La journée avait bien commencé.
Nous étions chez mon oncle Jean et ma tante Catherine qui
habitent dans un beau pavillon entouré d’un grand jardin. C’était au mois de
mai l’occasion de se retrouver en famille. Mes parents étaient là ainsi que mon
cousin Loïc (12 ans) et ma cousine Sarah (8 ans).
Pendant que les adultes bavardaient sur la terrasse, en ce
milieu d’après-midi, nous étions tous les trois, après un bon bain, en train de
jouer autour de la piscine, derrière la maison.
Sarah cherchait à m’attraper lorsque Loïc la poussa dans
l’eau. Elle poussa un cri aigu et tomba dans l'eau dans une belle gerbe d'eau.
C’est alors que ma tante qui venait de faire le tour de la maison est
intervenue :
« Loïc, vient ici tout de suite ! Je t’avais bien
dit d’arrêter ce jeu idiot. Tu vas finir par blesser ta petite soeur en la poussant comme cela. »
Loïc se dirige vers sa mère. Il ne fait pas le fier, ce qui
m’étonne.
Sa mère s’est assise sur un des bancs qui entourent de
bassin. Elle poursuit :
« Je t’avais prévenu. Tu n’as qu’à t’en prendre à toi.
Approche. »
Loïc s’est arrêté : « Je ne recommencerai pas,
promis ! »
« Tu peux me dire ce que je t’es promis hier si tu
recommençais ?
- …
- Plus fort !
- Une fessée, mais pas maintenant, pas devant Lucie !
- Il fallait y penser plus tôt. Approche ! »
Loïc fait un pas en avant, sa mère l’attrape par la main et
l’allonge en travers de ses genoux. Sarah est sortie de l’eau. Elle regarde
avec un petit sourire… Tante Catherine attrape les deux cotés du maillot de
bain et le baisse d'un geste énergique.. Loïc pousse un grand cri « Non ! » Il est
trop tard. Il offre le spectacle de ses fesses à tout le monde et
inconsciemment je me rapproche.
Puis la fessée commence. Tape après tape, les fesses de
Loïc changent lentement de couleur. Il s’agite, il crie, il cherche à se
protéger.
Les cris ont attiré le reste de la famille. Tante Catherine
explique la situation, tout en continuant à fesser. Au bout de quelques
minutes, qui ont du paraître des heures à Loïc, elle s’arrête et le relève.
Le maillot tombe mais Loïc n’en a garde, il est occupé à se frotter les
fesses avec les mains ! Il montre tout, à tout le monde et mon regard ne peut d'empêcher de se porter en bas de son ventre !
C’est à cet instant que la situation a commencé à basculer…
« Remonte ton maillot et essaye de bien te tenir. Fait
comme Lucie, elle ne fait pas l’idiote, elle ! »
Et là Loïc a explosé :
« C’est même pas
vrai ! C’est Lucie qui a commencé. Elle nous a tous les deux poussés dans
l’eau ! »
Tous les regards se tournent vers moi. Ma mère
m’interpelle :
« Dis moi que ce n’est pas vrai ! Pas à ton
âge !
- …
- Si, c’est vrai ! » C’est la petite voix de
Sarah.
Je baisse la tête. Ma mère s’énerve après moi. Elle dit
qu’elle ne sait plus quoi faire de moi. Et de nouveau Sarah intervient :
« Elle ne va pas avoir une fessée ?
- Après tout, la vérité sort de la bouche des
enfants ! »
Ma mère me prend par la main et se dirige vers un banc.
Après un instant de silence, sous le choc, je cherche à éviter cette
humiliation :
« Je suis trop grande ! Tu ne peux pas me faire
cela ! » Mais ma mère continue son chemin.
« Non ! Pas
devant tout le monde ! » Ma mère semble inflexible. Tous les regards
m’accompagnent. Ma mère s’assoie. Elle me tient toujours par la main.
« Tu arrêtes de crier ! Tu as choisi de faire
l’enfant et tu vas être fessée comme Loïc !
- Non ! Pas comme Loïc ! Ne baisse pas mon
maillot ! »
Ma mère me regarde un instant. Avec le recul je pense
qu’elle envisageait de me fesser sur mon maillot. Je porte un maillot une
pièce, ma mère est contre les bikinis. Mais notre dernier échange a sellé mon
sort.
« Comme Loïc, j’ai dit. Baisse ce maillot. »
Je ne peux pas. Je reste comme tétanisée. Alors ma mère
attrape les deux bretelles et d’un grand geste descend le haut du maillot. Je
cache mes seins avec mes deux mains en poussant un cri. Ma mère en profite pour
finir de baisser mon maillot qui se retrouve autour de mes pieds. Je n’ai même
pas le temps de réagir que je suis déjà couchée en travers de ses jambes.
La fessée commence. Mes fesses me brulent. Je crie, je
m’agite, je cherche à me protéger. Ma mère finit par faire une pause pour mieux
me positionner. Je relève la tête, espérant la fin de mon calvaire. Et là je
m’aperçois que tout le monde s’est approché ! La honte ! Je baisse à
nouveau la tête, pour me cacher… Et la fessée reprend.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré. Je suis en
larme, je ne crie même plus. Je sens ma mère qui me relève. Comme Loïc plus
tôt, je me frotte les fesses, debout, nue, devant tout le monde. C’est le
regard que porte Loïc sur le bas de mon ventre qui me fait prendre conscience
de la situation. Je suis toute nue ! Il regarde mon sexe qui n’est protégé
que par mes poils, qui ne cachent rien car je sors de l’eau ! Ma mère me
tend mon maillot : « Rhabille toi et que cela te serve de
leçon ! »
J’attrape mon maillot et m’enfuis en courant ! Ce n’est
qu’une fois enfermée dans une des chambres que je mets à penser à ce qui vient
de se passer. Je regarde mes fesses dans une glace, elles sont toutes
rouges ! Je regarde mes seins, mon sexe. J’ai été fessée, toute nue !
Devant tout le monde ! Ils ont tout vu !
Il m’a fallu une heure pour retrouver mon calme et enfiler
une robe légère. Je vous promets que cela m’a
servi de leçon !
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