Il fait beau.
Je rentre de mon cours d’équitation. J’adore le cheval et espère bien en avoir un à moi un jour. Mon copain est passé me regarder pendant le cours. J’aime bien. Je sais que la tenue de cheval, si collante, me donne une jolie silhouette. La vie est belle.
Je gare mon scooter dans l’allée qui mène à la maison, retire mon casque et prend mes affaires. J’entends une voiture qui pénètre dans notre allée et tourne la tête.
Je reconnais mon oncle et ma tante et à l’arrière mon cousin. Maxime a treize ans et est déjà presque aussi grand que moi qui en ai dix-sept. Il me fait signe, je lui souris. Ils sortent de leur voiture et je vais vers eux les embrasser.
— Tu es toujours plus belle, ma nièce, me taquine mon oncle. Les garçons doivent te tourner autour.
Je ris, En fait il n’a pas tord et moi j’en profite. J’aime avoir des garçons autour de moi, qui espèrent un sourire, une invitation…
En blaguant nous nous dirigeons vers la maison. J’ouvre la porte et les fais entrer. Ma mère à du nous entendre car elle est déjà là, à venir vers nous. Séance bisous.
Pendant que je me baisse pour retirer mes bottines de cheval, je vois que Maxime regarde mes fesses moulées dans le pantalon beige. Il grandit et s’intéresse aux filles, j’en souris intérieurement.
Pendant que la famille entre dans le salon, j’annonce que je vais me changer. Après une séance d’équitation, une bonne douche s’impose. Je monte donc dans ma chambre et me déshabille en me regardant dans ma glace. Je retire mon tee-shirt et mon soutien-gorge, libérant mes seins. Je me baisse et retire en même temps pantalon et culotte. Tout va aller au sale. Je me souris dans la glace, j’aime ce que je vois, la vie est belle.
Ici, grâce à l’argent que ramène mon père, la maison est grande et chaque chambre à droit à une petite salle de bain privée avec douche. Les copines me l’envient, surtout celles qui doivent la partager avec des frères…
Me voici sous la douche. Je me lave les cheveux puis profite du jet d’eau bien chaud pour me frictionner le corps. Je repense à mon copain, sûr qu’il adorerait être là à me regarder. Il n’a pas encore eu droit à me voir nue, notre relation commence et je sais aller lentement pour les faire mariner. Pour l’instant le mieux que je lui ai laissé faire c’est glisser la main sous mon haut pour caresser ma poitrine pendant que je le caressais plus bas. Il appréciait visiblement. Le gant mouillé passe sur mon sein et je constate qu’il est sensible, je joue avec la pointe qui se tend. La vie est belle !
J’enfile un jean moulant et un haut flottant qui met ma poitrine en valeur puis je descends rapidement rejoindre la famille.
Quand j’entre dans le salon, une conversation est en cours. Je n’en saisis pas bien les tenants mais constate que Maxime fait la tête.
— C’est vrai qu’il est grand, vient de dire mon père.
Je regarde Maxime. Il rougit. Je ne comprends pas.
— Alors tu as encore du mal à t’asseoir ?
— Maxime, répond à ton oncle quand il te pose une question !
— Non, ça va.
Il fait franchement la tête.
— A son âge on commence à avoir les fesses solides ! Rien ne vaut une bonne séance pour aider certains messages à entrer.
Mon oncle vient de me voir, il demande à Maxime de m’expliquer. Il n’a pas le choix et rougit de plus belle. Je crois comprendre de quoi ils parlent et me demande bien ce qui à pu leur passer par la tête pour que cela soit déjà un sujet de conversation. Pauvre Maxime. Je lui souris, espérant avoir l’air sympa.
— Élodie, ils parlent de la punition que j’ai reçue hier soir à la maison...
— Soit plus précis, Maxime, raconte comment tu as été puni.
— Papa m’a annoncé que j’allais recevoir une bonne fessée. Je lui ai dit que j’étais trop grand pour la fessée. Il m’a surpris en me disant qu’il était d’accord. J’ai cru un instant que j’allais échapper à la honte de devoir montrer mes fesses. Hélas, je me trompais. Il s’est tourné vers maman, elle a hoché la tête, puis il a repris en m’expliquant que maintenant j’aurai droit à la badine, comme les grands. Il m’a demandé de me préparer pendant qu’il allait la rechercher. Je ne savais pas ce qu’il voulait que je fasse. Maman m’a expliqué que je devais me mettre nu, tu imagines ma réaction. Quand papa est revenu avec à la main une longue badine, je n’avais encore rien fait. J’ai vite compris que si je n’obéissais pas j’aurai droit à des coups supplémentaire et cet instrument me faisait déjà peur.
Elodie l’écoutait, n’imaginant que trop bien la scène.
— J’ai fini par obéir et rapidement je me suis retrouvé tout nu et tout rouge. J’ai du plier proprement mes affaires puis prendre position, jambes tendues et mains sur les chevilles. Dès le premier coup, j’ai tout oublié de ma honte. Tu n’imagines pas le mal que cela fait un coup de badine. J’ai poussé un cri et me suis redressé, mes mains sur les fesses. je sentais la trace qui gonflait sous mes doigts. J’ai eu droit à trois autres coups et papa m’a expliqué que la prochaine fois j’aurai le droit à six… J’ai fini la journée au coin, les fesses exposées. Heureusement personne n’est passé chez nous.
Tout en racontant, ses mains s’étaient portées sur ses fesses. J’ai souri en le remarquant. Je ne savais pas que c’était mon dernier sourire de la journée. Elle avait si bien commencé cette journée pourtant.
J’ai regardé ma mère et ai fait une dernière remarque innocente.
— Je te plains Maxime. Mais quelle idée de vous mettre à parler de cela par une si belle journée !
— C’est la vue de ton bulletin, posé sur la table qui nous a fait penser à ce qui avait suivi la réception de celui de Maxime.
— Mon bulletin ?
J’étais sûre qu’il n’allait pas arriver avant quelques jours et j’avais prévu tout un plan pour préparer les parents à sa lecture qui risquait de les énerver… Une copine qui siège au Conseil de classe m’avait prévenue que les profs étaient remontés contre moi et que leur remarques étaient encore pire que mes notes. Je tentais une dernière manoeuvre, ramassant le bulletin en me gardant bien de le regarder.
---- On fera le point avec papa quand ils seront partis.
Ma mère a bien compris mon manège et hélas pour moi, avait eu le temps de le lire…
— Montre donc ce bulletin à ton oncle, on va voir ce qu’il en pense…
Je n’ai pu éviter d’obéir. Il l’a pris, l’a ouvert et parcouru une première fois rapidement puis une seconde fois plus attentivement tout en me jetant des regards....
— Alors tu en penses quoi ? Tu ferai quoi si c’était ta fille ?
— J’en pense qu’un pareil bulletin n’est pas acceptable. Les notes ne sont pas terribles, certainement bien inférieures à ce qu’elle pourrait avoir, mais les annotations… Prenons celle du prof de français, typique des autres mais plus claire : « passe son temps à aguicher les garçons et à s’occuper de leurs réactions avec ses copines au lieu d’écouter les cours ». Quant à ce que je ferais, tu t’en doutes. Maxime vient de vous en donner une idée.
— Je suis bien d’accord avec toi, cela fait deux ans qu’elle n’est pas sortie mais je crois que la badine va de nouveau servir…
En les écoutant j’étais devenue toute pale. Maxime me regardais, regardais ma mère, ses parents. Je pense qu’il se demandais si ses oreilles ne le trompais pas.
— Prépare toi pendant que je vais chercher la badine.
Je me dirige vers l’escalier mais suis rattrapée par une nouvelle remarque.
— Depuis quand on te puni dans ta chambre ?
— Mais, on n’est pas seuls…
— Ils sont de la famille. Ton oncle ne sera pas choqué, je t’assure.
J’étais comme figée sur place.
— Si je te retrouve habillée quand je reviens, tes fesses vont le regretter…
Elle sort. Je regarde mon oncle, ma tante, Maxime. Le premier sourit, la seconde a l’air de me comprendre mon état d’esprit, le troisième est bouche bée.
— Tu ne devrais pas énerver ta mère encore plus, tu sais.
Je sais que ma tante à raison. Je me retourne et défait le bouton de mon jean puis ouvra la fermeture éclair. J’inspire un bon coup puis le baisse en entraînant ma culotte. Je suis très consciente de montrer mes fesses. Je finis de retirer mon bas en gardant les jambes bien serrées et en pliant les genoux. La manoeuvre est sans doute peu esthétique mais j’en montre le moins possible. Je reste face au mur.
Je n’entend pas de bruit derrière moi, c’est presque pire. Je retire mon tee-shirt et mon soutien-gorge. Ils vont rejoindre la pile de vêtements à mes pieds. Dernière humiliation, je mets mes mains sur ma tête. Je dois avoir l’air maligne à mon âge, le nez au mur, les mains sur la tête et les fesses à l’air. Je suis sûre que Maxime doit apprécier le spectacle.
J’entends marcher et je comprends que ma mère est de retour car elle m’interpelle :
— Elodie, depuis quand on laisse ses affaires en tas par terre ?
Je regarde à coté de moi mes vêtements.
— Fais moi le plaisir de les poser sur la table, bien pliés. Tu ne vas pas en avoir besoin de si tôt.
Je vous laisse imaginer la suite. J’essaye de rester le dos tourné vers les spectateurs mais je me doute que mes mouvements dévoilent par moment ma poitrine. Qu’y faire quand on a les mains occupées à plier des habits.
— Cela suffit ces manières. Retourne toi et vient donc vers nous nous expliquer comment tu as réussi à avoir un pareil bulletin…
Je me fige et l’entendant. C’est affreux. A dix-sept ans. Ils vont tout voir.
Je me retourne, une main posée en bas de mon ventre et l’autre bras cachant comme il peut ma poitrine. Je sais que j’ai l’air ridicule mais je n’arrive pas à dévoiler mon corps devant eux. Maxime à les yeux qui lui sortent de la tête.
— Mains sur la tête et explique nous donc…
Ca y est, ils voient tout. La position de mes bras tend ma poitrine. Maxime regarde en bas de mon ventre. Ma touffe taillée en triangle ne masque pas grand chose. C’est la mode de se raser et j’aime les regard jaloux des autres filles sous la douche. Là, j’avoue aimer beaucoup moins sentir des regards.
Le quart d’heure qui suit est marqué par un échange de questions et de mauvaises excuses en retour. Ma mère m’annonce rapidement que je vais avoir du mal à m'asseoir quand on se sera occupé de mes fesses.
Je remarque que Maxime remet en place son pantalon. Je comprends sans peine que son sexe s’est tendu en me regardant. Il vit le rêve d’un jeune ado : avoir une grande nue devant lui.
Finalement ma mère me demande d’aller me placer les mains sur la table et les fesses bien tendues. J’espère que je vais accepter ma punition comme une grande, sans me ridiculiser.
Dès que le premier coup de badine s’abat en travers de mes fesses, je sais que cela va être difficile. On oublie vite… Je ne me souvenais pas du trait de feu que l’on ressent. Après quelques coups je sais que l’on doit m’entendre expirer bruyamment. J’essaye de ne pas gémir.
Encore quelques coups et je ne peux pas m’empêcher d’agiter les fesses et d’écarter un peu les jambes.
Finalement mon calvaire se termine. Je suis contente de ne pas avoir craqué. Je prends aussi conscience de ma position. On doit avoir une vue imprenable sur mon sexe. Je sers vite les jambes.
Puis le monde s’effondre.
— Va te mettre au coin, les mains sur la tête en attendant le retour de ton père. Je suis sûr qu’il va vouloir s’occuper de toi lui aussi.
Je n’arrive pas à retenir mes larmes en allant prendre position. Mes fesses brûlent et je ne peux même pas les masser. Jamais je ne supporterai une nouvelle dose de badine.
J’entends Maxime qui dit à son père que mes fesses sont plus marquées que les siennes. Je sens qu’il s’approche pour voir de plus près.
La journée avait si bien commencée...
Vraiment un superbe texte ! Bien écrit, du suspense, des descriptions précises, une pauvre fille bien punie et bien humiliée (j'hésite encore pour savoir si j'aimerais être à sa place ou non ;) ). Bref à quand le prochain ? :D
RépondreSupprimerM.
Très beau texte. Y aurait-il une suite ? Exemple lorsque le père d'Elodie rentre et administre une seconde fessée. Pour corser le tout en présence d'étrangers, de voisins qui seraient venus à l'improviste... Pour courronner le tout, Elodie devrait rester nue le restant de la journée, même durant le repas ou son cousin et les voisins serait présents. Elodie devrait aider à servir le repas et à débarrasser après, avec interdiction de se cacher quoi que ce soit.
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