Le lendemain, en me réveillant, j’ai entendu du bruit venant de la cuisine. Je me suis levé et ai enfilé un peignoir en me disant qu’un bon café me ferait du bien. Je repensais aussi à notre discussion de la veille.
En entrant dans la cuisine, j’ai eu la bonne surprise de voir que ma tasse était mise sur la table, avec serviette et cuillère, et qu’une bonne odeur de café flottait. Marie s’est tournée vers moi en m’entendant et m’a souri. Elle était vêtue d’une chemise de nuit en coton blanc, assez épaisse et qui se terminait à mi-cuisse. J’ai constaté qu’elle avait rangé notre vaisselle de la veille, ce qui était une grande première. D’habitude c’était moi le premier levé et il faut le reconnaître Marie n’aidait pas beaucoup.
Elle m’a fait signe de m'asseoir et m’a servi du café. Elle m’a regardé boire, debout, comme une servante attentionnée regarderait son maître. Quand j’ai fini, elle a débarrassé et lavé le bol puis s’est tournée vers moi.
— Tu vois, rien que le fait d’avoir discuté avec toi me fait du bien. Je fais des choses utiles au lieu de traîner au lit.
Elle s’est tue un instant puis a repris me regardant.
— Tu veux bien être le père sévère dont j’ai besoin pour me sentir bien ?
J’ai dû hocher de la tête en signe d’approbation car elle a enchaîné.
— Oh, merci. J’aimerai que tu fasses une chose pour commencer. Pour remettre les pendules à l’heure.
Elle est sortie de la pièce et est revenue quelques minutes plus tard avec sa brosse à cheveux en main, cette même brosse en bois qui lui servait la veille. Elle me l’a tendue.
— S’il te plaît, donne-moi une bonne correction pour toutes les bêtises que j’ai faites et qui sont restées impunies.
Ayant compris son attente, j’ai écarté ma chaise de la table pour lui laisser de la place. Elle est venue d’elle-même s’allonger en travers de mes genoux. En se baissant ses mains se sont saisis du bas de sa chemise de nuit et l’ont relevé. Elle n’avait pas mis de culotte. Ce sont deux fesses nues que j'avais maintenant sous les yeux, de belles fesses bien formées, musclées mais pas trop. Tout sauf des fesses de petite fille.
J’ai posé la brosse sur la table et commencé par la fesser à main nue. Tous les quelques coups je caressais ses fesses dont j'appréciais la fermeté et la douceur. Elle se laissait faire. A la couleur qui passait du rose clair au rose plus soutenu, je savais qu’elle devait sentir ce début de fessée mais elle ne disait rien, ne réagissait pas. Je pense qu’elle savourait l’instant. J’ai décidé que le moment était venu de frapper plus fort. J'ai enchaîné plusieurs tapes sur la même fesse qui a viré au rouge avant de changer de coté. Je sentais son corps se tendre un peu et le ritrhme de sa respiration a changé.
Je me rappelle encore la sensation que me donna ce début de fessée. Je ressentais à quel point Marie s’abandonnait, me faisait confiance, s’offrait en offrant ses fesses. Sa nudité, sa position, tout concourait à me donner un sentiment de puissance mais aussi de responsabilité. Instant magique que cette première fessée.
Après une série particulièrement appuyée, elle a lâché un premier gémissement. Je lui ai caressé de nouveau le derrière qui était maintenant rouge et chaud. Une nouvelle série et elle a commencé à agiter ses jambes. Je lui ai alors demandé, d’une voix que je voulais sévère, d’arrêter de gigoter tout en lui claquant la peau tendre du haut des cuisses. Elle a tendu ses jambes, serré ses fesses, visiblement elle cherchait à obéir.
J’ai repris la fessée, ne retenant plus mon bras. Le bas de son corps est devenu progressivement rouge, du haut des fesses jusqu’à mi-cuisse. Elle ne pouvait plus s’empêcher de s’agiter, elle poussait de petits cris.. Ses jambes bougeaient en tous sens, surtout quand ma main s'abattait sur ses cuisses.
J’ai arrêté de la frapper et lui ai expliqué que j’en avais marre qu’elle bouge comme une gamine. Déplaçant ma jambe, j’ai coincé les siennes entre les deux miennes et l’ai repositionnée pour que ses fesses soient bien offertes. J’ai alors saisi la brosse et l’ai posai sur sa peau. Avec mon bras gauche je la tenait bien serrée pour qu’elle ne bouge pas. Je la laissais reprendre son souffle avant le final.
Quand je l’ai sentie prête, j’ai levé la brosse et l’ai claquée sur une fesse puis sur l’autre, régulièrement. Je lui ai immédiatement arraché des cris. J'ai enchaîné néanmoins une vingtaine de coups avant de m’arrêter. Je l’ai finalement laissée sangloter en travers de mes genoux puis je l’ai aidée à se redresser.
Elle se tenait maintenant à côté de moi. Ses jambes flageolaient un peu. Des larmes coulaient de ses yeux. Ses mains s’agitaient. Elle m’a regardé et n’a eu qu’un mot : « merci ». Puis elle est allé d’elle-même s’installer dans un coin de la cuisine, a roulé le bas de sa chemise pour dégager ses fesses et a posé ses mains sur sa tête.
Quand je suis revenu de ma toilette, habillé pour partir, elle était toujours dans la même position, les fesses rouges offertes aux regards. Je l'ai appelée et lui ai fait signe de s'asseoir sur mes genoux. Nous avons discuté, serrés l’un contre l’autre dans un câlin père fille comme nous n’avions pas eu depuis bien longtemps. J’ai rapidement compris qu’elle avait dû réfléchir depuis longtemps car elle m’a expliqué qu’elle allait maintenant aider à la maison et bien sur qu’elle comptait sur moi pour surveiller son travail à la fac. Elle m’a précisé, pour le cas où je n’aurais pas compris sans doute, qu’elle s’attendait à être punie si tout n’était pas parfait.
Le charme de la jeune fille repentante. Quelle belle incarnation de la vertu !
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