samedi 6 juillet 2013

Saint Thomas - La copieuse (fessée et humiliée)

On sent une certaine tension dans la voix de mademoiselle Tamir, notre professeur de SVT. En ce jour de remise des copies avec les résultats de notre contrôle de mi-trimestre, nous savons tous et toutes que certains auront mal aux mains avant bien longtemps... Il faut dire que dans notre école privée, la sanction pour les mauvaises notes c’est le plus souvent des coups de lanière sur la paume de la main ouverte...

Dès le début du cours, la prof a décroché la lanière la plus épaisse, celle utilisée pour les « grands contrôles », et l’a posée sur le bureau. Tous les élèves sont silencieux, assis à leur place dans l’uniforme de l’établissement, pantalon gris et chemise blanche pour les garçons, jupe plissée et chemisier blanc pour les filles.

La distribution des copies commence, chacun à l’appel de son nom monte sur l’estrade apprendre sa note et prendre sa copie. Selon l’usage, la prof commence par les meilleures copies et félicite les bons élèves pendant que la pression monte. La barre fatidique de dix approche et je suis soulagé d’être enfin appelé, onze ce n’est pas terrible mais un regard sur la lanière me suffit pour être heureux... Je me souviens du jour où j’ai eu sept et reçu trois coups sur la paume de ma main gauche... la douleur et surtout la difficulté croissante à tendre la main pour le coup suivant. Quand la prof se saisit de la lanière il reste encore six élèves qui n’ont pas leur copie et les regards se tournent surtout vers Marie qui est toute tremblante et inquiète, c’est habituellement une bonne élève.

Simon est le premier appelé. Neuf, un coup, il tend la main, le coup claque, il sert les dents et retourne à sa place. Puis Elodie et Franck prennent courageusement leurs deux coups. Marie est toute blanche et Marion à coté d’elle n’en mène pas large non plus... Thomas est appelé, avec son six il hérite de quatre coups de lanière, pour le quatrième coup sa main tremble et tous se demandent s’il va avoir la honte de la retirer, mais il résiste et retourne à sa place en se frottant la main.

Mademoiselle Tamir, à notre grande surprise pose la lanière et appelle en même temps Marie et Marion. Elles montent toutes deux sur l’estrade. La prof regarde les copies qui sont posées devant elle sur le bureau.

« Excellentes copies mesdemoiselles... mais j’ai une question... laquelle d’entre vous a copié sur l’autre ? »

On entendrait une mouche voler. Tout le monde regarde Marion tant la réponse semble évidente. Elle a osé tricher à un contrôle ! Et elle s’est fait prendre ! Je n’ose même pas imaginer la punition pour pareil forfait... Certains ont été punis de coups de lanières sur leur culotte, devant tout le monde, pour des fautes qui semblent moins graves.

Marion : « C’est moi mademoiselle... » Sa voix n’est qu’un chuchotement tremblant.
La prof se retourne alors vers Marie. « Vous allez donc garder le bénéfice de votre quinze, mais je sais très bien que vous avez laissé votre copie bien visible pour aidée votre copine, cela mérite une punition... adaptée. Penchez-vous et posez les mains à plat sur le tableau. »

Marie s’exécute et présente son derrière à la classe, la jupe est un peu remontée et lui dévoile la moitié des cuisses. Elle a le dos bien à plat. Mademoiselle Tamir a repris la lanière en main.

« Marie, vous qui aimez regarder ce que Marion devrait cacher, dégagez donc ses fesses ! »

Marion reste immobile, sans comprendre... La prof reprend : « Relevez sa jupe sur son dos ! » Marie émet un « non » mais la prof lui demande de se taire. Marion prend le bas de la jupe et le relève lentement, nous dévoilant un beau fessier dans une sage culotte bleue comme le veut le règlement. Le silence est total.

« Baissez sa culotte maintenant ! » Nous sommes abasourdis. Marion lève la tête vers la prof... « Plus vite, vous avez très bien entendu et cela va servir de leçon à tous ceux qui veulent aider les tricheurs ! » Marion baisse la culotte de sa copine, le moins possible, en dégageant deux belles fesses rondes. La culotte est restée en haut des cuisses, protégeant un peu la pudeur de Marie.

Mademoiselle Tamir abat alors la lanière qui laisse une trace rouge sur les fesses si blanches de Marie. Celle-ci subit le plus dignement possible une douzaine de coups qui marquent tout son fessier. Nous remuons sur nos chaises, voire une copine se faire ainsi fesser, cul nu devant la classe, est un spectacle incroyable. Chaque coup claque et la lanière s’enfonce puis une marque rose puis rouge se forme. Marie garde les jambes bien serrées mais le spectacle de ses deux fesses bien rondes qu’elle agite sous nos yeux me donne une solide érection... et je ne dois pas être le seul.

Quand la punition est finie la prof lui dit de se relever et de remonter sa culotte. Nous voyons qu’elle a les yeux tout rouges et qu’une larme a coulé sur une de ses joues. Elle retourne lentement à sa place, sans regarder personne et s’assoit délicatement.
Tous les regards se portent alors sur Marion, seule debout devant nous qui croise et décroise ses doigts. La prof la regarde, presque tristement.

« J’ai discuté avec le directeur... Votre comportement est inacceptable et déshonore toute l’école. Vous avez bien de la chance que nous ayons décidé de ne pas vous renvoyer ! Mais je vous assure que vous allez regretter votre comportement ! »

Marion est toute blanche, elle vient de voir Marie montrer ses fesses à toute la classe rien que pour lui avoir laissé regarder sa copie... Elle se doute bien que son sort ne sera pas enviable !

« Puisque vous ne respecter pas l’école, vous n’aurez plus le droit d’en porter l’uniforme tant que vous n’aurez pas fait montre de travail et de repentir. »
Marion la regarde, craignant de trop bien comprendre... « Retirez-le tout de suite, avant de m’énerver encore plus ! »

De ses doigts tremblants, Marion défait un à un les boutons de son chemisier puis l’ouvre et le retire. Se faisant elle nous dévoile lentement sa poitrine, couverte d’un soutien-gorge en dentelles blanches. Tout le haut de ses seins est découvert et mon regard plonge dans le sillon qui les sépare. Il faut reconnaitre qu’elle a de beaux seins ronds !

Puis elle déboutonne sa jupe, baisse la fermeture et la retire. Sa culotte assortie à son haut n’est pas très réglementaire... mais se n’est pas ce qui me vient à l’esprit ! Je regarde le bombement de son sexe et ses poils de brune dont on devine l’ombre par transparence. Elle essaye de garder contenance pendant que la prof pose ses vêtements sur le bureau.
« Les mains sur le tableau ! » Marion prend la même position que Marie... et nous attendons tous le moment où ses fesses seront dénudées... Mademoiselle Tamir se place a coté d’elle et se saisit de la culotte. D’en geste énergique elle la descend jusqu’au sol et lui retire complètement, l’obligeant à lever les pieds.

Les fesses de Marion sont moins amples que celles de Marie, sa peau est plus mate. Mon regard se perd dans l’ombre entre ses cuisses là où la raie des fesses disparaît au profit de la fente du sexe que j’aperçois.

La prof se saisit de la lanière et entreprend une punition magistrale. Les fesses se couvrent de lignes rouges et rapidement Marion s’agite et gémit. En réponse à un coup plus appuyé, elle ne peut pas résister et se relève en posant ses mains sur ses fesses. Mademoiselle Tamir lui cingle le milieu des cuisses en lui disant de reprendre la position.

Marion s’efforce d’obéir, ses jambes sont maintenant un peu écartées nous dévoilant ses trésors cachés. La punition continue et Marion écarte encore les jambes pour mieux tenir en place, toute pudeur oubliée. Cela a le don d’énerver la prof : « Vous devriez avoir honte de vous exhiber ainsi ! » Les coups cessent. Marion se redresse, ses fesses et le haut de ses cuisses sont écarlates et zébrées de traces plus sombres.

« Retirez donc le haut si vous n’en voulez pas une autre dose ! » Marion s’exécute et son haut rejoint le reste de ses vêtements sur le bureau. « Retournez vous asseoir et que cela serve de leçon à ceux qui seraient tentés ! » Marion regarde la prof puis comprend que c’est nue qu’elle va devoir suivre la fin du cours. Quand elle se retourne nous découvrons son sexe couvert par une épaisse fourrure de brune, bien taillée, et ses seins qui pointent avec l’orgueil de la jeunesse. Son visage est couvert de larmes et elle les essuie un peu d’un revers de main.