Nous sommes sur une plage de Normandie, bordée d’une rangée de petites cabanes de plage en bois peintes en blancs.
Je suis en vacances depuis plusieurs jours et profite comme beaucoup du beau soleil de juillet allongé sur ma serviette.
Comme beaucoup d’hommes, je pense, je regarde avec plaisir et un soupçon d'intérêt l’anatomie que ces dames et demoiselles nous dévoilent en portant de jolis maillots. La mode du bikini est clairement un plus pour nous autres.
En cette fin de matinée, je ne peux m'empêcher d’apprécier la silhouette d’une de mes voisines de plage. Elle doit avoir quinze ou seize ans et quand elle est sortie de sa cabine mon regard s’est attardé sur son corps qu’un tout petit bikini dévoile plus qu’il ne cache.
Elle a la peau très pale, sans doute vient-elle d’arriver en vacances, ce qui explique que je ne l’ai pas encore vu car sinon je suis sûr que je m’en rappellerais. Elle a la taille fine, une très jolie poitrine ronde qui tend le haut de son maillot et surtout de très jolies fesses que son bas couvre à peine et que je suis des yeux pendant qu’elle se dirige vers la mer.
De retour de son bain, elle s’est allongée sur le ventre et laisse les rayons du soleil lui caresser le dos. J’essaye de ne pas trop me tourner vers elle mais ses cuisses et ses fesses dont la courbure est mise en valeur par sa position sont comme un appeau au voyeur que je reconnais être.
Je ne suis pas le seul à avoir mon regard attiré par son corps. Je m’amuse à regarder les passants du bord de plage qui tournent, plus ou moins discrètement, les yeux vers elle.
Un peu plus tard ma tension monte un peu quand elle détache l’attache du haut de son maillot et dégage son dos, pour éviter les traces blanches du bronzage qu’elle semble vouloir parfait.
Ma méditation est interrompue par l’arrivée d’un homme qui doit être son père et qui semble très mécontent. Elle attache rapidement son haut et baisse les yeux sous l’orage.
Je crois comprendre, malgré leurs voix basses, qu’il est rendu furieux par sa tenue “indécente”. Elle doit avoir un mot de trop car soudain il se redresse et la tire par le bras vers leur cabine pendant qu’elle se débat un peu et le supplie d’un “non, pas ça, pas ici…” qui attendrirai beaucoup de monde mais visiblement pas son père.
Ils disparaissent dans la cabine, la porte se ferme.
Nous sommes nombreux quelques instants plus tard à tourner la tête vers cette porte. Car de cette cabine s’échappe le son si reconnaissable des claquements sur une peau nue. A cette époque la fessée était encore chose commune et tous nous avons la même pensée : elle s’en prend une bonne.
Les claques se succèdent. Notre coin de la plage est devenu silencieux. Tout le monde écoute et échange des sourires complices cotés parents et des réactions plus variées coté enfants qui vont de l’amusement à l’effarement. Au bout de quelques minutes je me dis que cette fille doit serrer les dents car pas un cri ne ponctue cette fessée magistrale.
Finalement le silence survient et nous guettons tous la sortie des “artistes”. La porte s’ouvre et le père sort le premier, traînant sa fille par la main. Tout de suite nous constatons que ses joues sont couvertes de traces de larmes qu’elle essaye d’essuyer maladroitement avec sa main libre.
Puis ils s’éloignent vers le parking et ma dernière vision est celle d’une paire de fesses écarlates dépassant d’un tout petit maillot. Qu’elle honte se doit être pour elle que de sentir tous les regards sur ses fesses et de se dire que tous nous savons qu’elle a été fessée comme une gamine.
Dommage la fessée n' a pas été publique, mais finalement le résultat est le même, tout le monde a entendu et vu ensuite les fesses écarlates de cette pauvre jeune fille.
RépondreSupprimerC'est horrible quand ca vous arrive, meme sans etre vue mais savoir que les autres entendent et vont te regarder en sachant ce qui vient de se passer.
RépondreSupprimerC'est amusant, mais décevant. Son père est un homme de Neandertal. Pas gentil de sa part de faire ça à sa fille qui est déjà grande et belle. Notre père s'y serait pris de façon civilisée et, ma grande soeur aurait réagi avec compréhension car il était un homme vraiment gentil. La honte est pour ce père sans délicatesse.
RépondreSupprimer