Monsieur Delavarenne (directeur)
J’ai mis Marie au coin dans le bureau, le nez face au mur,
montrant ses fesses rondes. J’attends tranquillement l’arrivée de Sandra qu’un
surveillant est allé chercher. Celle-là je ne vais lui faire payer cher son
insolence.
Un coup sur la porte je dis d’entrer, le surveillant entre
avec Sandra.
— C’est bon, vous pouvez-nous laisser.
Le surveillant se retourne et sort, son sourire montre qu’il
a regardé les fesses de Marie.
Moi, je regarde Sandra qui se tient devant son bureau,
visiblement inquiète. Physiquement cette fille n’est pas mal : un joli
visage à la peau pale et parsemée de taches de rousseurs encadré par des
cheveux très roux, mi-longs, une poitrine qui pointe un peu sous le chemisier
réglementaire, une taille fine qui met en valeur le galbe des hanches puis des
jambes. Mais bon, ce n’est pas le sujet.
— Alors Sandra, vous n’avez rien à me dire ?
Comme le silence se prolonge, je reprends.
— Pas trop inquiète d’être convoquée dans le bureau du
directeur du bagne ?
Là, je remarque qu’elle a tressailli.
— Vous savez que dans les bagnes, les directeurs ont tous
les pouvoirs ? Vous savez qu’ils n’aiment pas les fortes têtes ?
Sandra est plus pale, mais ne sait que répondre.
— Vous savez comment les directeurs trouvent les
responsables des désordres ? Je vais vous le dire moi… Dans un bagne il y
a toujours des faibles pour vendre les autres.
Sandra a compris qu’elle a été dénoncée. Elle aurait dû
rester discrète, mais c’est si bon de se vanter de ses bêtises. Je me doute que
sa peur monte, elle connait ma réputation et j’ai promis devant tout le monde
que je ne raterai pas le coupable.
— Retournez-vous et dites-moi ce que vous voyez dans le
coin.
Sandra se retourne et reconnait Marie même si celle-ci lui
tourne le dos.
— C’est Marie monsieur.
— Non, ce n’est pas Marie, c’est la froussarde qui vous a
dénoncée pour sauver ses fesses. Regardez comme elles sont bien blanches, je
crois qu’elle a gagné. Vous pouvez vous rhabiller mademoiselle Esteban.
Marie se retourne, le regard pointé vers le sol. Elle n’ose
pas regarder Sandra. Sous mon regard et celui de sa copine – mais est-ce encore
une copine ? –, elle s’habille le plus vite possible.
— C’est bon, vous pouvez sortir… et merci encore pour votre
aide.
Je fixe mon regard sur Sandra.
— Alors, vous reconnaissez être l’auteure du tag ?
— Oui monsieur, répond Sandra en baissant les yeux.
— Comme vous semblez croire que cet institut est un bagne,
nous allons vous donner raison. Dans un bagne, les fortes têtes c’est punition,
mitard et travaux forcés. Le programme vous convient ?
Sandra me regarde avec de grands yeux… Je pense qu’elle ne
comprend pas trop où je veux en venir et c’est bien mon but. La peur fait
partie de la punition.
— Déshabillez-vous, vous ne méritez pas de porter des vêtements pendant vos jours de mitard.
Le chemisier posé sur une chaise est rapidement rejoint par
la jupe plissée. Sandra n’est plus couverte que par sa culotte et son
soutien-gorge. Je prends plaisir à
regarder sa poitrine pendant qu’elle la dévoile. Deux jolis seins bien ronds
avec de petites aréoles rose clair mettant en valeur une peau très blanche
parsemée de quelques taches de rousseur. Je suis ensuite du regard la culotte
qui descend le long des jambes fines. Le sexe est rasé à l’exception d’une
toute petite touffe de poils roux, formant comme une goutte au-dessus de la
fente. Elle fait partie de ces filles dont la fente est bien fermée, les
grandes lèvres cachant tous les trésors plus secrets.
— Suivez-moi.
Je me lève, ouvre la porte de son bureau, traverse le
secrétariat et ouvre la porte donnant sur le couloir avant de me retourner. Sandra
me regarde mais semble figée. Elle n’arrive pas à faire les quelques pas qui la
feront sortir de la relative intimité du bureau. Elle a compris que j’ai
l’intention de l’humilier en la faisant parader nue dans les couloirs. Elle
s’en veut surement d’avoir écrit ce mot sur le mur. C’était beaucoup moins drôle
maintenant qu’elle comprend qu’elle va payer cher son action. Finalement elle
avance lentement. Elle garde son regard droit devant elle pour ne surtout pas
voir la réaction de la secrétaire devant qui elle passe nue.
Le couloir est vide, j’en éprouve un soulagement passager. A
tout moment quelqu’un peut passer et me voir. Les dalles me paraissent froides
sous mes pieds nus. Il se passe du temps avant que je me pose la question de notre
destination. La réponse m’est fournie lorsque le directeur frappe à la porte du
bureau du surveillant général et entre, me faisant signe de le suivre.
Monsieur Lepetit se lève à l’entrée du directeur puis marque
sa surprise en me regardant. Il me connait bien car je suis déjà passée dans le
bureau pour quelques coups de lanière sur la culotte. Le directeur a pris la
parole. Lepetit lève les yeux vers lui, quittant enfin du regard mes seins.
— Mademoiselle Lawson est l’auteure du tag. Pendant que je
discute avec mon adjointe de la punition qui me semble adaptée à son cas, je
vous la confie. Donnez-lui un seau et une brosse et accompagnez la dehors,
qu’elle efface son graffiti.
— Dehors ? Comme elle est, nue ?
— Je n’ai pas été clair monsieur Lepetit ? Bien sûr
qu’elle va rester nue et j’espère bien qu’elle va avoir honte tout comme elle a
fait honte à tout le monde avec son infâme graffiti.
Le directeur sort du bureau, me laissant face à face avec
Lepetit. Voyant le regard que celui-ci pose sur mon corps, je cherche à me
cacher un peu, posant une paume sur mon sexe et l’autre bras en travers de ma
poitrine. Un réflexe idiot qui fait sourire Lepetit.
— Les mains sur la tête Sandra. Tu fais moins la maline
maintenant… Je te conseille de m’obéir sans la moindre hésitation si tu ne veux
pas que ta situation s’aggrave encore.
Il me regarde rougir en posant ses mains sur sa tête. Je
sais que je rougis facilement et qu’avec ma peau de rousse cela se voit bien,
j’en ai honte mais je n’y peux rien. En fait je m’en veux de montrer ma gêne.
— Je vois que tu ne fais pas ta maline aujourd’hui. Je te
promets que je vais y mettre tout mon cœur quand sera venu le moment de te
punir. Je suis sûr que tes fesses ne vont pas rester blanches toute la journée.
Je sais bien que c’est le surveillant général qui est en
charge des punitions.
— Bon, ce n’est pas tout mais le devoir nous appelle. Suis
moi donc et garde tes mains où elles sont. Je suis sûr que notre bon monsieur
Pogne a un seau et une brosse. Il va être content de les prêter à une fille
mignonne comme toi.
Je me dis que son calvaire est sans fin. Pogne, le gardien, a toujours des regards lubriques, il va se régaler…
Le surveillant me remet entre les mains de Pogne et à peine
est-il parti que le gardien ricane.
— Alors ma belle, on ne rigole plus ? Je sais bien
qu’avec tes copines vous me traitez de vieux vicieux, eh bien je vais te faire
une confidence : vous avez raison. Et aujourd’hui tu es à moi, tu vas être
gentille et te laisser faire.
Je recule d’un pas quand il avance sa main vers mon sein.
— Je vois que tu n’as pas compris la situation. C’est
simple, si tu ne me laisses pas faire, je te donne une brosse aux poils si fins
que tu n’auras aucune chance d’effacer ton tag. Donc tu passeras un temps fou à
poil dehors avec tout le monde qui te mate et moi je dirais au directeur que tu
ne fais aucun effort. Si tu me laisse jouer, je te donne la bonne brosse et le
bon produit et tu finis en moins d’une demi-heure. A toi de choisir. De toute
façon tu vas y passer.
Il avance de nouveau sa main. Cette fois je ne bouge pas
mais me crispe. Il caresse mon sein en me regardant dans les yeux comme pour
savourer sa victoire. Son pouce joue avec la pointe, ce salaud veut me faire
réagir à son tripotage mais la peur me protège. Il passe dans mon dos. Je sens
ses mains se poser sur mes fesses qu’il serre entre ses doigts.
— Penche-toi.
Je ne résiste pas. A quoi bon ? Je suis en son pouvoir
et j’espère seulement qu’il va se contenter de me caresser. Il me fait écarter
les jambes. Je sens une main sur l’intérieur de ma cuisse qui remonte
lentement. Le salaud, je sens des larmes se former, j’essaye de lutter contre.
Je ne veux pas lui donner ce plaisir. Ca y est, il joue avec mon sexe,
l’horreur. Un de ses doigts glisse le long de ma fente. Je me crispe. Il appuie
un peu et mes lèvres s’écartent. Son doigt joue à l’entrée de mon sexe puis
monte lentement. Je sais où il va, mon bouton, il va jouer avec mon petit
bouton. Je tremble. Il touche doucement mon clito, une sensation se diffuse
brutalement dans mon ventre, mi douleur mi autre chose hélas. Je lutte, lui
demande d’arrêter. Il s’amuse avec moi, je sens mon corps me trahir. Il glisse
de nouveau dans ma fente, je sais qu’il sent ma mouille sur son doigt. J’ai
honte, mais honte. Non ! Son doigt s’est posé sur mon petit trou. Il
appuie doucement. Je serre les fesses.
— Tu vois que tu aimes ! Tu me donnes la trique mais tu
y passeras plus tard, c’est trop dangereux pour moi maintenant.
Je me suis redressée et je vois bien la bosse qui déforme
son pantalon en velours. Malgré sa menace le suis soulagée qu’il n’ait pas été
plus loin. Il va dans un coin de son antre et prend un seau, du produit et une
grosse brosse.
— Suis-moi.
Il sort dans la cour et remplit le seau à un robinet, met du
produit et me tend les outils. Il ouvre la petite porte et sort dans la rue. Je
sais que je dois le suivre, dehors, nue. Je tremble, je rougis encore mais
j’avance lentement.
Heureusement en plein après-midi la rue est calme. Je frotte
le plus fort et le plus vite possible. Pogne me regarde en ricanant. Il a tenu
parole, son produit est efficace et le tag se dilue. Une voiture passe,
ralentit et klaxonne. Je sursaute mais ne me retourne pas. Pogne ne peut
s’empêcher de faire un commentaire.
— Tu es dure avec eux, tu aurais pu leur montrer tes petits
seins, ils auraient apprécié comme moi. Je suis sûr que cela t’aurais plu de te
montrer. Je sais bien que tu es une salope qui fais semblant de ne pas aimer
qu’on la regarde.
C’est enfin fini. Il me laisse passer devant lui pour
rentrer et me colle la main aux fesses.
Dans cette suite je n' aime pas trop le gardien cette espèce de pervers, la jeune Sarah est relativement jeune, pas plus de 18 ans je pense. Mais je sais ce récit est fantamé et là on peut se permettre beaucoup de choses.
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