dimanche 16 mars 2014

L'Olivier (10) - Annette et Christine

Ce samedi alors que Julie est en visite chez sa famille, Annette, une cousine, est venue me rendre visite. Elle est accompagnée de sa fille Christine, une adolescente qui a quinze ans si je me souviens bien. Annette est une petite femme rousse, que l’on pourrait prendre pour une irlandaise. Vive, joyeuse, un peu espiègle par moment, j’apprécie toujours ses passages qui me changent de mon quotidien.

A peine arrivée, Christine rejoint Marie trop heureuse de pouvoir bavarder avec une fille plus âgée qu’elle.  De notre côté, Annette et moi nous installons confortablement dans le salon et échangeons sur ce qui s’est passé chez chacun d’entre nous depuis notre dernière rencontre. Annette est assez curieuse sur l’impact de l’installation de Marie chez moi. Elle se doute bien que ma vie de célibataire endurci a dû être chamboulée. Quant à l’installation de Julie, je vois qu’elle se demande ce que doivent être nos relations, surtout quand je lui fais un portrait de la jeune femme en insistant sur sa beauté.

En homme ayant un certain savoir vivre, je propose un verre à Annette et appelle Marie.

— Marie tu peux m’apporter un whisky et un verre de rhum orange pour Annette, propose aussi quelque chose à Christine.

Marie s’empresse d’aller préparer les boissons pendant que Christine nous rejoint et prend place dans un des fauteuils. Je suis surpris de voir Marie revenir les mains vides.

— Annette, dit-elle, il n’y a plus de rhum, tu voudrais quoi à la place ?
— Un verre de muscat fera l’affaire, lui répond Annette.
— Un instant Marie, peux-tu m’expliquer pourquoi il n’y a plus de rhum ?

Ma question la fait un peu pâlir.

— J’ai fini la bouteille avec Julie et j’ai oublié de le noter pour les courses, répond-elle d’une voix légèrement changée ce qui n’échappe pas à Christine ni à Annette.
— Tu sais que je ne supporte pas ce genre de choses. N’oublie pas de noter cette bêtise sur ta liste, tu peux même la souligner par avance.

Marie baisse la tête sans répondre. C’est Christine, toujours curieuse comme sa mère, qui intervient.

— Marie, c’est quoi cette liste ? Tu notes tes bêtises ?

Marie rougit sans répondre. Annette sourit.

— Marie, explique donc à ta cousine, dis-je en souriant moi aussi.
—Christine, répond enfin Marie, je note toutes mes bêtises sur une liste et le vendredi je suis punie en fonction du nombre de bêtise. Quand mon père souligne une bêtise je dois me préparer avant son arrivée et me mettre au coin.

Je me tourne vers Annette et enchaîne :

— Marie va recevoir quelques bons coups de martinet. Elle est bien sûr d’accord sur cette éducation à l’ancienne qui me rappelle ma jeunesse.
— La martinet, répète Annette que j’ai visiblement un peu surprise. Tu veux dire que tu vas lui chauffer le derrière comme le faisait pépé quand nous étions jeunes ?
— Exactement.

Marie est toute rouge. Christine la regarde, nous regarde, la curiosité la dévore.

— Maman, un martinet c’est bien une sorte de fouet ? Il vous faisait quoi exactement votre pépé ?
— Un martinet, c’est plein de lanières au bout d’un manche, explique Annette. Quand nous avions fait une grosse bêtise et qu’il était énervé, pépé nous demandait de nous pencher sur la table de la cuisine puis il allait chercher son martinet et fouettait nos fesses nues. A début tu penses à la honte de montrer ton derrière mais rapidement tu ne penses plus qu’à la douleur et prie pour que cela s’arrête vite.
— Tu veux dire que pépé te déshabillait devant tout le monde ?
— Devant tout le monde, il ne faut pas exagérer, mais Marc a vu mes fesses plus d’une fois et moi les siennes.

Je demande à Marie qui ne sait plus où se mettre, d’aller chercher le martinet. Elle le rapporte et le tend à Christine.  Elle le prend et le regarde, le caresse, agite ses lanières.

— J’ai du mal à croire que l’on puisse frapper quelqu’un avec. Cela doit faire horriblement mal.
— Christine, dit Annette, je pense que Marc acceptera de punir Marie devant nous pour que tu découvres le martinet en action, après tout c’est moi qui n’ai pas mon rhum à cause de Marie.

Marie et Christine me regardent soudain, espérant sans doute des réponses opposées. Je hoche la tête et Annette enchaîne en souriant.

— Mais comme tu sembles très curieuse, Christine, je te donnerai ensuite quelques bons coups à toi aussi, afin de te satisfaire. Cela serait trop dommage que tu partes en n’ayant pas complètement satisfait ta curiosité.

Cette fois c’est Christine qui ne sait plus quoi dire.

Quelques instants plus tard, Marie fait glisser son jean et sa culotte puis se mets en position. Annette découvre qu’ici, la punie doit se pencher sur la table en verre de la salle à manger, tenir les côtés et se cambrer un peu, offrant ainsi les fesses aux regards. Elle comprend que le coté humiliant de la position fait partie de la punition et me sourit.

Je me place sur la coté et fait signe à Christine de se déplacer pour avoir une bonne vue sur les fesses de Marie. J’abats ensuite le martinet une bonne douzaine de fois sur les fesses tendues qui se couvrent de stries et virent au rouge. Marie garde la position mais émet des gémissements. Quand je lui dis de se relever, elle met spontanément ses mains sur la tête et on voit que ses yeux brillent un peu. Christine la regarde. Je ne saurais dire ce qui la choque le plus le coté soumise ou le fait que Marie nous présente son ventre dénudé sans protester. Je constate que Christine en est bouche bée.

— Alors Christine que penses-tu du martinet ? demande Annette.

Christine reste silencieuse. Annette lui fait signe en souriant.

— Met-toi donc en place pour en savoir plus.
— Tu veux que je m’installe comme Marie ?
— Mais bien sûr, cela semble une excellente position pour découvrir les joies du martinet, blague Annette.
— Mais je ne peux pas me mettre nue devant Marc.
— Bien sûr que tu peux. Tu ne vas pas lui montrer grand-chose que Marie ne nous ait déjà montré. Par ailleurs plus tu me fais attendre plus tes fesses vont souffrir, je te le promets.

Christine est rouge comme une pivoine quand ses mains se portent enfin à son pantalon. Elle nous découvre une jolie culotte bleu claire qu’elle a bien du mal à baisser. Elle a déjà une jolie touffe de poil et sans surprise c’est une vraie rousse, comme sa mère. Quand elle s’installe sur la table et tend les fesses, je constate qu’elles sont moins épanouies que celles de Marie, la position jambes légèrement écartées laisse ainsi voir la fente de son sexe. Mais mes pensées sont interrompues par le premier coup de martinet. Annette espace les frappes et fait attention de ne pas trop appuyer les coups. Christine remue néanmoins les fesses à chaque fois et pousse de petits cris. Sa peau fragile de rousse marque beaucoup et chaque lanière semble laisser sa trace. Annette demande enfin à Christine de rejoindre sa cousine. Elle prend place à côté d’elle, les mains sur la tête.

— Vous êtes mignonnes à croquer toutes les deux, rigole Annette. Comment trouves-tu le martinet ?
— Cela fait mal, répond Christine, mais moins mal que je le pensais. Mais cela fait quand même très mal.
— Et que penses-tu du côté humiliant de ce genre de punition ?
— C’est affreux, devoir se déshabiller devant les autres et tout montrer. C’est presque pire que le martinet. Et maintenant, je rêve de me frotter les fesses et à la place je continue à me montrer.
— Exactement, je crois que tu commences à comprendre. En grandissant moi aussi, c’est l’attente, touffe à l’air, après la punition que j’aimais le moins. J’avais toujours peur que quelqu’un entre dans la pièce. Tu imagines que quelqu’un rentre alors que tu es comme cela ? En plus je ne crois pas que nous ayons fermé la porte à clé.

Toujours aussi espiègle Annette s’amuse des réactions de sa fille qui ne peut s’empêcher de regarder du côté de la porte. Annette rit en la voyant faire.

— Annette, tu devrais avoir honte de te moquer de ta fille. Elle a été courageuse en acceptant d’essayer le martinet. A te voir faire la maligne comme cela, cela me rappelle des souvenirs. Et tu sais bien que quand tu te moquais des punis tu finissais à côté d’eux, fesses à l’air.

Annette me regarde puis sourit.

— C’est vrai ce que tu dis. Se moquer des punis chez pépé c’était la garantie d’une bonne dose de martinet avant de les rejoindre.
— Puisque tu sembles vouloir donner une leçon de martinet à ta fille, tu sais ce qu’il te reste à faire…

Annette me regarde en souriant.

— Tu as raison, je crois qu’une bonne dose me fera du bien. Finalement je n’ai pas trop changé.

Sous le regard médusé des deux filles, elle retire son jean puis baisse sa culotte en coton, le tout sans perdre le sourire. Elle a les hanches plus larges et les fesses plus rondes que Christine mais elles sont tout aussi claires et sa touffe est tout aussi rousse. Elle s’installe sur la table, tient les côtés et garde le visage tourné vers moi. Elle écarte un peu les jambes en souriant, me montrant qu’elle n’est pas du tout gênée. Son sexe est visible au bas de ses fesses et sa fente me parait bien brillante.

Je me place sur le côté et abat le martinet. La marque des lanières apparait immédiatement. Au bout de quelques coups je constate qu’elle sert les dents. Je continue néanmoins jusqu’à ce que les deux globes soient bien rouges. Quand c’est fini, Annette va d’elle-même se placer à côté des deux autres.

— Christine tu peux te rhabiller, tu es la seule à ne pas avoir fait de bêtise. Les deux autres vous pouvez baisser les bras mais que je ne vous prenne pas à vous frotter les fesses. Et allez donc nous servir à boire.

Christine vient s’assoir à côté de moi. Je lui explique que rester fesses nues fait partie de la punition car tant que l’on a les fesses nues on se sent puni et on médite sur ses fautes se jurant de ne pas recommencer.

Pendant une petite heure je laisse Annette et Marie nous servir fesses à l’air avant de leur dire de remettre leurs vêtements. Annette que je n’ai pas épargnée grimace un peu en s’asseyant enfin. Finalement, après qu’elle m’ait dit à moitié en blaguant qu’elle se voyait mal prendre le volant avec des fesses douloureuses, je les invite à passer la nuit.

Après une longue soirée de bavardages et de blagues, nous rejoignons nos chambres. Marie a promis à Christine de lui prêter une chemise de nuit. Annette nous a dit en riant qu’elle n’avait besoin de rien vu l’état de ses fesses.

Je suis dans mon lit depuis une petite heure, en train de lire pour trouver le sommeil quand ma porte s’ouvre. Annette, en tenue d’Eve, entre dans ma chambre un pot de crème à la main.

— Marc, tu veux bien faire comme quand on était jeunes et m’étaler de la crème sur les fesses ?

Je regarde Annette. Son corps est un peu plus rond que dans mes souvenirs. Ses seins eux aussi se sont arrondis mais ils restent relativement modestes ce qui leur permet de continuer à pointer fièrement. Elle continue de s’approcher et je ne peux ignorer que les pointes de ses seins sont érigées et plus rouges que de normal.

Comme quand on était jeune. Cette phrase et cette tenue me replonge dans des souvenirs. Cousin cousine, alors que nous avions treize ou quatorze ans, une séance de crème sur les fesses s’était transformée en une séance de caresses de moins en moins innocentes. Annette est la première fille à m’avoir fait jouir en me caressant, à sa plus grande surprise à l’époque. Souvenirs…

— Bien sûr. Allonge-toi et donne-moi ce pot.

Pendant qu’elle s’allonge, je me lève, heureux que le short assez lâche que je porte la nuit masque un petit début de réaction masculine inévitable.

Je dépose un peu de crème sur le bout de mes doigts puis la dépose au sommet de ses fesses. Les traces du martinet sont encore très visibles sur sa peau blanche aux multiples taches de rousseur. D’une caresse très douce je commence à étaler la crème. Quel bonheur de sentir à nouveau ses fesses sous mes paumes. Petit à petit la crème pénètre. J’en reprends un peu et continue à la masser délicatement. Mes paumes descendent doucement vers le bas des fesses et le pli qui les sépare des cuisses. Je caresse maintenant le haut des cuisses, qui pourtant n’a pas reçu le martinet, sans qu’Annette ne s’y oppose. Bien au contraire elle semble apprécier le doux massage. Sa respiration s’est faite lente et profonde, son corps est détendu et doucement ses jambes s’écartent pour faciliter le massage.

Je me souviens de la première fois qu’elle a ainsi écarté les jambes pendant que j’étalais de la crème. Je découvrais pour la première fois le sexe d’une fille dans cette position et d’aussi près. Mon regard s’était fixé sur la fente ainsi dévoilée, ornées de poils roux. J’étais totalement immobile, une main posée sur ses fesses, fasciné. Constatant que je ne bougeais plus Annette m’avais dit d’une voix troublée : « caresse-moi ». Ne comprenant pas grand-chose à l’époque j’avais repris le massage de ses fesses. Elle écartait les jambes de plus en plus. Je voyais maintenant toute la raie de ses fesses, son petit trou plissé et plus bas la fente maintenant légèrement entrouverte et brillante. Je sentais mon sexe devenir dur et tendu, j’en étais même gêné, et je massais ses fesses. « Mais caresse-moi entre les jambes ! » J’avais enfin compris son attente et posé ma main sur son sexe, découvrant qu’il était tout chaud et très humide. Guidé par elle, j’avais ainsi donné pour la première fois du plaisir à une fille. Souvenirs…

J’ai mûri depuis et certainement beaucoup plus d’expérience. Mes caresses s’aventurent maintenant sur l’intérieur de ses cuisses. Je remonte lentement mais veille à ne pas toucher son sexe. Je pose ma main sur ses fesses et parcourt lentement la raie, masse doucement son petit trou et m’arrête à l’orée de sa fente. Je reprends les caresses sur ses cuisses mais maintenant mon doigt remonte le long de son sexe lui arrachant un petit gémissement. D’un doigt très doux qui se couvre rapidement d’un liquide onctueux, je parcours la fente, séparant les lèvres et découvrant les secrets encore cachés. Passant mes mains sous ses hanches, je l’aide à changer lentement de position, la mettant dans celle qui répond au doux nom de levrette. Son sexe est sous mes yeux, luisant, chaud, odorant. Je l’embrasse doucement. Lorsque ma langue remonte sa fente, recueillant le divin liquide et séparant ses lèvres, Annette gémit. Je lèche doucement ses petites lèvres que je sais très sensibles. J’en suis remercié par une respiration qui s’accélère, de nouveau gémissement et un supplément de mouille que je m’empresse de lécher. Quand je sens que mes petits jeux ont amené Annette près du point de non-retour, ma langue se pose pour la première fois sur son bouton, en fait le tour doucement puis soudain le presse déclenchant un spasme qui ne trompe pas. J’accompagne de la langue Annette dans sa jouissance.

Annette se relève et tourne vers moi son visage heureux. Elle se colle à moi et m’embrasse du bout des lèvres. Puis elle s’agenouille lentement devant moi. Ses mains descendent le long de mon corps et entrainent sur leur chemin mon seul vêtement. Nos yeux se croisent. Elle sourit et donne un léger coup de langue sur mon sexe déjà bien tendu.

La première fois que j’ai caressée Annette, elle a bien sûr voulu découvrir elle aussi mon corps. Je me suis dénudé sous son regard curieux. C’est sans doute la première fois qu’elle voyait un sexe aussi tendu. Elle y porta doucement la main mais à peine l’avait-elle saisi que j’explosais à sa plus grande surprise. Elle regarda sa main couverte de sperme et eu cette phrase : « Au moins on ne peut pas dire que je ne te fais pas d’effet ! » Les fois suivantes, car vous vous doutez bien que nous n’en restâmes pas à ce premier essai, nous avons lentement progressé dans nos découvertes. Je me rappelle très bien la première fois qu’Annette s’est mise à genoux devant moi et a mis mon sexe dans sa bouche. Je revois son visage couvert des taches de rousseur et encadré de cheveux roux, son sourire, plus bas ses petits seins, mais surtout mon sexe entre ses lèvres. Nos premiers essais furent maladroits mais toujours agréables. Souvenirs…

Annette me prend dans sa bouche, sa langue s’active. La petite Annette a fait beaucoup de progrès depuis nos premiers essais. Je le sais. Elle le sait. J’en profite. Elle joue avec moi, m’avale profondément, me laisse ressortir, s’arrête quand elle craint une fin trop rapide, et toujours joue de la langue en experte. Plusieurs fois je crois jouir mais elle réussit à repousser le moment. Elle lèche mes bourses, lèche mon sexe, le reprend en bouche. Elle doit sentir quand je n’en peux plus car enfin elle me laisse me libérer. Je jouis dans sa bouche et elle accompagne chacun de mes jets de la langue puis avale. Annette a toujours avalé,  elle m’a dit qu’elle aimait cette sensation.

Après quelques autres jeux nous nous endormons cote à cote. Nous n’avons jamais fait l’amour, je n’ai jamais pénétré son ventre. Nous ne nous sommes jamais embrassé comme deux amants, bouches ouvertes et langues mêlées. C’est notre limite tacite. Cousin cousine. Cela faisait vingt ans que nous n’avions pas joué ainsi. Il a fallu un martinet.

jeudi 13 mars 2014

L'Olivier (9) - Les verres (où Julie prend une première fessée)

Mercredi soir, j’ai trouvé un verre par terre. Marie a donc pris sa fessée sous le regard toujours un peu surpris de Julie. Ce jeudi, quand je m’installe quelle n’est pas ma surprise de trouver de nouveau un verre sale dans le salon. C’est dans mon souvenir la première fois que je trouve un verre deux fois dans la même semaine. J’appelle Marie et lui montre l’objet du délit. Énervé par la situation, je ne fais pas attention à sa réaction et lui demande d’aller chercher sa brosse.

Quand elle revient et me tend la brosse, je remarque qu’elle tremble un peu. Je me dis qu’elle a bien raison et lui demande de se préparer sans attendre. Elle porte aujourd’hui une culotte en coton très ordinaire. Le bruit de la fessée attire Julie. Après la fessée traditionnelle, et donc les quelques gosses claques qui arrachent des cris et en font une « bonne fessée », je me saisis de la brosse.

— Marie, dis-je en donnant un premier coup

Un premier cri fait écho au claquement de la brosse.

— Tu vas apprendre

Le second coup, sur l’autre fesse arrache son cri.

— A ne pas laisser traîner

Marie cri de nouveau et se débat un peu.

— Des verres par terre.

Le quatrième coup fait lui aussi son effet. J’entends Julie réagir elle aussi par un « Non… »

— Deux jours de suite c’est trop et cela ne m’amuse pas.

Les deux derniers coups de brosses réduisent les cris à des sanglots. Je pense qu’elle retiendra la leçon et maîtrisera ses fantasmes. C’est alors que j’entends Julie.

— Oh non ! Marc c’est moi qui aie laissé traîner le verre. Marie, excuse-moi Marie.

Elle est tout agité et ne quitte pas des yeux les fesses de Maries qui sont maintenant légèrement marbrées, signe qu’elle va avoir du mal à s'asseoir pendant plusieurs jours. Marie finit pas se relever, les joues couvertes de larmes.

— Marie, comment me faire pardonner ? Marc, c’est moi qui méritais d’être punie.

Je la vois porter les mains au bouton qui ferme son pantalon. Je comprends immédiatement son intention et l’arrête.

— Julie, c’est trop tard maintenant. Marie a été punie, à toi de voir avec elle pour te faire pardonner.

Julie me regarde puis se tourne vers sa copine, toujours à moitié nue et qui se frotte les fesses.

— Marie, je mérite une fessée, tu acceptes de me la donner ? Ce serait injuste que je m’en tire sans rien.
— Allez donc discuter de cela dans vos chambres et laissez-moi lire.

Un peu plus tard ma lecture est interrompue par le bruit caractéristique d’une fessée venant de la chambre de Marie. Julie avait donc obtenu gain de cause.

Mon imagination vagabonde. Je vois la belle Julie nue en travers des jambes de Marie, assise sur le lit. Je vois sa superbe paire de fesses offerte aux claques sonores. Je vois ses seins nus pointant vers le sol et s’agitant au  rythme de la fessée. Après une brève pause, le son change de nature. Julie se fait vocale, pousse de petits cris et gémissements mais jamais ne se plaint. La brosse est entrée en action.

Beaucoup plus tard, vêtue d’une chemise de nuit sous laquelle je la devine nue, Julie vient s’excuser d’avoir laissé traîner ses affaires et me souhaite bonne nuit. Je lui souhaite moi aussi bonne nuit pensant que deux filles de ma connaissance vont dormir sur le ventre.

Le lendemain je constate que les deux copines ont choisi de se mettre en robe et ont bien du mal à s'asseoir sans grimacer légèrement.