Depuis une semaine je sors avec
Lucie. Pour l’instant, à part ma main caressant sa cuisse sous la table et
quelques baisers échangés, nous n’en sommes pas loin dans la découverte l’un de
l’autre. Mais le plus important c’est que je suis bien avec elle et qu’elle
passe tout son temps avec moi !
Cet après-midi nous nous sommes
promenés, main dans la main, dans le parc derrière chez elle et comme le
soleil baisse, je la raccompagne. Elle m’a invité à boire un coca, une bonne
raison pour rester ensemble encore un peu. Qui sait, elle va peut-être me
proposer de monter bavarder dans sa chambre ?
Nous passons dans la cuisine,
elle sort deux canettes du frigo et m’invite à la suivre dans le salon. Je suis
tout heureux à l’idée de m’asseoir à coté d’elle et pense déjà qu’elle va me
laisser la caresser un peu.
Soudain, comme nous franchissons
la porte, je la vois qui se fige. Je suis son regard et qu’elle n’est pas ma
surprise de voir sa petite sœur le nez dans un coin du salon et les mains sur
la tête. Julie n’est vêtue en tout et pour tout que d’un tee-shirt. Elle nous
expose une jolie paire de fesses nues et toutes rouges… A 14 ans elle a de bien
jolies fesses, telle est ma pensée à cet instant.
Je suis surpris qu’elle ne tourne
pas la tête. Mes yeux se sont fixés sur ce derrière nu, je sens que mon corps
réagit.
Lucie se dirige vers elle
lentement, semblant avoir oublié ma présence. Elle lui demande pourquoi elle a
été punie. Je comprends rapidement que ses parents ont retrouvé la maison en
désordre à leur retour du travail alors qu’ils avaient demandé à ce que tout
soit rangé et qu’une bonne fessée s’en est suivie.
Lucie se retourne et m’aperçoit.
Elle m’entraine rapidement hors de la pièce.
Comme je suis surpris par ce que je viens de voir, elle
m’explique que dans sa famille, les fessées sont fréquentes et que la punie
doit rester au coin sans bouger jusqu’au coucher pour que son exemple fasse
réfléchir les autres.
J’en déduis qu’elle aussi est
encore punie de temps à autre. A 16 ans cela me parait incroyable. Je la
regarde, son beau visage, sa poitrine ronde qui tend son tee-shirt et ses
fesses que j’ai tant envie de caresser… Voyant mon regard, elle sourit.
Je lui demande si elle aussi est encore
mise au coin, les fesses à l’air. Elle me répond : « Bien sur ».
Elle me dit que le plus dur c’est d’entendre du bruit dans le salon, de savoir
que quelqu’un la regarde peut être et de ne pas savoir qui. Se retourner, c’est
prendre le risque d’une seconde dose.
Nous sommes ainsi à bavarder dans
la cuisine quand sa mère entre. Elle me dit bonjour en souriant et regarde
Lucie.
« Vous êtes passés dans le
salon ?
--- Oui. »
--- Oui. »
Elle m’explique qu’elle en a
assez de tout faire avec des filles qui la regarde… DES filles…
« Tu étais bien là ce matin
avec ta sœur… »
Elle regarde Lucie qui baisse la
tête.
« Tu sais ce qui
t’attends… »
Elle écarte une chaise et
s’assoit en regardant sa fille.
« Allez, vient donc qu’on en
finisse. »
Lucie se lève, la regarde, me
regarde… Ne voulant pas ajouter à son embarras, je me lève et dit que je dois
partir. La mère de Lucie me dit de me rassoir et qu’il ne faut pas que je me
sente gêné, comme si c’était moi que cela gênait. Je me rassois donc. Mon regard est fixé sur Lucie. Une fessée, je me dis que je vais assister à une fessée, je n'arrive pas à y croire.
Lucie se dirige vers sa mère,
sans me regarder et je la vois porter ses mains au bouton de son pantalon. Elle
l’ouvre, baisse la fermeture puis le pantalon, découvrant une culotte bleue
claire. Le silence est total. Elle passe les doigts dans la ceinture de sa
culotte et la baisse, dévoilant sous mes yeux ébahis son sexe couvert d’une
toison brune bien dense. Je vois qu’elle rougit et moi aussi je rougis de la
regarder ainsi !
Elle se couche alors sur les
genoux de sa mère, offrant à mon regard ses deux fesses. Dès la première
claque, je comprends que ce n’est pas une fessée pour rire. Une marque rouge
apparaît là où la main a frappé. Quelques tapes plus tard, les fesses
commencent à être rouges. Lucie tend les jambes comme en réaction à la douleur,
elle ne pousse pas un cri ce qui me surprend un peu. La fessée continue et mon
regard ne peut pas se détacher des fesses qui s’enfoncent sous chaque claque.
Elles sont si belles, même ainsi. Lucie s’agite un peu et mon regard se porte
dans l’ombre entre ses jambes, sans voir grand chose.
Le temps semble s’être arrêté,
seule la main qui claque, les fesses qui rougissent et le bruit de la main qui
frappe existent. Puis la fessée s’arrête. Les fesses rouge vif doivent être
brulantes. Lucie se redresse lentement et va doucement se mettre au coin.
Sa mère se lève :
« Voila une bonne chose de faite ! Tu peux partir maintenant, je
crois que Lucie va retenir la leçon. »
Avec un dernier regard à ses
fesses, je quitte ma copine… pas certain du tout qu’elle acceptera de me
revoir.