mardi 31 décembre 2013

L'olivier (6) - Fessée toujours et découverte de la badine

Fessée et public
 
Le lendemain, rentrant du travail, je retrouve les deux copines installées comme la veille. Je regarde Julie en souriant.

— Julie, il va falloir que tu nous laisse un peu ensemble comme hier.

Julie au lieu de se lever me répond :

— Vous allez recommencer à fesser Marie comme hier ? Tu acceptes cela, ajoute-t-elle en se tournant vers Marie ?

Marie restant sans voix, je réponds à Julie.

— En fait Marie aime être fessée mais je crois qu’elle ne pensait pas être aussi bien servie. A ta question je déduits que tu nous as espionné hier soir.
— Je ne voulais pas, mais c’est le bruit qui m’a intrigué et ensuite je ne suis pas arrivé à m’arracher au spectacle. Tu ne m’en veux pas Marie ?

Marie est devenue toute rouge et fait non de la tête.

— Puise que tu as tout vu hier, tu peux rester, cela ne me dérange pas.

Je me garde bien de demander son avis à Marie, au contraire je lui fais signe de se préparer. Elle n’ose pas se rebeller ou peut-être est-elle heureuse de s’exhiber. En tout cas elle retire pantalon et culotte et s’installe en travers de mes genoux.

Je la fesse copieusement comme la veille. La principale différence est que je m’arrête de temps à autre pour regarder Julie. Celle-ci a les yeux fixés sur le derrière de sa copine, comme fascinée. Quand elle voit que je la regarde, elle rougit. Quand je termine la fessée et laisse Marie se reprendre, je me tourne vers Julie.

— Que penses-tu de cette fessée ? Le derrière de Marie est bien rouge non ?
– C’est fou, Marie doit avoir très mal. Comment peut-elle accepter ?
— Je vais te donner la réponse. Marie a bien sûr mal aux fesses, mais ce soir, dans son lit, elle va se masturber comme une folle et y trouver plein de plaisir. N’est-ce pas Marie ?

Marie qui vient de se relever devient toute rouge en m’entendant, ce qui vaut une réponse.

— Julie, c’est à la demande de Marie que je suis autoritaire et sévère, cela l’aide pour réussir. Tu peux le comprendre ?
— Honnêtement pour l’instant j’ai du mal à comprendre, me répond-elle.
— Je crois que je vais vous laisser terminer votre travail.

Je me retire donc pour lire dans le salon. Je vois bien que les deux filles ont une conversation animée dont j’imagine le sujet.

Vendredi
 
La semaine se termine, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Marie et la punition qui l’attend ce soir. Je me demande comment doser, je ne veux pas aller trop loin. C’est donc plein de pensées vagabondes que je rentre en fin d’après-midi.

J’ouvre la porte, pénètre dans la grande salle et pose mon sac. Un mouvement sur la terrasse attire mon regard. Marie est tranquillement installée dans un fauteuil en train de lire. Au temps pour moi qui m’attendais à la trouver, obéissant aux instructions claires que nous avions partagées, nue dans le coin du salon.

J’ouvre la porte fenêtre qui donne sur la terrasse, Marie tourne la tête vers moi. Je n’ai pas à me forcer pour exprimer ma colère.

— Marie, de qui te moques-tu ? On est vendredi à ma connaissance et la liste dans la cuisine indique sans conteste une faute qui mérite punition. Tu cherches les ennuis ? Tu vas les trouver…
— Mais, dit-elle essaye de trouver une bonne réponse, mais cette faute tu as compris que je ne l’avais pas faite. Tu m’as déjà puni et même devant Julie. Je ne croyais pas qu’elle comptait encore…
— Si elle est sur la liste et soulignée, c’est qu’elle compte, bien sûr. Plus que la faute fictive, c’est le mensonge qui compte. Je vois que tu veux faire la maligne. File te déshabiller dans ta chambre et revient vite, je perds patience.

Marie n’insiste pas. Elle court dans sa chambre. Je l’attends les bras croisés. Elle revient rapidement, nue. Je lui fais mettre les mains sur la tête et la regarde en silence. J’attarde volontairement mon regard sur sa poitrine. Ses deux seins ronds sont légèrement tirés vers le haut de par la position de ses bras. Les aréoles sont d’un rose soutenu et les tétons discrets démontrent qu’elle n’est pas excitée par la situation. Je regarde ensuite son ventre, son abondante touffe brune, taillées en triangle masque son sexe que l’on devine à peine. Je lui fais signe de se retourner et regarde maintenant ses fesses. La fessée de la veille au soir n’a laissé aucune trace sur les deux globes, traversée par la trace de bronzage qui marque les limites du bas de son maillot.

— Suis-moi.

Je me dirige d’un pas tranquille vers la bordure du jardin. J’entends derrière moi les pas de Marie puis plus rien. Je me retourne.

— Je t’ai dit de me suivre, arrête de traîner.
— Mais, on peut me voir.

Elle a une main sur son sexe et l’autre bras en travers de la poitrine.

— Ce n’est pas mon problème. Quand on choisit de désobéir on en paye toujours les conséquences.

Je m’arrête finalement devant la haie de noisetiers. Je sors un couteau de ma poche et coupe une branche puis la dépouille de ses brindilles et de ses feuilles. Je fouette dans le vide. Marie me regarde et pâlit de plus en plus.

— Regarde bien cette badine. Tu vois que sa partie la plus épaisse à l’épaisseur d’un doigt. J’ai tenu à ce que tu me suives car la prochaine fois que nous aurons besoin d’une badine tu te chargeras toi-même de la préparer. Je te conseille de fouetter dans l’air plusieurs fois pour vérifier sa solidité.

Je lui tends la badine pour qu’elle la prenne et nous retournons sur la terrasse. Une fois sur place je reprends la badine et la pose sur la table. Je m’assieds et fait signe à Marie de se mettre en travers de mes genoux. Une bonne fessée suit qui laisse deux fesses bien rouges. Marie finit par se redresser, en se massant les fesses. Je me lève aussi et prends la badine.

— Bon maintenant que tes fesses sont chaudes, tu vas pouvoir découvrir la badine. Penche-toi et pose tes mains à plats sur la table basse.

Dans cette position ses épaules sont légèrement plus basses que son derrière. Je lui fais légèrement écarter les jambes pour qu’elle soit bien stable.

— Voilà, c’est la position que tu devras prendre quand je te dirai de te préparer pour la badine.

Ne voulant pas la faire attendre plus, je lève le bras et abat d’un coup sec la badine en travers de ses fesses. Une ligne blanche apparait qui vire au rouge. Marie pousse un grand cri, se relève, porte ses mains à ses fesses et s’écarte de moi. J’attends tranquillement la badine à la main.

— Pitié, ne me frappe plus avec cette badine, dit-elle entre deux sanglots.
— Je n’avais pas l’intention de te donner plus d’un coup. Je ne serai pas toujours aussi gentil. Tu connais maintenant la badine et son effet. Va rejoindre ton coin.

Pendant une heure Marie reste au coin, montrant son fessier traversé par une belle ligne rouge. Je lui demande enfin de se retourner.

— Tu sais maintenant que la badine est la rançon des mensonges. Pour que tu médites sur cette leçon et te punir de ne pas t’être mis au coin pour m’attendre, tu resteras nue tant que la trace du coup de badine n’aura pas disparu. Cela t’obligera à regarder régulièrement cette belle trace et à méditer sur tes fautes. Va donc t’installer sur le pouf pour la suite.

Marie reçoit donc enfin les quelques coups de ceintures que sa faute justifie. Elle passe ensuite tout son week-end nue. La trace de la badine s’atténuant petit à petit. Je l’entendis appeler des amis pour décommander une sortie puis Julie pour lui dire de ne pas passer car elle ne se sentait pas bien. Cela me fit sourire.

Le dimanche après-midi, alors que Marie est à quatre pattes en train de laver la terrasse, la sonnerie retentit à l’entrée. Marie se fige en me voyant me diriger vers la porte. Je pose la main sur la poignée, laissant monter son angoisse, avant de lui dire d’aller dans sa chambre. C’est un voisin qui passe me demander un conseil.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire