jeudi 20 février 2014

Remords et expiation (la fessée sur le tatami)

Elodie vient de pénétrer sur le tatami central et de saluer son adversaire. Elle a vingt ans et combat en moins de 57 kilos. Son physique avantageux fait comme toujours sensation. Personnellement, à chaque fois que je la vois nue dans les vestiaires je ne peux m’empêcher de ressentir une pointe de jalousie.

« Hajime »

Le combat commence et tout de suite nous comprenons qu’Elodie, pourtant largement favorite, n’est pas au mieux. Elle esquive plus qu’elle n’attaque et son adversaire en profite pour la harceler.

Adrien, le coach sur sa chaise trépigne et essaye de la motiver. Rien n’y fait. Au bout d’une minute ce que nous craignons tous finit par arriver et difficile de contester : la moulinette qui sanctionne la non combativité.

La suite du combat est pour toute l’équipe et pour nous qui sommes venus les supporter un long cauchemar. Elodie finit par tenter une attaque à laquelle elle ne semble même pas croire vraiment et se prend un yuko sur contre. Combat perdu, l’équipe se trouve en retard d’un point et dans une situation compliquée. Il reste deux combats et si un des points semble à notre portée, pour l’autre Aline, notre combattante en moins de 70 kilos, n’est clairement pas favorite.

Elodie salue et quitte la tatami la tête basse. Elle se fait prendre à partie par Alain, notre directeur technique, qui semble lui passer un savon maison. Elle va s’asseoir sur un banc pour suivre les combats suivants.

Finalement Aline nous sert un exploit et les choses finissent bien, mais que d'émotions.


Le mercredi suivant, en soirée, c’est l'entraînement compétition. Les deux entraîneurs, Adrien et Alain, sont en face de nous au salut. Après celui-ci et pendant que nous sommes tous encore accroupis en face d’eux, les entraîneurs passent leurs messages.

Adrien félicite Aline pour son combat qui a sauvé l’équipe. Alain passe un nouveau savon à Aline, cette fois devant tout le monde. Il lui fait remarquer qu’elle a trahi toute l’équipe et lui demande si elle est vraiment motivée. Il ajoute que si elle préfère faire la fête elle en a le droit et que l’équipe se passera d’elle. Comprenant qu’il attend une réponse de sa part, Elodie nous surprend tous.

— Alain, j’ai bien réfléchi à ce que tu m’as dit dimanche en sortant du tatami et je pense que tu as raison.

Comme Alain hausse un sourcil, visiblement surpris, nous attendons tous la suite.

— Si je me rappelle bien, je t’ai dit que tu te comportais comme une sale gamine qui avait besoin d’une bonne fessée pour comprendre.

— Oui et avec le recul je sais que tu as raison. Je mérite une bonne fessée. Tu es prêt à me la donner pour que je sois pardonnée ?

Alain sourit.

— Bien sûr, quand tu veux !

— Maintenant.

Nous avons suivit leur échange sans dire un mot.

Alain se lève en souplesse, malgré ses plus de cinquante ans et se dirige vers le premier banc des gradins. Elodie le suit. Quand il s’assoit, elle reste debout en face de lui et retire sa ceinture noire puis sa veste de kimono qu’elle pose sur le banc. Nous sommes toujours en position de salut et avons tous la tête tournée vers eux.

Elle est maintenant vêtue de son bas de kimono et d’un tee-shirt blanc collant qui souligne ses formes.

Alain se tourne vers le public clairsemé, des parents et des amis des combattants.

— Je pense que voir une paire de fesses et une fille se prendre la fessée ne dérange personne.

Connaissant bien Alain, nous avons tous compris qu’il venait de mettre Elodie au défi d’accepter la demande implicite. Elle aussi a bien sûr compris.

Elle a un petit instant d’hésitation puis porte ses mains au noeud qui maintient son pantalon blanc et le défait. Elle retire alors complètement celui-ci et le pose sur sa veste. La voici ne portant plus qu’une culotte en coton blanc et nous voyons ses formes de sportives, des fesses pleines surmontant des cuisses longues et musclées. Regardant Alain dans les yeux, comme pour le mettre au défi à son tour, elle baisse lentement sa culotte.

Il faut le reconnaître, elle nous surprend. Je me dis qu’à sa place je serais toute rouge. Mon copain qui est sur les gradins semble bien placé. Il a le regard fixé sur le bas du ventre d’Elodie. D’aussi près il doit voir tous les détails. Je ne vais pas le rater ce soir, ce cochon.

— Allez, en place. Et vous autres au lieu de mater commencer donc l’échauffement.

Adrien, qui comme tout le monde regardait vers eux, reprend les commandes du groupe. Tout le monde se lève et se met à courir autour du tatami. Elodie s’est couchée en travers des genoux d’Alain et la première claque retentit.

Les minutes qui suivent doivent paraître très longues à Elodie. Alain frappe ses fesses avec vigueur et régularité, faisant visiblement l’effort de couvrir toute leur surface. A chaque tour du tatami, lorsque j’arrive en vue des fesses de la pauvre fille, elles ont changé de couleur, roses au début, elles sont de plus en plus rouges. Au bout de quelques tours, je vois qu’elle serre les poings et a croisé ses chevilles pour rester immobile et sans doute pour ne pas nous offrir le spectacle de ses jambes écartées. Quand enfin les coups cessent, ses fesses sont rouge vif. Elle s’est pris une fessée magistrale et a su garder sa dignité en ne se plaignant pas.

Alors que nous commençons la séquence d’assouplissement, Elodie se relève offrant sans y faire attention une vue frontale sur son sexe rasé. Elle remet culotte et kimono, salue Alain d’une légère courbette et nous rejoint pour l'entraînement. Elle a la figure rouge, les yeux brillants et personnellement j’admire le fait qu’elle n’ait pas fondu en larmes.

Plus tard, dans les vestiaires, quand nous nous déshabillons toutes pour prendre la douche, Elodie nous offre une vue de près sur ses fesses encore bien rouges. Elle a le droit à des remarques moqueuses, à quelque tentatives de tapes sur les fesses mais en fait elle a gagné le respect de tout le monde.

lundi 17 février 2014

La plage (ou histoire d'une bonne fessée d'une jeune fille)

Nous sommes sur une plage de Normandie, bordée d’une rangée de petites cabanes de plage en bois peintes en blancs.

Je suis en vacances depuis plusieurs jours et profite comme beaucoup du beau soleil de juillet allongé sur ma serviette.

Comme beaucoup d’hommes, je pense, je regarde avec plaisir et un soupçon d'intérêt l’anatomie que ces dames et demoiselles nous dévoilent en portant de jolis maillots. La mode du bikini est clairement un plus pour nous autres.

En cette fin de matinée, je ne peux m'empêcher d’apprécier la silhouette d’une de mes voisines de plage. Elle doit avoir quinze ou seize ans et quand elle est sortie de sa cabine mon regard s’est attardé sur son corps qu’un tout petit bikini dévoile plus qu’il ne cache.

Elle a la peau très pale, sans doute vient-elle d’arriver en vacances, ce qui explique que je ne l’ai pas encore vu car sinon je suis sûr que je m’en rappellerais. Elle a la taille fine, une très jolie poitrine ronde qui tend le haut de son maillot et surtout de très jolies fesses que son bas couvre à peine et que je suis des yeux pendant qu’elle se dirige vers la mer.

De retour de son bain, elle s’est allongée sur le ventre et laisse les rayons du soleil lui caresser le dos. J’essaye de ne pas trop me tourner vers elle mais ses cuisses et ses fesses dont la courbure est mise en valeur par sa position sont comme un appeau au voyeur que je reconnais être.

Je ne suis pas le seul à avoir mon regard attiré par son corps. Je m’amuse à regarder les passants du bord de plage qui tournent, plus ou moins discrètement, les yeux vers elle.

Un peu plus tard ma tension monte un peu quand elle détache l’attache du haut de son maillot et dégage son dos, pour éviter les traces blanches du bronzage qu’elle semble vouloir parfait.

Ma méditation est interrompue par l’arrivée d’un homme qui doit être son père et qui semble très mécontent. Elle attache rapidement son haut et baisse les yeux sous l’orage.

Je crois comprendre, malgré leurs voix basses, qu’il est rendu furieux par sa tenue “indécente”. Elle doit avoir un mot de trop car soudain il se redresse et la tire par le bras vers leur cabine pendant qu’elle se débat un peu et le supplie d’un “non, pas ça, pas ici…” qui attendrirai beaucoup de monde mais visiblement pas son père.

Ils disparaissent dans la cabine, la porte se ferme.

Nous sommes nombreux quelques instants plus tard à tourner la tête vers cette porte. Car de cette cabine s’échappe le son si reconnaissable des claquements sur une peau nue. A cette époque la fessée était encore chose commune et tous nous avons la même pensée : elle s’en prend une bonne.

Les claques se succèdent. Notre coin de la plage est devenu silencieux. Tout le monde écoute et échange des sourires complices cotés parents et des réactions plus variées coté enfants qui vont de l’amusement à l’effarement. Au bout de quelques minutes je me dis que cette fille doit serrer les dents car pas un cri ne ponctue cette fessée magistrale.

Finalement le silence survient et nous guettons tous la sortie des “artistes”.  La porte s’ouvre et le père sort le premier, traînant sa fille par la main. Tout de suite nous constatons que ses joues sont couvertes de traces de larmes qu’elle essaye d’essuyer maladroitement avec sa main libre.

Puis ils s’éloignent vers le parking et ma dernière vision est celle d’une paire de fesses écarlates dépassant d’un tout petit maillot. Qu’elle honte se doit être pour elle que de sentir tous les regards sur ses fesses et de se dire que tous nous savons qu’elle a été fessée comme une gamine.

mardi 4 février 2014

L'Olivier (8) - Le verre suivi de la demande de Julie

Le verre


En m’asseyant pour bouquiner, je vois un verre salle posé à côté du fauteuil. Je sais ce qu’il me reste à faire. En soupirant j’appelle ma fille.

— Marie, arrive immédiatement !

Sans surprise elle n’est pas loin. Je lui montre le verre du doigt.

— Marie, tu sais très bien que je ne supporte pas de trouver des verres par terre. C’est sale et dangereux. Tu sais ce qui t’attend…
— Une fessée, répond-elle, une bonne fessée sur mes fesses nues.
— Exactement. Prépare-toi, je n’ai pas que cela à faire.

Marie retire son jean, découvrant une jolie culotte en dentelle. Un shorty pour être précis. Celui-ci lui moule les fesses, les laissant pour partie dénudées. Je lui fais signe de continuer et elle descend lentement ce dernier voile. Bien que ce ne soit pas la première fois de loin, je ne peux m’empêcher d’admirer ce qu’elle dévoile ainsi. Son sexe à peine couvert par sa toison brune bien taillée et quand elle se retourne son fessier rond et musclé.

Elle s’installe en travers de mes cuisses. Je la fesse lentement mais avec une certaine vigueur qui permet à la chaleur de monter lentement, aux fesses de changer de couleur et très certainement à la douleur de s’installer progressivement. Marie ne cherche pas à protéger son derrière. Elle accepte la punition et je crois s’en délecte aussi. Je le sais car le verre est devenu un signal entre nous.

La première fois que j’ai trouvé un verre par terre, j’ai donné à Marie une bonne fessée. J’ai été surpris, quand elle s’est redressée, les yeux mouillés de larmes et les mains massant ses fesses de l’entendre me remercier. Quelques semaines plus tard, la scène s’est déroulée à l’identique. J’ai demandé à Marie pourquoi elle me remerciait et elle m’a répondu qu’elle avait besoin d’une bonne fessée et me remerciait de lui avoir donné. J’ai donc compris qu’elle assouvissait ainsi son fantasme et allait surement en profiter le soir au lit.

Je continue donc la fessée jusqu’à sentir son corps se détendre et sa respiration changer. A ce signal, je me mets à lui asséner des claques très fortes, qui me chauffent la main et lui arrachent des cris. Au bout d’une vingtaine, ses fesses sont rouge brique et j’arrête.
Elle se redresse, porte ses mains à ses fesses et, avec un demi sourire au milieu de ses larmes, me dit merci.

Je la laisse repartir vers sa chambre et entame enfin ma lecture.

La demande de Julie

 

Les semaines s’égrainent lentement. Marie me semble travailler. Julie passe régulièrement chez nous.

Un soir, je trouve que les deux filles semblent agitées ou préoccupées. Je suis en train de boire mon whisky quand Marie me fait signe de venir. Je me lève donc et rejoins la table où elles se sont installées pour travailler. En m’approchant, je constate que Julie semble avoir les yeux rouges, comme si elle avait pleuré. C’est Marie qui prend la parole.

— Papa, Julie à un gros problème. Elle a été agressée et ne sait plus quoi faire.
— Agressée ?

Je me tourne vers Julie mais de nouveau c’est Marie qui parle.

— Hier soir, en rentrant chez elle, elle a été abordée par une petite bande de gars qui avaient trop bu. Ils l’ont coincé. Puis ils ont commencé à lui dire qu’elle devait être « bonne » tout en la touchant. L’un d’eux lui caressait les fesse, l’autre lui a peloté les seins pendant que les autres l’empêchait de se débattre.
— C’était horrible. J’ai crié mais personne ne venait. J’ai senti des mains sous ma culotte, des doigts sur mon sexe. J’ai pensé qu’ils allaient me violer dans le couloir. J’ai hurlé. Subitement la bande est partie en riant et en me promettant de repasser. J’ai fini par reprendre mon souffle et je me suis enfermé dans ma chambre. Je crois bien que j’ai pleuré toute la nuit.

J’avoue être resté sans voix un instant. Puis j’ai serré Julie contre moi, car elle s’était remise à pleurer.

— Ici tu ne risques rien. Tu vas dormir à la maison. Il faut que tu portes plainte.
— A quoi cela va servir. Je n’ai pas de témoins, pas de marques. Les flics vont me reluquer comme tous les gars et se moquer de moi dans mon dos. Et j’ai si peur que cela recommence.

Marie me regarde puis regarde Julie. Je sens qu’une idée a germé dans sa tête.

— Papa, tu accepterais que Julie vienne s’installer ici, on a de la place non ? Et toi Julie, tu trouves l’idée comment ?

Julie me regarde.

— Oh oui, ce serait si bien. Je vous promets d’être sage, discrète, obéissante. S’il vous plait, dites oui…

Je les regarde. Je sais bien que je ne peux pas refuser. Je suis tout de même un peu inquiet. Je vois que Marie et Julie me regardent pleines d’espoir.

— C’est d’accord.
— Oh merci. Vous me sauvez.

Julie a enfin un de ses si beaux sourires qui font briller ses yeux bleus.

— Marie, va voir avec elle quelle chambre elle veut prendre, puis nous irons tous ensemble chercher ses affaires.

C’est ainsi que je me suis retrouvé héberger deux jeunes filles dans la villa de l’olivier.

Le lendemain j'avais presque fini de prendre mon petit déjeuner quand Julie est arrivée dans la cuisine. Je vois que Julie est un peu surprise de voir Marie en chemise de nuit debout à côté de moi, me servant. Il faut dire que Marie porte une chemise assez courte qui, sans être transparente, laisse deviner ses formes. Du fait de l’habitude, je ne m’en étais pas rendu compte et c’est le regard de Julie qui me le fais constater.

Julie est vêtue d’un jean et d’un tee-shirt. Elle a encore les yeux cernés et dès qu’elle s’assoit, Marie la sert. Je sens que cela gêne Julie mais elle n’ose rien dire. Nous bavardons tranquillement jusqu’à que je les quitte pour aller travailler.

Le soir je constate que Julie aide Marie pour le repas et le service. Cela me fait sourire. Deux jolies filles aux petits soins, que rêver de mieux.

Notre vie à trois s’organise tranquillement et sans heurts.  Julie aide Marie dans tous les travaux domestiques. Elles travaillent régulièrement ensemble pour la fac, partent ensembles, rentrent ensembles. Elles sont devenues inséparables. Julie semble de plus en plus à l’aise, un matin je la vois arriver elle aussi en chemise de nuit. Même si sa chemise en coton imprimé est très pudique, je ne peux m’empêcher d'imaginer son corps en dessous, d’autant plus que les mouvements de sa poitrine me prouve qu’elle est libre. Je prends sur moi de ne pas trop la regarder, pour qu’elle se sente bien chez nous.

Le premier vendredi, quand je donne à Marie une fessée relativement modeste mais néanmoins fesses nues pour ses fautes de la semaine, Julie nous regarde. Je la sens songeuse.

Je vous avoue que l’on s’habitue très bien à être servi et à avoir une maison parfaitement tenue. Je fais te temps à autres une remarque à Marie, pour des détails. Je sais qu’elle aime me voir exigeant. Rien ne justifie une punition. En regardant la liste le soir, je constate que Marie est bien plus exigeante que moi.