Elodie vient de pénétrer sur le tatami central et de saluer son adversaire. Elle a vingt ans et combat en moins de 57 kilos. Son physique avantageux fait comme toujours sensation. Personnellement, à chaque fois que je la vois nue dans les vestiaires je ne peux m’empêcher de ressentir une pointe de jalousie.
« Hajime »
Le combat commence et tout de suite nous comprenons qu’Elodie, pourtant largement favorite, n’est pas au mieux. Elle esquive plus qu’elle n’attaque et son adversaire en profite pour la harceler.
Adrien, le coach sur sa chaise trépigne et essaye de la motiver. Rien n’y fait. Au bout d’une minute ce que nous craignons tous finit par arriver et difficile de contester : la moulinette qui sanctionne la non combativité.
La suite du combat est pour toute l’équipe et pour nous qui sommes venus les supporter un long cauchemar. Elodie finit par tenter une attaque à laquelle elle ne semble même pas croire vraiment et se prend un yuko sur contre. Combat perdu, l’équipe se trouve en retard d’un point et dans une situation compliquée. Il reste deux combats et si un des points semble à notre portée, pour l’autre Aline, notre combattante en moins de 70 kilos, n’est clairement pas favorite.
Elodie salue et quitte la tatami la tête basse. Elle se fait prendre à partie par Alain, notre directeur technique, qui semble lui passer un savon maison. Elle va s’asseoir sur un banc pour suivre les combats suivants.
Finalement Aline nous sert un exploit et les choses finissent bien, mais que d'émotions.
Le mercredi suivant, en soirée, c’est l'entraînement compétition. Les deux entraîneurs, Adrien et Alain, sont en face de nous au salut. Après celui-ci et pendant que nous sommes tous encore accroupis en face d’eux, les entraîneurs passent leurs messages.
Adrien félicite Aline pour son combat qui a sauvé l’équipe. Alain passe un nouveau savon à Aline, cette fois devant tout le monde. Il lui fait remarquer qu’elle a trahi toute l’équipe et lui demande si elle est vraiment motivée. Il ajoute que si elle préfère faire la fête elle en a le droit et que l’équipe se passera d’elle. Comprenant qu’il attend une réponse de sa part, Elodie nous surprend tous.
— Alain, j’ai bien réfléchi à ce que tu m’as dit dimanche en sortant du tatami et je pense que tu as raison.
Comme Alain hausse un sourcil, visiblement surpris, nous attendons tous la suite.
— Si je me rappelle bien, je t’ai dit que tu te comportais comme une sale gamine qui avait besoin d’une bonne fessée pour comprendre.
— Oui et avec le recul je sais que tu as raison. Je mérite une bonne fessée. Tu es prêt à me la donner pour que je sois pardonnée ?
Alain sourit.
— Bien sûr, quand tu veux !
— Maintenant.
Nous avons suivit leur échange sans dire un mot.
Alain se lève en souplesse, malgré ses plus de cinquante ans et se dirige vers le premier banc des gradins. Elodie le suit. Quand il s’assoit, elle reste debout en face de lui et retire sa ceinture noire puis sa veste de kimono qu’elle pose sur le banc. Nous sommes toujours en position de salut et avons tous la tête tournée vers eux.
Elle est maintenant vêtue de son bas de kimono et d’un tee-shirt blanc collant qui souligne ses formes.
Alain se tourne vers le public clairsemé, des parents et des amis des combattants.
— Je pense que voir une paire de fesses et une fille se prendre la fessée ne dérange personne.
Connaissant bien Alain, nous avons tous compris qu’il venait de mettre Elodie au défi d’accepter la demande implicite. Elle aussi a bien sûr compris.
Elle a un petit instant d’hésitation puis porte ses mains au noeud qui maintient son pantalon blanc et le défait. Elle retire alors complètement celui-ci et le pose sur sa veste. La voici ne portant plus qu’une culotte en coton blanc et nous voyons ses formes de sportives, des fesses pleines surmontant des cuisses longues et musclées. Regardant Alain dans les yeux, comme pour le mettre au défi à son tour, elle baisse lentement sa culotte.
Il faut le reconnaître, elle nous surprend. Je me dis qu’à sa place je serais toute rouge. Mon copain qui est sur les gradins semble bien placé. Il a le regard fixé sur le bas du ventre d’Elodie. D’aussi près il doit voir tous les détails. Je ne vais pas le rater ce soir, ce cochon.
— Allez, en place. Et vous autres au lieu de mater commencer donc l’échauffement.
Adrien, qui comme tout le monde regardait vers eux, reprend les commandes du groupe. Tout le monde se lève et se met à courir autour du tatami. Elodie s’est couchée en travers des genoux d’Alain et la première claque retentit.
Les minutes qui suivent doivent paraître très longues à Elodie. Alain frappe ses fesses avec vigueur et régularité, faisant visiblement l’effort de couvrir toute leur surface. A chaque tour du tatami, lorsque j’arrive en vue des fesses de la pauvre fille, elles ont changé de couleur, roses au début, elles sont de plus en plus rouges. Au bout de quelques tours, je vois qu’elle serre les poings et a croisé ses chevilles pour rester immobile et sans doute pour ne pas nous offrir le spectacle de ses jambes écartées. Quand enfin les coups cessent, ses fesses sont rouge vif. Elle s’est pris une fessée magistrale et a su garder sa dignité en ne se plaignant pas.
Alors que nous commençons la séquence d’assouplissement, Elodie se relève offrant sans y faire attention une vue frontale sur son sexe rasé. Elle remet culotte et kimono, salue Alain d’une légère courbette et nous rejoint pour l'entraînement. Elle a la figure rouge, les yeux brillants et personnellement j’admire le fait qu’elle n’ait pas fondu en larmes.
Plus tard, dans les vestiaires, quand nous nous déshabillons toutes pour prendre la douche, Elodie nous offre une vue de près sur ses fesses encore bien rouges. Elle a le droit à des remarques moqueuses, à quelque tentatives de tapes sur les fesses mais en fait elle a gagné le respect de tout le monde.
Sympa comme histoire... L'idée d'accepter sa fessée en public me plait beaucoup ! Ainsi que le fait qu'elle accepte même de baisser sa culotte devant tout le monde.
RépondreSupprimerPar contre, je ne m'attendais à ce qu'elle puisse se rhabiller juste après la fin de sa fessée.
Très beau récit. Pascfz voulait certainement dire qu' Elodie devait aller au coin. Moi je ne pense pas car c' est bien elle qui a demandé la fessée proposée par Alain . Elle a accepté que cette fessée soit publique et déculottée, c' est déjà pas mal comme humiliation.
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