mardi 28 janvier 2014

L'Olivier (7) - Le martinet entre en jeu

Le martinet


Les semaines se succèdent tranquillement, ponctuées d’une fessée de temps à autre.

Cherchant un intermédiaire entre la ceinture et ma main, j’ai commandé un martinet sur internet. Le jour de sa réception je l’ai montré à Marie et nous sommes tombés d’accord sur le fait que ce nouvel instrument servirait pour sa prochaine grosse bêtise. En attendant il est rangé dans un tiroir de la cuisine.

Deux semaines plus tard, Marie note sur la liste qu’elle a remis un devoir en retard. Elle m’explique qu’elle avait mal noté la date de remise. Nous convenons que c’est sans conteste une faute grave. Le martinet va donc être étrenné en fin de semaine.
Le vendredi, en rentant du boulot, je trouve Julie devant la porte. Elle me dit qu’elle est venue emprunter un livre mais que personne ne répond à la sonnette.

J’ouvre la porte et lui fais signe de me suivre. Je vois tout de suite que Marie est installée comme convenu, nue au coin. Je me tourne vers Julie qui bien sûr regarde sa copine.

— Marie va recevoir sa punition. C’est parfait que tu sois là, Julie, tu vas pouvoir me donner ton avis car nous allons étrenner le martinet.

Je vois que Marie esquisse un mouvement de la tête. Elle vient de comprendre que je ne suis pas seul.

Je vais prendre le martinet et appelle Marie.

— Vient donc par ici et penche-toi sur la table.

Je me suis mis en place à côté de la table de salle à manger. C’est une table en verre rectangulaire.  Marie se place sur le petit côté et se penche. Son corps se couche sur la table, sa poitrine s’écrasant un peu. Elle a regardé sa copine, visiblement gênée de déambuler nue devant elle.

—Tient chaque côté avec les mains et fait attention de ne pas lâcher la table.

Je fais signe à Julie d’approcher puis je lève le martinet et l’abat sur les fesses de Marie. Des marques roses apparaissent. Au bout de quelques coups, Marie se met à agiter son derrière qui vire lentement du rose au rouge.

— Tu vois Julie, le martinet est un instrument très pratique. Tu ne risques pas de blesser l’autre et tu peux frapper où tu veux.

Je ponctue cette explication de quelques coups sur le haut des cuisses. Marie gémit car la zone est plus sensible.

— Tu peux aussi punir longtemps car il n’y a presque aucun risque de blesser la peau.

J’ai recommencé à couvrir les fesses qui sont maintenant très rouges. Marie pousse régulièrement de petits cris et des larmes coulent sur la table. Je m’arrête un instant et tâte les fesses qui sont devenues bien chaude.

— Pose donc ta main Julie, tu vas voir comme elles sont chaudes. Cela prouve que la punition devient efficace.

Julie caresse doucement les fesses de Marie. Je reprends ensuite la punition. Marie a les mains blanches à force de serrer le bord de la table. Je décide qu’il est temps d’arrêter.

— Bon, Marie, tu peux te relever. Julie est venue chercher un livre, va donc voir avec elle. Je pense que tu lui as fait perdre assez de temps.

Les fesses écarlates, les joues couvertes de larmes, Marie accompagne Julie vers sa chambre. Un peu plus tard elles reviennent. Julie a un livre à la main et me dit au revoir avant de sortir.
Marie se dirige vers la cuisine et me prépare mon dîner.

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