lundi 15 octobre 2012

Strip-poker (étudiants MM/FF)



Tout a commencé par une partie de poker ordinaire, comme il y en a souvent dans la résidence de notre école d’ingénieur. En ce week-end de vacances nous sommes peu nombreux car beaucoup sont partis rejoindre leur famille. Ceux qui habitent loin et rentrent rarement forment un groupe qui se connaît bien, les journées sont parfois longues et les discussions entre nous ont ainsi créé une complicité. La partie s’est transformée en strip-poker, ce n’est pas une première non plus, même si cela reste rare. Nous n’avons pas les moyens de jouer beaucoup d’argent et quand Claire a perdu toute sa mise, elle a proposé de jouer son tee-shirt. Personne n’a refusé.

Une heure plus tard, elle n’est plus vêtue que de sa petite culotte en dentelles, pour la plus grande joie des garçons qui matent sans se cacher ses petits seins ronds aux pointes érigées qui ne témoignent de son excitation. Moi je porte encore culotte et soutien-gorge, les regards appréciateurs me flattent et je sens bien que tout cela m’excite moi aussi.

Un tour de carte de plus et nous perdons toutes les deux. Benoît sourit en attendant de recevoir ses gains. D’un geste décidé, pour ne surtout pas paraître idiote et coincée, je passe mes mains dans mon dos et dégrafe mon haut.  Je le laisse glisser et dévoile lentement mes seins en poire dont je suis assez fière. Ils tombent très légèrement et mes aréoles roses très claires sont ornées de tétons bien tendus. Je bombe légèrement le torse en riant, autant le prendre bien !

Mais très vite l’attention se détourne de moi, Claire vient de se lever et a passé ses pouces dans l’élastique de sa culotte. Elle la fait descendre lentement, dévoilant progressivement son ventre. Un petit triangle de poils blonds, bien taillé, apparaît. Petit à petit la fente de son sexe s’offre aux regards. Sa peau très claire fait ressortir le rose soutenu de celle-ci. Les petites lèvres plus sombres et brillantes pointent. C’est la première fois qu’elle se dévoile totalement et nous apprécions tous la beauté de ce corps de jeune femme, svelte et plein de santé, qui appelle les caresses ! Oui, tous et toutes, j’avoue être moi-même troublée.

En souriant elle reprend sa place et distribue les cartes. Steven lui fait alors remarquer qu’elle n’a plus rien à parier et qu’elle ne peut donc plus participer au jeu. La soirée est loin d’être terminée et je vois Claire réfléchir, hésiter, puis finalement proposer une solution : elle nous demande si nous acceptons que le gagnant lui donne une fessée. Après un instant de surprise, l’accord est là, les gars sont même enthousiastes. Il faut dire que le plus déshabillé d’entre eux c’est Steven qui n’est que torse nu. Ils ne risquent pas grand chose. De mon coté je pense que c’est le trouble que me procure la vue des fesses de Claire qui m’a fait accepter. Je l’ai un instant imaginée allongée nue sur mes genoux comme offerte.

C’est moi qui perds la partie suivante, retour rapide à la réalité.

A mon tour je me lève et dévoile mon intimité. Une petite bande de poils bruns surmonte ma fente. Ce n’est pas la toute première fois que je me déshabille ainsi, mais l’effet est toujours aussi fort. Un mélange étrange de gêne et de plaisir. Je n’ai pas besoin de baisser le regard pour savoir que mes lèvres doivent briller elles aussi, je me sens même très humide ! Je tends ma culotte à Claire qui a gagné la donne. En m’asseyant je comprends soudain que maintenant moi aussi je risque la fessée. Un frisson me parcourt.

La chance tourne pendant quelques parties, retardant l’inéluctable. Finalement, je suis la première à y passer. Je viens de perdre la donne de trop !

Steven recule sa chaise pour me laisser la place. Il me regarde en souriant, trop heureux de sa chance. Je me lève et viens me placer à coté de lui, mes seins bougent doucement pendant que je me déplace, attirant son regard. Puis je vois qu’il fixe un instant mon sexe, dévoilé à moins d’un mètre de ses yeux.

Il passe une main dans mon dos et me fait ainsi me coucher en travers de ses cuisses. Il pose doucement sa main gauche sur le bas de mon dos. Je suis couchée, je sens son sexe tendu à travers l’étoffe de son pantalon, mes fesses pointent à la vue de tous. J’ai des fesses assez amples à la raie profonde, je sens soudain sa main droite qui les caresse doucement, me faisant frissonner. Je détends mon corps, écartant un peu les jambes, bien décidée à profiter de cette expérience.

Il commence à me fesser, fermement mais pas trop fort. Chaque claque fait vibrer mon corps, je ne trouve pas la sensation désagréable bien au contraire. Je dois sourire car Benoît en fait la remarque et rappelle à Steven qu’on a parlé d’une bonne fessée, pas de caresses.

La fessée se fait plus forte, rapidement mes fesses me brûlent mais je sers les dents. Je m’agite un peu, dévoilant mon sexe à chaque fois que mes jambes s’écartent. Mais au bout de quelques minutes, la chaleur gagne mon ventre et un plaisir diffus s’installe et grossit.

Mais Steven juge que la fessée est suffisante. Il s’arrête et je n’ose pas lui demander de continuer. Quand je m’assois sur ma chaise pour reprendre la partie, mes fesses me brûlent encore et je remue un peu sur la chaise, provoquant des rires.

Troublée par ma découverte des plaisirs de la fessée, je reprends la partie sans même réfléchir… Et au poker il faut être concentrée, j’en fais immédiatement la démonstration en perdant la partie suivante. C’est au tour de Benoît de profiter de mes fesses !

Je me couche en travers de ses jambes et il commence par me caresser doucement, ses mains descendent sur le haut de mes cuisses que j’écarte un peu pour profiter de la caresse. En même temps je l’entends me promettre une fessée magistrale ce qui augment mon excitation. Il me demande si je suis d’accord, ce que je confirme sans trop réfléchir.

Dès le début de la fessée je comprends que la fessée prend une autre dimension. Il ne retient pas ses coups et rapidement mes fesses me brûlent. Je serre les dents et m’agite. C’est avec soulagement cette fois ci que j’accueille la fin. Il reprend alors les caresses sur mes fesses si sensibles, La sensation est surprenante puis agréable, très agréable… Je serre brusquement les jambes en réaction à un orgasme qui éclate soudain.

Quand je me relève, je suis toute rouge, en pleurs, confuse et un peu de honteuse même si personne ne commente le plaisir que je viens de prendre sous leurs yeux.

1 commentaire:

  1. Bonjour Frspanko !
    Je m'étais déjà délecté de vos textes sur Revebebe (notamment l'anthologique "Roulette russe") et vous me voyez heureux qu'enfin vous vous soyez décidé à ouvrir un blog.
    J'apprécie votre thématique et votre écriture, même si les descriptions gagneraient à être plus poussées à mon humble avis.
    Avez-vous prévu une suite à ce récit ? Claire va-t-elle y passer à son tour ? J'espère que vous n'en resterez pas là !

    RépondreSupprimer