Je vais vous raconter un souvenir.
J’étais en vacance en Ecosse et nous étions, mon
correspondant, Mark, et moi, invités à passer le week-end chez des amis à lui,
dans une ancienne demeure, près d’un des nombreux lochs.
A seize ans, mon anglais commençait à devenir correct et
c’était de vraies vacances. La région était splendide et les écossais sont très
accueillants. La famille m’avait dit que ce week-end serait pour moi l’occasion
de découvrir la véritable Ecosse, traditionnelle.
A l’arrivée, je fus un peu déçu car personne ne portait le
kilt, autant pour la tradition ! Mais rapidement je me plus dans
l’ambiance de cette grande maison. Le fils de la famille avait notre âge et
nous avait fait visiter le domaine dès notre arrivée.
Pendant le repas, j’avais perçu une tension que je ne
m’expliquait pas. Mary, la fille de la famille, qui devait avoir 17 ans,
semblait bouder. Son père lui jetait des regards noirs.
A la fin du repas, nous passons dans le grand salon. Comme
il fait encore beau, les fenêtres sont grandes ouvertes et la vue sur le loch
est superbe. Soudain un ordre claque : « You know what’s coming ! Go and fetch the
strap ! »
Mary sort du salon, la tête basse. Je me tourne vers Mark,
pour me faire expliquer ce qu’est un strap… Il me dit que je vais
bientôt découvrir cet instrument traditionnel. Il m’explique que Mary a été
grossière envers sa mère qui lui faisait des reproches pour être rentrée en
retard et que par malchance pour elle, son père l’a entendue… Elle est bonne
pour une punition exemplaire.
Mary revient dans le salon, elle tient à la main une sorte
de lanière en cuir, assez longue et épaisse, munie d’une poignée. Elle la tend
à son père qui est assis dans un des fauteuils.
Celui-ci pose le strap sur ses genoux et demande à
Mary de se préparer.
Il faut que je vous la décrive : c’est une grande fille
élancée visiblement sportive. Ses longues jambes ont dès mon arrivée accroché
mon regard. Elles sortent d’une jupe écossaise, plissée, qui s’arrête à la
hauteur des genoux. Cette jupe met en valeur un fessier épanoui sans être gros.
Plus haut, un chemisier blanc est déformé au bon endroit par une poitrine
arrogante. Mais ce qui retient l’attention, c’est son visage d’ange aux cheveux
blonds et aux yeux bleus.
Ces yeux sont justement braqués vers Mark et moi. Elle
semble hésiter. Elle regarde son père. Elle regarde sa mère. Puis, lentement,
ses mains se portent vers le col de son chemisier qu’elle commence à
déboutonner. Vous imaginez mon état de stupeur ! Quelques instants plus
tard, elle retire complètement son haut et le pose soigneusement sur une
chaise. Sa poitrine semble vouloir jaillir de son soutien-gorge en dentelles
blanches.
Elle est revenue au centre du salon. Elle retire l’agrafe
puis déboutonne sa jupe. Celle-ci s’ouvre et dévoile une culotte assortie.
Pendant qu’elle va la déposer, mes yeux se fixent sur ses fesses qui ondulent
au rythme de sa marche. La raie se devine sous la dentelle de la culotte et
quand elle revient vers nous, son pubis renflé attire mon regard.
A nouveau au centre de la pièce, elle regarde son père qui
lui fait un signe de la tête. Mary dégrafe alors son soutien-gorge et,
immédiatement après, baisse sa culotte et la retire. Son dernier voyage est un
régal d’esthète. Ses fesses sont fermes et bombées, la raie profonde, ses seins en cône tremblent à peine et sont
couronnés d’une aréole rose très claire, ses tétons sont tout petits. En bas de
son ventre plat, une abondante fourrure blonde laisse néanmoins apercevoir la
fente de son sexe.
Les bras le long du corps, elle attend.
Son père se lève, le strap à la main. Il lui désigne
la cheminée. Mary se dirige vers elle. Elle prend appuie des deux mains sur le
tablier, les bras écartés. Elle recule et écarte les jambes, en se penchant en avant.
Le spectacle est incroyable. Les fesses semblent offertes,
légèrement écartées et pointant vers nous. Entre elles on aperçoit son sexe,
entrouvert, et plus haut son anus. La position quoique impudique est pleine de
grâce. Tout son corps est en valeur, habité par une tension perceptible.
Le père s’approche et lève son bras armé du strap. Le
premier coup claque en travers des fesses qui s’enfoncent un instant. Le bruit
est terrible. Mary secoue la tête mais ne bouge pas. Une marque rouge est
apparue.
Je regarde Mark qui fixe Mary. Le deuxième coup résonne.
Les jambes de Mary se tendent. Toujours pas un bruit, ni même un gémissement.
Une seconde marque est apparue sous la première.
Le troisième coup s’abat plus bas, à la liaison entre les
fesses et les cuisses. Mary redresse la tête, ses cheveux l’auréolent un
instant.
Au sixième coup, le père fait une pause. Les fesses sont
marquées sur presque toute leur surface. Marie s’agite de plus en plus mais ne
crie pas et ne se dérobe pas aux coups. Son corps s’est couvert d’une sueur
légère.
Je suis immobile, tétanisé par ce spectacle. La chorégraphie
est parfaitement orchestrée. Je comprends que la tradition s’exprime. J’imagine
la douleur que doit ressentir Mary, j’admire son courage.
La punition reprend. A nouveau six coups de strap en travers
des fesses. Mary s’agite un peu, elle sert les mains sur le rebord de la
cheminée. Ses fesses sont couvertes de marques.
Son père retourne s’asseoir. Il lui dit de venir. Mary se
relève et se retourne. Elle est devant nous, j’aperçois ses yeux briller, les
larmes n’étaient pas loin.
Son père lui dit de ne plus jamais parler comme cela à sa
mère puis lui tend le strap.
Mary se dirige alors vers sa mère et lui donne l’instrument
tout en la priant de la pardonner. Sa mère lui pardonne ses paroles mais
l’interroge sur son retard. Elle avoue être sortie avec des copains et ne pas
avoir vu l’heure. Comme son père insiste, nous finissons par apprendre qu’elle
est restée avec un garçon et s’est laissée caresser les seins.
Mon regard se porte sur sa superbe poitrine et je comprends
la tentation… Le silence me fait sortir de ma rêverie.
« You
won’t do it again soon ! » (Tu n’es pas prête de
recommencer !)
Sur cette dernière phrase, elle prend sa fille par la main, tenant le stap de l'autre, et toutes deux se dirigent vers la chambre de Mary dont la porte se referme.
Mais que va-t-il se passer dans le secret de cette chambre ?
Y aura t-il une suite ? Mary a été sévèrement fessée. Par les détails, on devine qu'elle a du mettre tout son courage pour résister à l'envie de hurler sa douleur.
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