dimanche 10 décembre 2017

l'Olivier (12) - Changements progressifs

Le lendemain matin quand je me lève pour prendre mon petit déjeuner, je suis accueilli par Marie. Elle est nue et me sert mon café en me demandant :

— Je dois bien restée nue comme la dernière fois jusqu’à ce que les marque s’effacent?
— A voir ta tenue je crois que tu as déjà pris ta décision. Je la respecte.

Marie sourit. Elle vit de toute évidence son fantasme de soumission. Julie arrive un peu plus tard, vêtue du long tee-shirt en coton qui lui sert parfois de chemise de nuit. Elle regarde Marie, visiblement surprise de la trouver nue.

— Marie a décidé de rester nue à la maison jusqu’à ce que les marques de la badines disparaisse. Je lui avais demandé la dernière fois, lui expliquant que cela permet de méditer sur ces fautes plus longtemps et de ne pas croire que quelques coups de badines effacent tout.

Julie me regarde, songeuse. Elle regarde Marie qui lui tourne le dos car elle s’occupe des toasts. Son regard se porte aux trois lignes roses, plus claires que la veille au soir. Son front se fronce, signe d’intense réflexion puis elle me tourne le dos et retire son tee-shirt, dévoilant ses fesses. C’est quand, après avoir posé son vêtement sur une chaise, elle se dirige vers la table que je découvre qu’elle est totalement nue devant nous. Une petite touffe de poils blond décore son bas ventre plus qu’elle ne le cache. Ses lèvres roses sont tout à fait visibles. Elle me regarde.

— Cela ne te gène pas que je sois nue comme Marie ?

Je fait signe que non de la tête. En fait ce qui me dérange le plus c’est mon sexe qui se rappelle à mon souvenir et se sent à l’étroit. Un peu plus tard, je pars à mon bureau, la tête pleine d’images de Julie et passablement excité.

Pendant deux jours la scène est identique et deux filles nues déambulent dans la villa. le troisième matin, nouvelle surprise, seule Julie est nue. Elle me montre ses fesses où la trace du coup que j’ai porté plus fort que les autres est encore bien visible. Elle demande à Marie de s'asseoir à table et fait le service seule.

Petit à petit je m’habitue au spectacle de son corps nu, des ses seins qui marquent ses mouvements d’un doux balancement et à ses belles fesses rondes qui semblent implorer d’être fessées.

Le vendredi suivant Julie me demande d’être traitée comme sa copine. Après avoir fessé Marie, c’est donc Julie qui s’installe en travers de mes genoux et reçoit les bonnes claques qui font rougir son postérieur.

C’est peu de temps après que Kevin fait son apparition.

1 commentaire:

  1. Un texte court mais intéressant et tant attendu, je n'espérait plus voir de nouveaux textes sur ce blogue. Merci de poursuivre et bonne continuation, j'ai déjà hâte à la prochaine publication.

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