samedi 16 août 2014

L'exemple - Etudiante fessée nue (M/F)

Tous les élèves de l’institution Saint Louis étaient rassemblés dans le grand hall. Chaque groupe s’était installé à sa table. le silence régnait, à peine troublé par quelques bruits de chaises. Un spectateur attentif aurait remarqué que parmi cette assemblée très masculine on pouvait néanmoins trouver quelques filles. Tous étaient en uniforme : pantalon gris pour les garçons, jupe plissée grise pour les filles, chemise ou chemisier blanc, cravate rayée bordeaux et bleu pour tous.

Le directeur entra enfin dans la salle et monta sur l’estrade où étaient déjà installés les principaux membres de l’administration. Il se tourna vers les élèves et le silence se fit. Total. A Saint Louis, on respectait le directeur, par conviction ou par prudence. Après avoir regardé les élèves il prit enfin la parole.

— J’ai décidé de vous rassembler aujourd’hui car il nous est apparu que tout le monde n’avait pas parfaitement compris le règlement et les explications que je vous ai données à la rentrée. Vous vous souvenez certainement de mon allocution de rentrée…

Un silence répondit à cette affirmation. Les élèves vers qui se tournait le regard du directeur hochaient de la tête en signe de confirmation.

— Je vous ai expliqué que cette année était exceptionnelle car pour la première fois dans l’histoire de notre établissement nous accueillons des élèves du sexe féminin. Je vous ai à tous demandé de faire en sorte que de ce changement il ne ressorte que du bien. Je vous ai demandé que garçons et filles vous viviez en camarades et en bonne intelligence. Je suis même certain de vous avoir rappelé que notre règlement s’appliquerait à chacun d’entre vous comme toujours dans notre histoire et qu’il spécifiait que le manque de respect d’un élève pour un autre était une faute grave. Je vous ai dit que notre objectif était de ne rien changer à nos traditions et que seules des modifications mineures seraient mises en place, au rang desquelles des vestiaires séparés pour chaque sexe. Je pensais avoir été clair et compris par chacun d’entre vous.

Après cette longue introduction le directeur se tut. De nombreux garçons en avaient tiré la conclusion qu’un d’entre eux avait embêté une fille. Ils se demandaient qui était le malheureux. Car il ne faisait aucun doute que le directeur serait intraitable comme il savait l’être.

— Tout le monde n’a pas compris disais-je. Je suis sur qu’à l’issue de cette réunion les choses seront plus claires. Monsieur Lepetit levez vous.

Les têtes se tournèrent vers le garçon qui se levait. Âgé de dix-huit ans, il était en seconde année. Ceux qui ne le connaissait pas découvrait un grand gars, brun, athlétique et visiblement préoccupé d’être ainsi interpellé. Certains se dirent qu’il avait du faire une sacrée ânerie.

— Monsieur Lepetit, pouvez-vous nous rappeler ce qui vous est arrivé l’an dernier après avoir frappé un camarade qui, si je me souviens bien, vous avait « énervé » ?

Une soudaine blancheur a marqué le visage du jeune homme debout, suivie d’une rougeur. Il se souvenait parfaitement. Il aurait préféré oublier. Il prit son souffle avant de répondre.

— J’ai été puni monsieur.
— Et pouvez-vous nous décrire ce que fut votre punition ?
— Lors d’une assemblée comme celle d’aujourd’hui, vous m’avez fait monter sur l’estrade puis vous avez expliqué ma faute. Vous avez ensuite dit à tout le monde que face à une faute grave, la première sanction était de ne plus avoir le droit de porter l’uniforme. J’ai du le retirer. Puis vous avez annoncé que j’allais recevoir 12 coups de strap sur mes fesses nues. Je me suis alors retourné et penché sur la table. Vous m’avez fait retirer mon dernier vêtement puis, lentement, vous m’avez administré la sanction. J’ai ensuite du me tourner vers la salle et m’excuser pour ma conduite. Je n’ai pu retrouver le droit de porter l’uniforme qu’après une semaine de pénitence.

Le silence accompagnait ce souvenir. Nombreux dans l’assemblé étaient ceux qui y avaient assisté et ils se souvenaient des larmes qui coulaient sur le visage de leur camarade lorsqu’il s’était tourné nu vers eux. Le directeur remercia Lepetit et lui demanda de s'asseoir.

— Maintenant que nous avons partagé ce souvenir, je me permets de vous rappeler une fois encore que le règlement n’a pas changé et qu’il est applicable à tous. Je vais être plus précis, mesdemoiselles, le règlement est applicable aux garçons comme aux filles, y compris pour les châtiments corporels. Y compris pour les plus sévères et les plus humiliants.

Nouveau silence. Toutes les filles étaient soudain mal à l’aise. Effectivement beaucoup d’entre elles pensaient qu’elles étaient exemptes des punitions obligeant à montrer leur culotte ou pire encore leurs fesses nues.

— Mademoiselle Desessards  pouvez vous vous lever ?

Une fille blonde et élancée se leva. Tous les regards se portèrent vers elle. Sa jupe plissée laissait deviner de longues jambes. Son chemisier mettait en valeur une jolie poitrine. Elle était toute pâle.

— Mademoiselle, doutez vous que le règlement s’applique à tous ?

Un non prononcé d’une voix faible fut sa réponse.

— Venez donc nous rejoindre sur l’estrade mademoiselle.

Pendant qu’elle parcourait lentement la distance entre sa chaise et l’estrade, un léger murmure s’entendit dans la salle. Il cessa sur un regard sombre du directeur. Chacun pensait : elle va être punie, une fille. Les sentiments étaient divers, de l’excitation de certains garçons, à l’inquiétude de certaines filles en passant par la compassion de beaucoup. Quand elle fut à coté de lui, tremblante, le directeur reprit.

— Cette demoiselle s’est permis de gifler un camarade. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ?
— J’ai glissé dans un escalier et je l’ai surpris à en profiter pour regarder sous ma jupe qui s’était relevée. Il fixait ma culotte et souriait.
— Donc d’après vous on a le droit de frapper quelqu’un parce qu’il regarde ce que vous montrez de par votre maladresse ?
— Euh… non. Mais j’étais énervée.
— Voila qui nous rappelle une histoire que nous venons d’entendre, n’est-ce pas monsieur Lepetit ? Et bien je vais vous dire comme à votre camarade l’an passé que dans cette établissement on utilise sa tête et on maîtrise ses nerfs. Frapper un camarade est une faute grave que je me dois de sanctionner lourdement. Mademoiselle, un élève brutal n’est pas digne de porter notre uniforme, vous allez donc le retirer.

Même si elle s’attendait à cette demande, Claire ne put s’empêcher de pâlir et de demander pitié. Tout le monde la regardait.

— S’il vous plaît monsieur, ne me demandez pas cela. J’ai trop honte déjà. Je vous promets que j’ai compris la leçon.
— Je n’aime pas me répéter mademoiselle. J’ai honte moi aussi de votre comportement.

Lentement, très lentement, Claire commença par retirer sa cravate rayée puis elle défit le bouton qui retenait sa jupe. Elle accompagna la descente de son vêtement jusqu’au sol en se penchant et posa la jupe sur la table. Ses belles jambes étaient offertes aux regards. Son chemisier masquait encore sa culotte mais le spectacle de ses cuisses nues faisait monter l’excitation dans la salle. Elle défaisait maintenant un à un les boutons de son haut. Petit à petit celui-ci s’entrouvrait, laissant entrevoir sa poitrine protégée par un soutien-gorge en dentelles blanches. elle retira finalement le chemisier et le posa à coté de la jupe. Tout le haut de sa poitrine était découvert et chacun pouvait constater qu’elle avait de beaux seins. Les regards se portaient aussi sur sa petite culotte, assortie à son haut. Elle comprit qu’elle devait garder les bras le long du corps. Ce corps maintenant exposé, était sans défaut. Une taille mince et un ventre plat mettaient en valeur des hanches plus larges puis des jambes superbes.

— Vous pouvez vous retourner et finir de vous mettre nue pour recevoir vos 12 coups de strap.

Claire se retourna, n‘osant plus protester, et passa les doigts sous l’élastique de sa culotte. Tout le monde regardait ses fesses qui petit à petit étaient découvertes. Elle fit très attention de bien serrer les jambes et de plier les genoux lorsqu’elle du retirer la culotte, un pied puis l’autre. A nouveau debout, chacun constatait que ses fesses étaient bien développées avec une raie profonde.

— Retirez votre soutien-gorge. Je suis pour l’égalité et les punitions magistrales ont toujours été donnés à des élèves nus.

Claire, tremblant toujours, retira le dernier rempart de ce qui lui restait de pudeur. La salle ne voyait rien mais les membres de l’administration, devant elle, voyaient maintenant ses jolis seins bien fermes et plus bas son sexe. Certains avaient eu une expression étonnée en constatant qu’elle se rasait totalement et donc que sa fente était parfaitement apparente. Elle avait les joues en feu car tous les membres de l’administration étaient des hommes. Claire était en effet une fille pudique et c’était la première fois qu’elle se montrait nue devant un homme depuis sa tendre enfance. Elle ne se déshabillait jamais devant son père et avait insisté pour avoir une femme comme médecin.

— Couchez vous sur la table et attrapez le coté opposé. Je vous conseille de bien le tenir.

Claire obéit et sentit ses seins s’écraser sur la surface froide. Au moins ils étaient cachés. Elle tenait ses jambes un peu pliées et bien serrées. Le directeur alla prendre le strap. Elle le suivait du regard. Elle vit que l’instrument était fait d’un cuir épais. Le directeur allant se placer derrière elle, elle le perdit de vue.

— Tendez vos jambes, que vos fesses soient mieux offertes. Cambrez-vous un peu et faite preuve de courage à défaut de bon sens.

En tendant les jambes, Claire rougit une fois de plus. Elle savait qu’avec les jambes ainsi tendues, son sexe était probablement légèrement visible en bas de la raie de ses fesses. Elle ne se trompait pas. Les élèves les plus proches apercevaient sa fente dans l’ombre en haut de ses cuisses. Mais rapidement cette pensée disparut car, après un sifflement annonciateur, le strap s'abattit en travers de ses fesses qui s’enfoncèrent sous le coup. La douleur soudaine la fit se cambrer, lever la tête et ouvrir la bouche pour chercher de l’air. Son coeur s’était soudain emballé. Elle cherchait encore à reprendre ses esprits quand le second coup tomba. Son immobilité avait servi de signal au directeur. Cette fois un long gémissement sorti de ses lèvres et elle sentit ses yeux se remplir de larmes qui lui brouillaient la vue. Ses doigts étaient crispés sur le rebord de la table. Un troisième coup tomba, un peu en dessous des précédents. Tout l’arrondi du milieu de ses fesses était maintenant rouge et, pour elle, brûlant. Un cri s’en suivit. Les fesses de Claires s’agitaient. Le Directeur attendit un peu pour placer le quatrième coup en bas des fesses. Lâchant la table, Claire posa ses deux mains sur ces fesses en pleurant. Ce geste agaça le directeur et il frappa le coup suivant au beau milieu des cuisses, une trace rouge apparue. Claire cria et le coup suivant fut encore pour les cuisses. Claire se redressa et s’éloigna de la table, en pleurs. Se faisant elle montrait ses seins et son sexe à l’assemblée. Le directeur reprit la parole, ignorant Claire.

— En attendant que votre camarade retourne s’installer sur la table, un point me vient à l’esprit que j’aimerais approfondir avec vous.

L’attention de l’assemblée passait du directeur à leur camarade nue qui montrait ses charmes sans plus aucune pudeur. Le directeur interpella une des filles de la première table. Une élève connue pour son sérieux.

— Mademoiselle Blanchepierre, vous pouvez vous lever ?

Marie se leva immédiatement, un peu inquiète comme tout élève intelligent interpellé par le directeur.

— Si je vous demande de soulever votre jupe et de monter à tout le monde votre culotte, serez vous gênée ?

Marie se demanda le pourquoi de cette question. Bien sur qu’elle serait gênée. Elle se mis à trembler légèrement craignant que le directeur lui en donne l’ordre.

— Oui, monsieur, je serais gênée.

Le directeur la regarda un instant, pas surpris de la réponse. Il reprit s’adressant à l’assemblée.

— Y en aurait-il une parmi vous mesdemoiselles qui ne serait pas gênée à cette idée ?

Pas un mouvement, pas une réponse. Tous, garçons et filles, se demandaient où le directeur voulait en venir. Pendant se temps, derrière lui, Claire avait fini par reprendre ses esprits. elle était soudain devenue toute rouge en voyant que des garçons regardaient son sexe et ses seins. Finalement, elle s’était remise en place, couchée sur la table, et attendait, montrant ses fesses rouges et ses cuisses décorée de deux lignes tout aussi rouges. Elle aussi écoutait le directeur, tournant la tête vers lui.

— Messieurs, y en a-t-il un parmi vous qui serait gêné à l’idée d’être vu en sous-vêtements ?

Pas un seul ne répondit, même si certains étaient un peu hésitants. Le directeur posa une dernière question.

— Messieurs, y en a-t-il un parmi vous que serait gêné de voir une élève en culotte ? Ou vous mesdemoiselles, une qui serait gênée de voir un élève en slip ?

De nombreux garçon souriaient à l’idée et pas un des élèves ne signala une quelconque gêne face aux perspectives évoquées. Le directeur les regarda tous en silence puis se tourna vers Claire.

— Je vois que vous m’attendez mademoiselle, nous allons donc reprendre. Pour éviter de perdre notre temps, monsieur Ledoyen va vous tenir les mains.

Claire ne savait si elle était ou pas soulagée que ses mains soient tenues. Des larmes s’étaient remises à couler quand elle avait compris que son supplice allait reprendre. Le directeur appliqua un à un les six coups de stap restant, tous sur les fesses qui s’agitaient devant lui sans pour autant s’échapper. Claire hurla lors des premier coups puis sanglotait à la fin. Le directeur dut lui tenir la main pour qu’elle se relève sans tomber. Il l’accompagna vers le devant de l’estrade. tout le monde voyait son visage rouge, couvert de larme. Ce spectacle détournait même le regard de la majorité du sexe exposé nu devant eux.

— Vous voyez dans quel état est votre camarade. Nous ne pouvons pas nous permettre qu’une simple gêne idiote conduise d’autres élèves sur cette estrade.

Claire à coté de lui reprenait lentement une respiration plus régulière. Elle se frottait les fesses ayant renoncée à toute pudeur.

— Force est  pour moi de constater que nous avons eu tort de toucher au règlement de l’école et de ne pas mieux intégrer les jeunes filles qui nous ont rejoints. Nous formions une communauté où jamais un élève n’étais gêné d’être vu par un autre quelle que soit sa tenue. Je vous propose, conformément à nos traditions, de traiter ce problème sans faiblir.

Quand le directeur se tut pour laisser les élèves enregistrer ses paroles, il remarqua que certains échangeaient des regards parfois inquiets, souvent interrogatifs. Il attendit que le calme revienne, voulant être sur de disposer de l’attention de tout le monde.

— Je vous demande à tous de vous lever, de repousser votre chaise, en place sous la table, et de vous tenir derrière elle.

Il attendit pendant que, dans un bruit de chaises traînant sur le sol, les élèves lui obéissaient. Finalement l’attention se tourna de nouveau vers l’estrade, chacun était debout immobile.

— J’attends maintenant une parfaite obéissance et un silence total. Tous ceux qui se feront remarquer rejoindront mademoiselle Desessarts, les fesses aussi rouges que les siennes.

Le silence devint total. Claire regardait l’assemblée. Elle avait compris qu’elle servait d’exemple et que personne ne doutait plus que le directeur pouvait punir une fille.

— Parfait. Vous allez tous en silence retirer vos uniformes et les poser bien pliés sur la table devant vous. Vous ne garderez que vos slips et culottes. Je vous veux tous torse nu et pieds nus.

Son annonce généra de légers murmures, vite disparus sous son regard, et des visages ébahis ou consternés, d’autres souriants, surtout de la part des garçons.

Les garçons furent sans surprise les premiers à obéir. Des cravates furent posés sur les tables, des chemises furent déboutonnées et les rejoignirent pliées au mieux. Seule Elodie Grandjean suivit rapidement la consigne, retirant sa cravate elle aussi puis son chemisier. Les autres filles de sa table la regardait la bouche entrouverte. Elle sourit à Tom qui était en face d’elle et retira son soutien-gorge. Ses seins voluptueux s’affaissèrent légèrement.

Petit à petit les autres filles se plièrent  aux ordres, mais toutes choisirent de se mettre torse nu en dernier. Elodie faisait visiblement partie de celle qui n’étaient pas gênées, même si elle n’avait pas voulu l’admettre plus tôt. Elle laissait ses seins avoir de légers mouvements et s’amusait de la bosse qui grossissait dans le slip de Tom et du rouge qui lui montait aux joues.

Au bout de quelques minutes, tout le monde ou presque avait respecté la consigne et se tenait à coté de sa chaise. De nombreux garçons regardaient les seins des filles avec plus ou moins de discrétion. Beaucoup de filles avaient les joues en feu, certains garçons aussi, en particulier ceux que leur excitation trahissait.

Quelques filles n’avaient pas encore dénudées leur poitrine. Le directeur regarda Marie au premier rang. Elle faisait partie du lot.

— Je vois que certaines souhaitent tester ma patience… Je leur donne vingt secondes pour être entièrement nues devant leur chaise. Ensuite c’est le strap sur l’estrade…

Marie avait ouvert la bouche et semblait horrifiée.

— Oui mademoiselle, j’ai bien dit toue nue, il semble qu’il faille un traitement de choc pour vous guérir de votre gêne.

Les pauvres filles obéirent une à une, montrant tous leurs charmes. Des larmes coulaient doucement sur les joues de Marie lorsqu’elle dénuda son ventre, montrant à tous sa touffe brune.

— Parfait. Vous resterez tous dans votre tenue actuelle toute la semaine. Je pense qu’ensuite toute gêne aura disparu. Bien évidemment tout geste ou toute parole déplacée sera sévèrement sanctionné. Vous pouvez sortir et passer dans les chambres déposer vos vêtements avant de retourner en cours.

Le directeur regarda Claire à coté de lui.

— Vous mademoiselle, le spectacle que vous nous avez donné était affligeant. Vous passerez chaque mercredi midi recevoir six coups de strap jusqu’à ce que vous sachiez les subir dignement.

Le lendemain, les élèves purent constater un petit changement supplémentaires, tous les vestiaires étaient devenus mixtes. Au bout d’une semaine, il apparu que le directeur avait eu raison. L’habitude était prise de vivre ensemble sans gêne. Pendant un mois Claire continua à servir d’exemple et a se promener nue et les fesses rouges, c’est le temps qu’il lui fallu pour endurcir ses fesses ou son tempérament.

samedi 17 mai 2014

La honte - Fessée et humiliée en public

J’ai passé une très mauvaise nuit.

Je pense que la prochaine sera pire.

J’ai retourné le problème dans tous les sens. Je suis coincée. Je n’ai pas vraiment beaucoup de choix. A quelques mois des examens j’ai du mal à m’imaginer mise à la porte du lycée.

Mise à la porte, tout cela pour un instant de folie. C’est pourtant ce qui m’attend s’il porte plainte. Tout est contre moi.

La scène, je l’ai rejouée dans ma tête toute la nuit.

Cela avait commencé par une discussion entre copines. Aline était furieuse car un gars avait soulevé sa jupe en pleine cour, devant ses copains lui mettant la honte. Elle n’était pas la première à qui cela arrivait, c’était leur nouveau jeu défi. Une fille avait même eu la culotte à moitié baissée avant d’avoir le temps de réagir.

Une fille de la bande a eu cette phrase : « Ils mériteraient que l’on fasse pareil ! ».  Tout le monde était d’accord, mais c’était moins simple avec les gars qu’avec les filles.

A un détour de couloir, j’ai vu Antoine à quelques pas devant nous. Il portait un bas de survêtement. Je ne sais pas ce qui m’a prise. Sûrement un coup de folie.

Je ne suis approchée de lui et d’un geste énergique j’ai attrapé la ceinture et tout baissé. Je n’ai pas fait exprès de prendre son slip en même temps mais tout est descendu. Jolies fesses ! Quand il s’est retourné en poussant un cri, il nous a montré sa queue puis a bien vite posé une main dessus. Ses gesticulations pour remonter son pantalon d’une main ont fait rire toutes les filles.

Le silence s’est fait quand un surveillant a demandé ce qui se passait, puis comprenant la situation il a demandé qui avait fait cela. Antoine était rouge de honte et finissait de cacher ses fesses. Bien sûr personne n’a répondu.

Cela aurait du en rester là, mais Antoine ne l’entend pas comme cela. Il est en passe de devenir la risée des autres, le premier garçon a se retrouver mis à nu par les filles. Il faut reconnaître que les filles se moquent toutes de lui, heureuses de tenir leur vengeance.

Moi je me repasse la scène dans la tête. Je revois ses fesses musclées puis son sexe à quelques centimètres de moi quand il s’était retourné. Je suis devenue très populaire.

Mais Antoine s’est dirigé vers moi à la cantine. Les autres se sont écartés en souriant. Il m’a mis un marché entre les mains, si je refuse il me dénonce. Je suis devenue toute pâle. Le directeur avait été clair car le bruit que des filles étaient agressées était parvenu à ses oreilles : toute tentative d’humilier un camarade serait sanctionnée d’une expulsion immédiate.

J’ai donc passé une mauvaise nuit.

Aujourd’hui je porte une jupe assez courte et un tee-shirt qui met ma silhouette en valeur. Pendant les deux premiers cours je n’ai pas trop écouté les profs, toute à mes pensées et jouant nerveusement avec l’ourlet de ma jupe. A ma tête les autres ont compris que quelque chose se trame.

La sonnerie retentit qui marque le début de la pause de dix heures. Je me lève sans trop regarder autour de moi et me dirige à travers la cour de récréation vers le bâtiment du foyer des élèves. Je sais qu’Antoine m’y attend.

Je rentre et le silence se fait, surprenant dans ce lieu. Tous les regards sont braqués vers moi.

Je me dirige vers Antoine, tout le monde s’écarte sur mon passage mais je ne vois que lui qui écarte sa chaise de la table et a un petit sourire.

Je m’arrête à deux pas de la chaise. Il ne dit rien. Du coin des yeux je vois qu’un large cercle se fait autour de nous. Il se tait mais me désigne ses genoux. Obéissante car je n’ai pas le choix, je m’étend en travers de ses jambes. Un murmure marque ce premier pas et sans doute le fait que ma jupe remonte, collant à mes fesses et dégageant le haut de mes  cuisses.

Antoine me donne quelques tapes sur les fesses, juste symboliques, comme pour tester ma soumission. J’essaye de respirer doucement, mes nerfs sont tendus et je ne veux pas éclater en sanglots.

Il remonte alors ma jupe, dégageant mes fesses et montant à tous le tanga en dentelles que j’ai choisi pour être au moins à mon avantage.

Il commence alors à me fesser avec un peu plus d’énergie. Il ne me fait pas vraiment mal mais je sens mes fesses qui chauffent. Entre les tapes il garde sa main posée sur moi, me caressant doucement. Je sais qu’il joue avec moi.

Il fait une nouvelle pause et je m’attends à ce qu’il me déculotte mais au contraire, ses mains se saisissent de l’ourlet de mon tee-shirt qu’il remonte. Le tee-shirt glisse entre ses cuisses et mon ventre, je sens l’air froid sur mon dos. Soumise, je le laisse me le retirer complètement et il finit en tas, par terre, sous mes yeux. Il détache alors délicatement mon soutien-gorge et celui-ci rejoint le tee-shirt. Je le laisse faire, ramenant mes bras sur mes cotés pour cacher un peu mes seins. Je sais que tant que je suis couchée comme cela, personne ne voit grand chose mais c’est tout de même la honte.

Je ne peux pas n'empêcher de regarder sur le coté et je vois que l’assistance à les yeux braqués sur moi. Les expressions sont très diverses, de celles qui semblent choquées à ceux qui se délectent visiblement.

La fessée reprend doucement, j’ai compris qu’elle n’est qu’un prétexte. Je préférerais qu’il frappe de toutes ses forces et que la douleur me fasse oublier la honte.

Le moment que je redoute le plus finit par arriver. Il retire ma jupe puis baisse doucement ma culotte. Je sers les jambes pour en montrer le moins possible. Je me suis regardée hier dans une glace, je sais que malgré mes efforts mon sexe est visible entre mes cuisses.

La fessée reprend.

Soudain je sens que sa main s’est posée sur ma cuisse au lieu de me caresser les fesses. Tout en caressant la zone si sensible à l’intérieur des cuisses, il appuie doucement et mes cuisses s’écartent. Il continue de me caresser et à ma plus grande honte je sens mon corps réagir.

Quelque grosses claques sur mes fesses me prennent alors par surprise et m’arrachent un cri. Il n’a pas fait semblant.

Il me redresse alors, debout et nue. Mon réflexe est de porter mes mains sur mes fesses qui me cuisent. Je mets un temps avant de réagir et de constater que je suis devant tout le monde et que je montre ce que j’ai toujours appris à cacher : mes seins et plus bas mon sexe rasé car c’est la mode.

Antoine se lève lui aussi, il prend mes mains, m'empêchant de me couvrir, et me dit en souriant que je suis pardonnée.

dimanche 16 mars 2014

L'Olivier (10) - Annette et Christine

Ce samedi alors que Julie est en visite chez sa famille, Annette, une cousine, est venue me rendre visite. Elle est accompagnée de sa fille Christine, une adolescente qui a quinze ans si je me souviens bien. Annette est une petite femme rousse, que l’on pourrait prendre pour une irlandaise. Vive, joyeuse, un peu espiègle par moment, j’apprécie toujours ses passages qui me changent de mon quotidien.

A peine arrivée, Christine rejoint Marie trop heureuse de pouvoir bavarder avec une fille plus âgée qu’elle.  De notre côté, Annette et moi nous installons confortablement dans le salon et échangeons sur ce qui s’est passé chez chacun d’entre nous depuis notre dernière rencontre. Annette est assez curieuse sur l’impact de l’installation de Marie chez moi. Elle se doute bien que ma vie de célibataire endurci a dû être chamboulée. Quant à l’installation de Julie, je vois qu’elle se demande ce que doivent être nos relations, surtout quand je lui fais un portrait de la jeune femme en insistant sur sa beauté.

En homme ayant un certain savoir vivre, je propose un verre à Annette et appelle Marie.

— Marie tu peux m’apporter un whisky et un verre de rhum orange pour Annette, propose aussi quelque chose à Christine.

Marie s’empresse d’aller préparer les boissons pendant que Christine nous rejoint et prend place dans un des fauteuils. Je suis surpris de voir Marie revenir les mains vides.

— Annette, dit-elle, il n’y a plus de rhum, tu voudrais quoi à la place ?
— Un verre de muscat fera l’affaire, lui répond Annette.
— Un instant Marie, peux-tu m’expliquer pourquoi il n’y a plus de rhum ?

Ma question la fait un peu pâlir.

— J’ai fini la bouteille avec Julie et j’ai oublié de le noter pour les courses, répond-elle d’une voix légèrement changée ce qui n’échappe pas à Christine ni à Annette.
— Tu sais que je ne supporte pas ce genre de choses. N’oublie pas de noter cette bêtise sur ta liste, tu peux même la souligner par avance.

Marie baisse la tête sans répondre. C’est Christine, toujours curieuse comme sa mère, qui intervient.

— Marie, c’est quoi cette liste ? Tu notes tes bêtises ?

Marie rougit sans répondre. Annette sourit.

— Marie, explique donc à ta cousine, dis-je en souriant moi aussi.
—Christine, répond enfin Marie, je note toutes mes bêtises sur une liste et le vendredi je suis punie en fonction du nombre de bêtise. Quand mon père souligne une bêtise je dois me préparer avant son arrivée et me mettre au coin.

Je me tourne vers Annette et enchaîne :

— Marie va recevoir quelques bons coups de martinet. Elle est bien sûr d’accord sur cette éducation à l’ancienne qui me rappelle ma jeunesse.
— La martinet, répète Annette que j’ai visiblement un peu surprise. Tu veux dire que tu vas lui chauffer le derrière comme le faisait pépé quand nous étions jeunes ?
— Exactement.

Marie est toute rouge. Christine la regarde, nous regarde, la curiosité la dévore.

— Maman, un martinet c’est bien une sorte de fouet ? Il vous faisait quoi exactement votre pépé ?
— Un martinet, c’est plein de lanières au bout d’un manche, explique Annette. Quand nous avions fait une grosse bêtise et qu’il était énervé, pépé nous demandait de nous pencher sur la table de la cuisine puis il allait chercher son martinet et fouettait nos fesses nues. A début tu penses à la honte de montrer ton derrière mais rapidement tu ne penses plus qu’à la douleur et prie pour que cela s’arrête vite.
— Tu veux dire que pépé te déshabillait devant tout le monde ?
— Devant tout le monde, il ne faut pas exagérer, mais Marc a vu mes fesses plus d’une fois et moi les siennes.

Je demande à Marie qui ne sait plus où se mettre, d’aller chercher le martinet. Elle le rapporte et le tend à Christine.  Elle le prend et le regarde, le caresse, agite ses lanières.

— J’ai du mal à croire que l’on puisse frapper quelqu’un avec. Cela doit faire horriblement mal.
— Christine, dit Annette, je pense que Marc acceptera de punir Marie devant nous pour que tu découvres le martinet en action, après tout c’est moi qui n’ai pas mon rhum à cause de Marie.

Marie et Christine me regardent soudain, espérant sans doute des réponses opposées. Je hoche la tête et Annette enchaîne en souriant.

— Mais comme tu sembles très curieuse, Christine, je te donnerai ensuite quelques bons coups à toi aussi, afin de te satisfaire. Cela serait trop dommage que tu partes en n’ayant pas complètement satisfait ta curiosité.

Cette fois c’est Christine qui ne sait plus quoi dire.

Quelques instants plus tard, Marie fait glisser son jean et sa culotte puis se mets en position. Annette découvre qu’ici, la punie doit se pencher sur la table en verre de la salle à manger, tenir les côtés et se cambrer un peu, offrant ainsi les fesses aux regards. Elle comprend que le coté humiliant de la position fait partie de la punition et me sourit.

Je me place sur la coté et fait signe à Christine de se déplacer pour avoir une bonne vue sur les fesses de Marie. J’abats ensuite le martinet une bonne douzaine de fois sur les fesses tendues qui se couvrent de stries et virent au rouge. Marie garde la position mais émet des gémissements. Quand je lui dis de se relever, elle met spontanément ses mains sur la tête et on voit que ses yeux brillent un peu. Christine la regarde. Je ne saurais dire ce qui la choque le plus le coté soumise ou le fait que Marie nous présente son ventre dénudé sans protester. Je constate que Christine en est bouche bée.

— Alors Christine que penses-tu du martinet ? demande Annette.

Christine reste silencieuse. Annette lui fait signe en souriant.

— Met-toi donc en place pour en savoir plus.
— Tu veux que je m’installe comme Marie ?
— Mais bien sûr, cela semble une excellente position pour découvrir les joies du martinet, blague Annette.
— Mais je ne peux pas me mettre nue devant Marc.
— Bien sûr que tu peux. Tu ne vas pas lui montrer grand-chose que Marie ne nous ait déjà montré. Par ailleurs plus tu me fais attendre plus tes fesses vont souffrir, je te le promets.

Christine est rouge comme une pivoine quand ses mains se portent enfin à son pantalon. Elle nous découvre une jolie culotte bleu claire qu’elle a bien du mal à baisser. Elle a déjà une jolie touffe de poil et sans surprise c’est une vraie rousse, comme sa mère. Quand elle s’installe sur la table et tend les fesses, je constate qu’elles sont moins épanouies que celles de Marie, la position jambes légèrement écartées laisse ainsi voir la fente de son sexe. Mais mes pensées sont interrompues par le premier coup de martinet. Annette espace les frappes et fait attention de ne pas trop appuyer les coups. Christine remue néanmoins les fesses à chaque fois et pousse de petits cris. Sa peau fragile de rousse marque beaucoup et chaque lanière semble laisser sa trace. Annette demande enfin à Christine de rejoindre sa cousine. Elle prend place à côté d’elle, les mains sur la tête.

— Vous êtes mignonnes à croquer toutes les deux, rigole Annette. Comment trouves-tu le martinet ?
— Cela fait mal, répond Christine, mais moins mal que je le pensais. Mais cela fait quand même très mal.
— Et que penses-tu du côté humiliant de ce genre de punition ?
— C’est affreux, devoir se déshabiller devant les autres et tout montrer. C’est presque pire que le martinet. Et maintenant, je rêve de me frotter les fesses et à la place je continue à me montrer.
— Exactement, je crois que tu commences à comprendre. En grandissant moi aussi, c’est l’attente, touffe à l’air, après la punition que j’aimais le moins. J’avais toujours peur que quelqu’un entre dans la pièce. Tu imagines que quelqu’un rentre alors que tu es comme cela ? En plus je ne crois pas que nous ayons fermé la porte à clé.

Toujours aussi espiègle Annette s’amuse des réactions de sa fille qui ne peut s’empêcher de regarder du côté de la porte. Annette rit en la voyant faire.

— Annette, tu devrais avoir honte de te moquer de ta fille. Elle a été courageuse en acceptant d’essayer le martinet. A te voir faire la maligne comme cela, cela me rappelle des souvenirs. Et tu sais bien que quand tu te moquais des punis tu finissais à côté d’eux, fesses à l’air.

Annette me regarde puis sourit.

— C’est vrai ce que tu dis. Se moquer des punis chez pépé c’était la garantie d’une bonne dose de martinet avant de les rejoindre.
— Puisque tu sembles vouloir donner une leçon de martinet à ta fille, tu sais ce qu’il te reste à faire…

Annette me regarde en souriant.

— Tu as raison, je crois qu’une bonne dose me fera du bien. Finalement je n’ai pas trop changé.

Sous le regard médusé des deux filles, elle retire son jean puis baisse sa culotte en coton, le tout sans perdre le sourire. Elle a les hanches plus larges et les fesses plus rondes que Christine mais elles sont tout aussi claires et sa touffe est tout aussi rousse. Elle s’installe sur la table, tient les côtés et garde le visage tourné vers moi. Elle écarte un peu les jambes en souriant, me montrant qu’elle n’est pas du tout gênée. Son sexe est visible au bas de ses fesses et sa fente me parait bien brillante.

Je me place sur le côté et abat le martinet. La marque des lanières apparait immédiatement. Au bout de quelques coups je constate qu’elle sert les dents. Je continue néanmoins jusqu’à ce que les deux globes soient bien rouges. Quand c’est fini, Annette va d’elle-même se placer à côté des deux autres.

— Christine tu peux te rhabiller, tu es la seule à ne pas avoir fait de bêtise. Les deux autres vous pouvez baisser les bras mais que je ne vous prenne pas à vous frotter les fesses. Et allez donc nous servir à boire.

Christine vient s’assoir à côté de moi. Je lui explique que rester fesses nues fait partie de la punition car tant que l’on a les fesses nues on se sent puni et on médite sur ses fautes se jurant de ne pas recommencer.

Pendant une petite heure je laisse Annette et Marie nous servir fesses à l’air avant de leur dire de remettre leurs vêtements. Annette que je n’ai pas épargnée grimace un peu en s’asseyant enfin. Finalement, après qu’elle m’ait dit à moitié en blaguant qu’elle se voyait mal prendre le volant avec des fesses douloureuses, je les invite à passer la nuit.

Après une longue soirée de bavardages et de blagues, nous rejoignons nos chambres. Marie a promis à Christine de lui prêter une chemise de nuit. Annette nous a dit en riant qu’elle n’avait besoin de rien vu l’état de ses fesses.

Je suis dans mon lit depuis une petite heure, en train de lire pour trouver le sommeil quand ma porte s’ouvre. Annette, en tenue d’Eve, entre dans ma chambre un pot de crème à la main.

— Marc, tu veux bien faire comme quand on était jeunes et m’étaler de la crème sur les fesses ?

Je regarde Annette. Son corps est un peu plus rond que dans mes souvenirs. Ses seins eux aussi se sont arrondis mais ils restent relativement modestes ce qui leur permet de continuer à pointer fièrement. Elle continue de s’approcher et je ne peux ignorer que les pointes de ses seins sont érigées et plus rouges que de normal.

Comme quand on était jeune. Cette phrase et cette tenue me replonge dans des souvenirs. Cousin cousine, alors que nous avions treize ou quatorze ans, une séance de crème sur les fesses s’était transformée en une séance de caresses de moins en moins innocentes. Annette est la première fille à m’avoir fait jouir en me caressant, à sa plus grande surprise à l’époque. Souvenirs…

— Bien sûr. Allonge-toi et donne-moi ce pot.

Pendant qu’elle s’allonge, je me lève, heureux que le short assez lâche que je porte la nuit masque un petit début de réaction masculine inévitable.

Je dépose un peu de crème sur le bout de mes doigts puis la dépose au sommet de ses fesses. Les traces du martinet sont encore très visibles sur sa peau blanche aux multiples taches de rousseur. D’une caresse très douce je commence à étaler la crème. Quel bonheur de sentir à nouveau ses fesses sous mes paumes. Petit à petit la crème pénètre. J’en reprends un peu et continue à la masser délicatement. Mes paumes descendent doucement vers le bas des fesses et le pli qui les sépare des cuisses. Je caresse maintenant le haut des cuisses, qui pourtant n’a pas reçu le martinet, sans qu’Annette ne s’y oppose. Bien au contraire elle semble apprécier le doux massage. Sa respiration s’est faite lente et profonde, son corps est détendu et doucement ses jambes s’écartent pour faciliter le massage.

Je me souviens de la première fois qu’elle a ainsi écarté les jambes pendant que j’étalais de la crème. Je découvrais pour la première fois le sexe d’une fille dans cette position et d’aussi près. Mon regard s’était fixé sur la fente ainsi dévoilée, ornées de poils roux. J’étais totalement immobile, une main posée sur ses fesses, fasciné. Constatant que je ne bougeais plus Annette m’avais dit d’une voix troublée : « caresse-moi ». Ne comprenant pas grand-chose à l’époque j’avais repris le massage de ses fesses. Elle écartait les jambes de plus en plus. Je voyais maintenant toute la raie de ses fesses, son petit trou plissé et plus bas la fente maintenant légèrement entrouverte et brillante. Je sentais mon sexe devenir dur et tendu, j’en étais même gêné, et je massais ses fesses. « Mais caresse-moi entre les jambes ! » J’avais enfin compris son attente et posé ma main sur son sexe, découvrant qu’il était tout chaud et très humide. Guidé par elle, j’avais ainsi donné pour la première fois du plaisir à une fille. Souvenirs…

J’ai mûri depuis et certainement beaucoup plus d’expérience. Mes caresses s’aventurent maintenant sur l’intérieur de ses cuisses. Je remonte lentement mais veille à ne pas toucher son sexe. Je pose ma main sur ses fesses et parcourt lentement la raie, masse doucement son petit trou et m’arrête à l’orée de sa fente. Je reprends les caresses sur ses cuisses mais maintenant mon doigt remonte le long de son sexe lui arrachant un petit gémissement. D’un doigt très doux qui se couvre rapidement d’un liquide onctueux, je parcours la fente, séparant les lèvres et découvrant les secrets encore cachés. Passant mes mains sous ses hanches, je l’aide à changer lentement de position, la mettant dans celle qui répond au doux nom de levrette. Son sexe est sous mes yeux, luisant, chaud, odorant. Je l’embrasse doucement. Lorsque ma langue remonte sa fente, recueillant le divin liquide et séparant ses lèvres, Annette gémit. Je lèche doucement ses petites lèvres que je sais très sensibles. J’en suis remercié par une respiration qui s’accélère, de nouveau gémissement et un supplément de mouille que je m’empresse de lécher. Quand je sens que mes petits jeux ont amené Annette près du point de non-retour, ma langue se pose pour la première fois sur son bouton, en fait le tour doucement puis soudain le presse déclenchant un spasme qui ne trompe pas. J’accompagne de la langue Annette dans sa jouissance.

Annette se relève et tourne vers moi son visage heureux. Elle se colle à moi et m’embrasse du bout des lèvres. Puis elle s’agenouille lentement devant moi. Ses mains descendent le long de mon corps et entrainent sur leur chemin mon seul vêtement. Nos yeux se croisent. Elle sourit et donne un léger coup de langue sur mon sexe déjà bien tendu.

La première fois que j’ai caressée Annette, elle a bien sûr voulu découvrir elle aussi mon corps. Je me suis dénudé sous son regard curieux. C’est sans doute la première fois qu’elle voyait un sexe aussi tendu. Elle y porta doucement la main mais à peine l’avait-elle saisi que j’explosais à sa plus grande surprise. Elle regarda sa main couverte de sperme et eu cette phrase : « Au moins on ne peut pas dire que je ne te fais pas d’effet ! » Les fois suivantes, car vous vous doutez bien que nous n’en restâmes pas à ce premier essai, nous avons lentement progressé dans nos découvertes. Je me rappelle très bien la première fois qu’Annette s’est mise à genoux devant moi et a mis mon sexe dans sa bouche. Je revois son visage couvert des taches de rousseur et encadré de cheveux roux, son sourire, plus bas ses petits seins, mais surtout mon sexe entre ses lèvres. Nos premiers essais furent maladroits mais toujours agréables. Souvenirs…

Annette me prend dans sa bouche, sa langue s’active. La petite Annette a fait beaucoup de progrès depuis nos premiers essais. Je le sais. Elle le sait. J’en profite. Elle joue avec moi, m’avale profondément, me laisse ressortir, s’arrête quand elle craint une fin trop rapide, et toujours joue de la langue en experte. Plusieurs fois je crois jouir mais elle réussit à repousser le moment. Elle lèche mes bourses, lèche mon sexe, le reprend en bouche. Elle doit sentir quand je n’en peux plus car enfin elle me laisse me libérer. Je jouis dans sa bouche et elle accompagne chacun de mes jets de la langue puis avale. Annette a toujours avalé,  elle m’a dit qu’elle aimait cette sensation.

Après quelques autres jeux nous nous endormons cote à cote. Nous n’avons jamais fait l’amour, je n’ai jamais pénétré son ventre. Nous ne nous sommes jamais embrassé comme deux amants, bouches ouvertes et langues mêlées. C’est notre limite tacite. Cousin cousine. Cela faisait vingt ans que nous n’avions pas joué ainsi. Il a fallu un martinet.