samedi 29 septembre 2012

La piscine (fessée à 16 ans)

La journée avait bien commencé.

Nous étions chez mon oncle Jean et ma tante Catherine qui habitent dans un beau pavillon entouré d’un grand jardin. C’était au mois de mai l’occasion de se retrouver en famille. Mes parents étaient là ainsi que mon cousin Loïc (12 ans) et ma cousine Sarah (8 ans).

Pendant que les adultes bavardaient sur la terrasse, en ce milieu d’après-midi, nous étions tous les trois, après un bon bain, en train de jouer autour de la piscine, derrière la maison.

Sarah cherchait à m’attraper lorsque Loïc la poussa dans l’eau. Elle poussa un cri aigu et tomba dans l'eau dans une belle gerbe d'eau.

C’est alors que ma tante qui venait de faire le tour de la maison est intervenue :

« Loïc, vient ici tout de suite ! Je t’avais bien dit d’arrêter ce jeu idiot. Tu vas finir par blesser ta petite soeur en la poussant comme cela. »

Loïc se dirige vers sa mère. Il ne fait pas le fier, ce qui m’étonne.

Sa mère s’est assise sur un des bancs qui entourent de bassin. Elle poursuit :

« Je t’avais prévenu. Tu n’as qu’à t’en prendre à toi. Approche. »

Loïc s’est arrêté : « Je ne recommencerai pas, promis ! »

« Tu peux me dire ce que je t’es promis hier si tu recommençais ?

- …

- Plus fort !

- Une fessée, mais pas maintenant, pas devant Lucie !

- Il fallait y penser plus tôt. Approche ! »

Loïc fait un pas en avant, sa mère l’attrape par la main et l’allonge en travers de ses genoux. Sarah est sortie de l’eau. Elle regarde avec un petit sourire… Tante Catherine attrape les deux cotés du maillot de bain et le baisse d'un geste énergique.. Loïc pousse un grand cri « Non ! » Il est trop tard. Il offre le spectacle de ses fesses à tout le monde et inconsciemment je me rapproche.

Puis la fessée commence. Tape après tape, les fesses de Loïc changent lentement de couleur. Il s’agite, il crie, il cherche à se protéger.

Les cris ont attiré le reste de la famille. Tante Catherine explique la situation, tout en continuant à fesser. Au bout de quelques minutes, qui ont du paraître des heures à Loïc, elle s’arrête et le relève. Le maillot tombe mais Loïc n’en a garde, il est occupé à se frotter les fesses avec les mains ! Il montre tout, à tout le monde et mon regard ne peut d'empêcher de se porter en bas de son ventre !

C’est à cet instant que la situation a commencé à basculer…

« Remonte ton maillot et essaye de bien te tenir. Fait comme Lucie, elle ne fait pas l’idiote, elle ! »

Et là Loïc a explosé : 

« C’est même pas vrai ! C’est Lucie qui a commencé. Elle nous a tous les deux poussés dans l’eau ! »

Tous les regards se tournent vers moi. Ma mère m’interpelle :

« Dis moi que ce n’est pas vrai ! Pas à ton âge !

- …

- Si, c’est vrai ! » C’est la petite voix de Sarah.

Je baisse la tête. Ma mère s’énerve après moi. Elle dit qu’elle ne sait plus quoi faire de moi. Et de nouveau Sarah intervient :

« Elle ne va pas avoir une fessée ?

- Après tout, la vérité sort de la bouche des enfants ! »

Ma mère me prend par la main et se dirige vers un banc. Après un instant de silence, sous le choc, je cherche à éviter cette humiliation :

« Je suis trop grande ! Tu ne peux pas me faire cela ! » Mais ma mère continue son chemin. 

« Non ! Pas devant tout le monde ! » Ma mère semble inflexible. Tous les regards m’accompagnent. Ma mère s’assoie. Elle me tient toujours par la main.

« Tu arrêtes de crier ! Tu as choisi de faire l’enfant et tu vas être fessée comme Loïc !

- Non ! Pas comme Loïc ! Ne baisse pas mon maillot ! »

Ma mère me regarde un instant. Avec le recul je pense qu’elle envisageait de me fesser sur mon maillot. Je porte un maillot une pièce, ma mère est contre les bikinis. Mais notre dernier échange a sellé mon sort.

« Comme Loïc, j’ai dit. Baisse ce maillot. »

Je ne peux pas. Je reste comme tétanisée. Alors ma mère attrape les deux bretelles et d’un grand geste descend le haut du maillot. Je cache mes seins avec mes deux mains en poussant un cri. Ma mère en profite pour finir de baisser mon maillot qui se retrouve autour de mes pieds. Je n’ai même pas le temps de réagir que je suis déjà couchée en travers de ses jambes.

La fessée commence. Mes fesses me brulent. Je crie, je m’agite, je cherche à me protéger. Ma mère finit par faire une pause pour mieux me positionner. Je relève la tête, espérant la fin de mon calvaire. Et là je m’aperçois que tout le monde s’est approché ! La honte ! Je baisse à nouveau la tête, pour me cacher… Et la fessée reprend.

Je ne sais pas combien de temps cela a duré. Je suis en larme, je ne crie même plus. Je sens ma mère qui me relève. Comme Loïc plus tôt, je me frotte les fesses, debout, nue, devant tout le monde. C’est le regard que porte Loïc sur le bas de mon ventre qui me fait prendre conscience de la situation. Je suis toute nue ! Il regarde mon sexe qui n’est protégé que par mes poils, qui ne cachent rien car je sors de l’eau ! Ma mère me tend mon maillot : « Rhabille toi et que cela te serve de leçon ! »

J’attrape mon maillot et m’enfuis en courant ! Ce n’est qu’une fois enfermée dans une des chambres que je mets à penser à ce qui vient de se passer. Je regarde mes fesses dans une glace, elles sont toutes rouges ! Je regarde mes seins, mon sexe. J’ai été fessée, toute nue ! Devant tout le monde ! Ils ont tout vu !

Il m’a fallu une heure pour retrouver mon calme et enfiler une robe légère. Je vous promets que cela m’a servi de leçon !

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