Cela fait quelques temps déjà que le nom de Kevin apparaît dans les conversations. Il étudie les mêmes matières que les filles et fait de toute évidence partie de leur cercle d’amis. Comme son nom apparaît plus souvent que les autres, je finis par comprendre qu’il plaît bien aux filles. La tête de Marie un jour que je prononce son nom me renseigne sur qui est sa copine où rêve de l’être.
Je finis par le croiser un jour que je rentre tôt du bureau. Il travaille avec les filles et est installé tout près de Marie. En m’entendant il s’en écarte un peu puis se lève pour me saluer. Grand brun à la peau mate, les épaules larges et les traits fins, je comprends qu’il puisse plaire à ma fille. Il a un sourire franc et une poignée de main ferme.
Après son départ les filles m’expliquent que c’est un copain de fac, ce que je sais déjà, et qu’il à une mère marocaine, ce qui explique son teint. Julie ajoute que c’est un sportif, ceinture noire de judo. J’ai donc droit à beaucoup d’explications qui me semblent avoir pour but de s'éloigner du fait qu’il sort avec Marie. Je prends Marie à part un peu plus tard et lui dit en souriant que cela ne me gêne pas qu’elle invite son copain à la maison et qu’elle est libre de sa vie. Elle rougit un peu mais semble satisfaite de cette explication.
Dans le mois qui suit, je le croise de plus en plus souvent et ai même l’occasion de bavarder avec lui. Il est fils unique, habite Lattes et sa mère est originaire de Fès. Il me parle de sa passion pour le judo et de la détente que ses entraînements lui procurent. Il me dit apprécier le calme qui règne dans ma villa très propice au travail. Un jour que nous bavardons assis dans les fauteuils du salon, Julie passe nous demander si nous voulons boire quelque chose puis revient pour nous servir. Je vois que cela le surprend un peu. Un peu plus tard Marie ramasse nos verres et va les laver. Il me dit en souriant :
— Je me croirais au Maroc où les femmes servent les hommes.
— Les filles font pas mal de travail à la maison, une façon de me remercier de les héberger. Nous avons nos petites habitudes et tout le monde en est content. Ne trouves-tu pas qu’une maison calme et rangée c’est plus agréable ?
— Bien sûr…
Je remarque que Julie sourit en nous entendant.
Kevin était de plus en plus souvent à la villa. Marie semblait très heureuse et détendue. Ce qui devait arriver finit par arriver. Un soir alors qu’ils sont tranquillement installés sur la table à travailler, je rentre du travail et m’installe dans mon fauteuil. Julie se lève pour me servir mon whisky. Kevin la blague sur son empressement à faire le service et Julie se tourne vers lui. Pas de chance, la bouteille suis son mouvement et du whisky se répand sur la table et sur mon bas de pantalon. Julie devient toute pâle. Je me lève en râlant et vais dans ma chambre me changer.
A mon retour, la table et le sol sont propres, mon whisky servi et Julie est debout à côté du fauteuil. Elle se tient les mains devant le corps, visiblement agitée. Les deux autres la regarde en silence. Je m’assois et la regarde. Elle prend la parole d’une voix basse mais qui semble résonner dans le silence.
— Excuse-moi, je n’ai pas été attentive. Je sais que je mérite d’être punie.
— Bien sûr que tu le mérites. Tu acceptes être punie tout de suite ?
— Oui, répond-elle à ma surprise.
Je me tourne vers Kevin.
— Je crois que tu vas découvrir un des secrets de notre organisation. Je compte sur ta discrétion.
Je note que Marie lui a pris la main. Il semble chercher à comprendre ce que nous entendons par punition. Julie s’installe à ma droite et leur tourne le dos. Elle ouvre son jean et baisse la fermeture. Le bruit semble énorme. Sans hésiter elle baisse son pantalon puis d’une geste décidé glisse sa culotte en dentelle sur ses cuisses, offrant ses fesses à la vue de Kevin et son ventre à la mienne. Je l’aide à se coucher sur mes genoux, la tête baissée.
La fessée qui suit n’a rien de mémorable. Je lui claque le derrière jusqu’à ce qu’il soit bien rouge. Toujours aussi stoïque Julie ne fait aucun bruit. Kevin regarde le spectacle sans un mot, Marie a le regard qui va des fesses de Julie au visage de son copain.
A la fin de la fessée, Julie se relève et va se mettre au coin. Je remarque qu’elle veille à maintenir ses fesses en direction de Kevin. Je prends enfin mon verre et bois une petite gorgée. Le silence persistant, je le romps.
— Kevin, tu connais maintenant ce secret, les filles m’ont demandé de ne pas hésiter à les punir en cas de bêtise. Julie va méditer un peu avant de vous rejoindre.
— Marie, toi aussi tu es fessée ?, demande-t-il à sa voisine.
— Oui, moi aussi quand je fais des fautes ou que je ne travaille pas assez.
Marie lui sourit en disant cela.
Un peu plus tard, ils vont ensemble dans la chambre de Marie. Rien d’original en cela. Ce qui m’amuse un peu plus tard c’est leur allure quand ils ressortent de la chambre. Je savais que les fessées excitaient Marie. Visiblement cette excitation a donné lieu à une séance intense.
Quel enorme plaisir de retrouver cette formidable serie
RépondreSupprimerMerci