Le verre
En m’asseyant pour bouquiner, je vois un verre salle posé à côté du fauteuil. Je sais ce qu’il me reste à faire. En soupirant j’appelle ma fille.
— Marie, arrive immédiatement !
Sans surprise elle n’est pas loin. Je lui montre le verre du doigt.
— Marie, tu sais très bien que je ne supporte pas de trouver des verres par terre. C’est sale et dangereux. Tu sais ce qui t’attend…
— Une fessée, répond-elle, une bonne fessée sur mes fesses nues.
— Exactement. Prépare-toi, je n’ai pas que cela à faire.
Marie retire son jean, découvrant une jolie culotte en dentelle. Un shorty pour être précis. Celui-ci lui moule les fesses, les laissant pour partie dénudées. Je lui fais signe de continuer et elle descend lentement ce dernier voile. Bien que ce ne soit pas la première fois de loin, je ne peux m’empêcher d’admirer ce qu’elle dévoile ainsi. Son sexe à peine couvert par sa toison brune bien taillée et quand elle se retourne son fessier rond et musclé.
Elle s’installe en travers de mes cuisses. Je la fesse lentement mais avec une certaine vigueur qui permet à la chaleur de monter lentement, aux fesses de changer de couleur et très certainement à la douleur de s’installer progressivement. Marie ne cherche pas à protéger son derrière. Elle accepte la punition et je crois s’en délecte aussi. Je le sais car le verre est devenu un signal entre nous.
La première fois que j’ai trouvé un verre par terre, j’ai donné à Marie une bonne fessée. J’ai été surpris, quand elle s’est redressée, les yeux mouillés de larmes et les mains massant ses fesses de l’entendre me remercier. Quelques semaines plus tard, la scène s’est déroulée à l’identique. J’ai demandé à Marie pourquoi elle me remerciait et elle m’a répondu qu’elle avait besoin d’une bonne fessée et me remerciait de lui avoir donné. J’ai donc compris qu’elle assouvissait ainsi son fantasme et allait surement en profiter le soir au lit.
Je continue donc la fessée jusqu’à sentir son corps se détendre et sa respiration changer. A ce signal, je me mets à lui asséner des claques très fortes, qui me chauffent la main et lui arrachent des cris. Au bout d’une vingtaine, ses fesses sont rouge brique et j’arrête.
Elle se redresse, porte ses mains à ses fesses et, avec un demi sourire au milieu de ses larmes, me dit merci.
Je la laisse repartir vers sa chambre et entame enfin ma lecture.
La demande de Julie
Les semaines s’égrainent lentement. Marie me semble travailler. Julie passe régulièrement chez nous.
Un soir, je trouve que les deux filles semblent agitées ou préoccupées. Je suis en train de boire mon whisky quand Marie me fait signe de venir. Je me lève donc et rejoins la table où elles se sont installées pour travailler. En m’approchant, je constate que Julie semble avoir les yeux rouges, comme si elle avait pleuré. C’est Marie qui prend la parole.
— Papa, Julie à un gros problème. Elle a été agressée et ne sait plus quoi faire.
— Agressée ?
Je me tourne vers Julie mais de nouveau c’est Marie qui parle.
— Hier soir, en rentrant chez elle, elle a été abordée par une petite bande de gars qui avaient trop bu. Ils l’ont coincé. Puis ils ont commencé à lui dire qu’elle devait être « bonne » tout en la touchant. L’un d’eux lui caressait les fesse, l’autre lui a peloté les seins pendant que les autres l’empêchait de se débattre.
— C’était horrible. J’ai crié mais personne ne venait. J’ai senti des mains sous ma culotte, des doigts sur mon sexe. J’ai pensé qu’ils allaient me violer dans le couloir. J’ai hurlé. Subitement la bande est partie en riant et en me promettant de repasser. J’ai fini par reprendre mon souffle et je me suis enfermé dans ma chambre. Je crois bien que j’ai pleuré toute la nuit.
J’avoue être resté sans voix un instant. Puis j’ai serré Julie contre moi, car elle s’était remise à pleurer.
— Ici tu ne risques rien. Tu vas dormir à la maison. Il faut que tu portes plainte.
— A quoi cela va servir. Je n’ai pas de témoins, pas de marques. Les flics vont me reluquer comme tous les gars et se moquer de moi dans mon dos. Et j’ai si peur que cela recommence.
Marie me regarde puis regarde Julie. Je sens qu’une idée a germé dans sa tête.
— Papa, tu accepterais que Julie vienne s’installer ici, on a de la place non ? Et toi Julie, tu trouves l’idée comment ?
Julie me regarde.
— Oh oui, ce serait si bien. Je vous promets d’être sage, discrète, obéissante. S’il vous plait, dites oui…
Je les regarde. Je sais bien que je ne peux pas refuser. Je suis tout de même un peu inquiet. Je vois que Marie et Julie me regardent pleines d’espoir.
— C’est d’accord.
— Oh merci. Vous me sauvez.
Julie a enfin un de ses si beaux sourires qui font briller ses yeux bleus.
— Marie, va voir avec elle quelle chambre elle veut prendre, puis nous irons tous ensemble chercher ses affaires.
C’est ainsi que je me suis retrouvé héberger deux jeunes filles dans la villa de l’olivier.
Le lendemain j'avais presque fini de prendre mon petit déjeuner quand Julie est arrivée dans la cuisine. Je vois que Julie est un peu surprise de voir Marie en chemise de nuit debout à côté de moi, me servant. Il faut dire que Marie porte une chemise assez courte qui, sans être transparente, laisse deviner ses formes. Du fait de l’habitude, je ne m’en étais pas rendu compte et c’est le regard de Julie qui me le fais constater.
Julie est vêtue d’un jean et d’un tee-shirt. Elle a encore les yeux cernés et dès qu’elle s’assoit, Marie la sert. Je sens que cela gêne Julie mais elle n’ose rien dire. Nous bavardons tranquillement jusqu’à que je les quitte pour aller travailler.
Le soir je constate que Julie aide Marie pour le repas et le service. Cela me fait sourire. Deux jolies filles aux petits soins, que rêver de mieux.
Notre vie à trois s’organise tranquillement et sans heurts. Julie aide Marie dans tous les travaux domestiques. Elles travaillent régulièrement ensemble pour la fac, partent ensembles, rentrent ensembles. Elles sont devenues inséparables. Julie semble de plus en plus à l’aise, un matin je la vois arriver elle aussi en chemise de nuit. Même si sa chemise en coton imprimé est très pudique, je ne peux m’empêcher d'imaginer son corps en dessous, d’autant plus que les mouvements de sa poitrine me prouve qu’elle est libre. Je prends sur moi de ne pas trop la regarder, pour qu’elle se sente bien chez nous.
Le premier vendredi, quand je donne à Marie une fessée relativement modeste mais néanmoins fesses nues pour ses fautes de la semaine, Julie nous regarde. Je la sens songeuse.
Je vous avoue que l’on s’habitue très bien à être servi et à avoir une maison parfaitement tenue. Je fais te temps à autres une remarque à Marie, pour des détails. Je sais qu’elle aime me voir exigeant. Rien ne justifie une punition. En regardant la liste le soir, je constate que Marie est bien plus exigeante que moi.
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