jeudi 13 mars 2014

L'Olivier (9) - Les verres (où Julie prend une première fessée)

Mercredi soir, j’ai trouvé un verre par terre. Marie a donc pris sa fessée sous le regard toujours un peu surpris de Julie. Ce jeudi, quand je m’installe quelle n’est pas ma surprise de trouver de nouveau un verre sale dans le salon. C’est dans mon souvenir la première fois que je trouve un verre deux fois dans la même semaine. J’appelle Marie et lui montre l’objet du délit. Énervé par la situation, je ne fais pas attention à sa réaction et lui demande d’aller chercher sa brosse.

Quand elle revient et me tend la brosse, je remarque qu’elle tremble un peu. Je me dis qu’elle a bien raison et lui demande de se préparer sans attendre. Elle porte aujourd’hui une culotte en coton très ordinaire. Le bruit de la fessée attire Julie. Après la fessée traditionnelle, et donc les quelques gosses claques qui arrachent des cris et en font une « bonne fessée », je me saisis de la brosse.

— Marie, dis-je en donnant un premier coup

Un premier cri fait écho au claquement de la brosse.

— Tu vas apprendre

Le second coup, sur l’autre fesse arrache son cri.

— A ne pas laisser traîner

Marie cri de nouveau et se débat un peu.

— Des verres par terre.

Le quatrième coup fait lui aussi son effet. J’entends Julie réagir elle aussi par un « Non… »

— Deux jours de suite c’est trop et cela ne m’amuse pas.

Les deux derniers coups de brosses réduisent les cris à des sanglots. Je pense qu’elle retiendra la leçon et maîtrisera ses fantasmes. C’est alors que j’entends Julie.

— Oh non ! Marc c’est moi qui aie laissé traîner le verre. Marie, excuse-moi Marie.

Elle est tout agité et ne quitte pas des yeux les fesses de Maries qui sont maintenant légèrement marbrées, signe qu’elle va avoir du mal à s'asseoir pendant plusieurs jours. Marie finit pas se relever, les joues couvertes de larmes.

— Marie, comment me faire pardonner ? Marc, c’est moi qui méritais d’être punie.

Je la vois porter les mains au bouton qui ferme son pantalon. Je comprends immédiatement son intention et l’arrête.

— Julie, c’est trop tard maintenant. Marie a été punie, à toi de voir avec elle pour te faire pardonner.

Julie me regarde puis se tourne vers sa copine, toujours à moitié nue et qui se frotte les fesses.

— Marie, je mérite une fessée, tu acceptes de me la donner ? Ce serait injuste que je m’en tire sans rien.
— Allez donc discuter de cela dans vos chambres et laissez-moi lire.

Un peu plus tard ma lecture est interrompue par le bruit caractéristique d’une fessée venant de la chambre de Marie. Julie avait donc obtenu gain de cause.

Mon imagination vagabonde. Je vois la belle Julie nue en travers des jambes de Marie, assise sur le lit. Je vois sa superbe paire de fesses offerte aux claques sonores. Je vois ses seins nus pointant vers le sol et s’agitant au  rythme de la fessée. Après une brève pause, le son change de nature. Julie se fait vocale, pousse de petits cris et gémissements mais jamais ne se plaint. La brosse est entrée en action.

Beaucoup plus tard, vêtue d’une chemise de nuit sous laquelle je la devine nue, Julie vient s’excuser d’avoir laissé traîner ses affaires et me souhaite bonne nuit. Je lui souhaite moi aussi bonne nuit pensant que deux filles de ma connaissance vont dormir sur le ventre.

Le lendemain je constate que les deux copines ont choisi de se mettre en robe et ont bien du mal à s'asseoir sans grimacer légèrement.

1 commentaire:

  1. J' ai lu la série "l' olivier" et c' est vraiment une aventure passionnante (de fessées) et très intéressante. Y aura-t-il un 10ème épisode ?

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