c’est tout ce que j’obtiens en sus de l’inspiration profonde. Je regarde Marie. Elle se masse toujours les fesses et je constate qu’elle observe sa copine.

« Le suivant s’il te plaît. »

La voix de Julie ne tremble pas. Il n’y aurait pas ces deux lignes rouges et maintenant légèrement gonflées sur ses fesses, on pourrait croire que rien n’a eu lieu. Les jambes sont bien droites, légèrement écartées, les fesses tendues par la cambrure de son corps. Je pose la badine en bas des fesses, légèrement au-dessus de la séparation avec les cuisses. Je prends du recul et l’abat. Nouvelle ligne. Nouvelle inspiration. Rien d’autre. Julie reste en place. Au bout de quelques instants de silence où Marie et moi regardons Julie. Je brise le charme, pensant blaguer.

« Julie, à te voir rester en position je vais croire que tu veux une suite. »

Sans quitter la position, elle tourne la tête vers moi. Je la vois sérieuse et déterminée. Je vois aussi que ces yeux sont restés secs.

« Marc, mes notes sont pires que celles de Marie et en plus je suis sûr que je l’ai empêchée de travailler avec mes problèmes et mes bavardages. Je pense mériter d’être puni plus qu’elle. »

Sans même me laisser répondre, elle remet sa tête dans l’axe et dit :

« Le suivant s’il te plaît. »

Je reste littéralement sans voix. Marie en est bouche bée. Sans même que je réfléchisse vraiment, la demande du coup suivant m’amène à la satisfaire. Le coup tombe un peu plus haut que le dernier.

« Le suivant s’il te plaît. »

Inconsciemment je dois être lassé par son côté stoïque et détaché. Ce cinquième coup, porté entre au milieu de ses fesses est certainement beaucoup plus appuyé. Pour la première fois un léger gémissement sortant d’entre ses dents serrées marque sa réaction. Ses fesses bougent légèrement de gauche à droite comme pour chasser une mouche.

« Le suivant s’il te plaît. »

La demande a mis beaucoup plus de temps à venir. Je décide que ce sixième coup va être le dernier. Ne voulant pas risquer de taper sur un coup précédent, je pose ma badine sur la trace du pli en haut des cuisses. Julie doit savoir la zone sensible car pour la première fois mon tapotement est accompagné d’une brève crispation de ses fesses. Le coup s’abat exactement à l’endroit visé. Il est accompagné d’un cri étouffé et d’une crispation de tout le corps de Julie. Elle ne bouge pas mes son souffle plus profond me montre qu’elle lutte avec la douleur et pour reprendre son calme.

« Lève-toi maintenant, je pense que cela suffit. »

Quand elle se lève, et se tourne vers moi, je vois que sa main a pris le chemin de ses fesses mais interrompt sa route à mi-chemin. Elle me fait face. Je ne peux m’empêcher un regard vers sa poitrine. De légères marques sur ses seins, pour être restés longtemps écrasés sur le plateau en verre de la table, s’effacent rapidement. Elle est superbe. Seuls ses yeux légèrement brillants témoignent de ce qui vient d’avoir lieu.

« Merci. »

Après ce simple mot, elle va prendre place à côté de Marie. Je dis aux filles que je vais réfléchir à comment les aider à avoir de meilleurs résultats et les renvois à leur travail.

A l’heure du repas je constate qu’elles ne se sont pas rhabillées et me servent toutes deux en silence. Je ne fais aucune remarque. Les trois marques sue les fesses de Marie sont bien rouges. Sur celles de Julie je vois que mon cinquième coup a laissé une trace qui a viré au bleu.