La journée avait mal démarré avec deux professeurs absents, des élèves sur le dos et tout avait continuer à l’avenant. Il y a des jours comme cela, monsieur Lefebure, proviseur de l’Institut privé Saint Thomas, le savait bien.
Et voilà que Monsieur Dutillois, un parent d’élève, avait demandé à être reçu en urgence. Comment refuser alors que lors de la dernière réunion avec les parents il avait regretté leur manque d’implication dans les études de leurs enfants.
Monsieur Dutillois venait d’être annoncé par sa secrétaire et dans cette panique, il n’avait pas eu le temps de consulter le dossier, enfin…
— Entrez donc monsieur et asseyez vous. Que puis je pour vous ?
— Merci de m’avoir reçu aussi vite monsieur le proviseur. Dès que Dominique m’a appelé, j’ai compris que la situation était grave et que je devais vous rencontrer. Vous savez sans doute ce qui s’est passé lors du contrôle d’anglais…
— Je dois vous avouer que je n’ai pas eu le temps de me renseigner, mais vous allez m’expliquer. Que s’est-il donc passé de si grave ?
— Dominique a triché pendant le contrôle et bien sûr le surveillant s’en est rendu compte. Tricher à son âge, en terminale… On ne sait pas ce que les jeunes ont dans la tête ! Au téléphone Dominique m’a dit que tricher entraînait un zéro et deux jours d'expulsion et en plus que cela serait sur son dossier…
— Tricher à un contrôle, c’est effectivement sérieux. Nous sommes obliger de sévir, il en va de la réputation de notre école.
-- Oh, je ne vous reproche pas de sévir, bien au contraire. Mais je ne voudrais pas que cette ânerie risque d’avoir un effet sur la suite de ses étude en étant sur son dossier. Dominique m’a dit qu’avec l’accord des parents vous offriez une alternative disons plus cinglante à l’expulsion…
— Vous êtes effectivement bien renseigné. Si l’élève et les parents sont d’accord, une punition corporelle peut remplacer l’expulsion et laisser le dossier vierge.
— Vous pouvez m’en dire plus, Dominique m’a donné l’impression de ne pas savoir à quoi s’attendre et même que vous ne me proposeriez pas forcément cette alternative…
— Pour de la tricherie à un contrôle en terminale, c’est douze coups de canne. Cela peut paraître sévère mais n’est pas négociable.
— Douze coups sur les fesses je pense, je commence à comprendre l’inquiétude de Dominique. Je n’ai moi non plus pas l’intention d’épargner ses fesses quand nous rentrerons à la maison. Qui se charge de la punition ? Cela se passe comment ? Dominique est dans votre salle d’attente...
— C’est moi qui officie. Vous voyez cette chaise le long du mur ? L’élève la met au milieu du bureau puis retire ses vêtement pour dégager ses fesses. Enfin il se penche par dessus le dossier, saisit fermement l’assise et subit sa punition.
— Vous punissez toujours fesses nues ? Cela doit être un peu humiliant pour les élèves…
— Vous savez, l’humiliation au bout de deux coups de canne, elle sort de leur esprit. Moi j’ai besoin de bien voir ce que je fais pour ne pas être inutilement cruel en frappant deux fois au même endroit.
— Oui, je comprends. Je vous remercie pour ces explications. Si vous voulez bien, je vais annoncer à Dominique ce qui l’attend. Vous avez bien sûr mon accord. La punition aura lieu quand ?
— Si Dominique est dans la salle d’attente je peux faire cela tout de suite, au temps traiter le sujet à chaud non ?
— Oui, merci bien.
Le père se lève, ouvre la porte…
— Dominique, tu peux venir. Le proviseur est d’accord pour te donner la canne à la place d’une expulsion. Tu vois bien que tu n’avais pas à t'inquiéter…
Dominique entre dans le bureau, le proviseur pâlît et ouvre la bouche sans qu’un son en sorte…
— Merci monsieur, j’étais si inquiète. Il se disait dans les couloirs que les filles n’avaient pas les mêmes possibilités que les garçons ce qui aurait été injuste.
— Dominique, le proviseur s’est prononcé pour douze coups, fesses nues bien sûr. Je pense qu’il serait bon que tu lui confirmes ton accord.
— Euh, fesses nues ? … Oui, je suis d’accord.
— Parfait, la punition va avoir lieu tout de suite, tu vois la chaise là bas… Tu la mets au centre de la pièce.
Le père se retourne enfin vers le proviseur qui se remet lentement du choc. Une fille…
— Je vais vous laisser, et encore merci. Ma fille avait peur d’un comportement sexiste mais j'étais sûr que cela était dépassé de nos jours…
Le proviseur retrouve enfin la parole.
— Si vous le voulez bien je préférerais que vous restiez. Quand je punis une fille il me faut un témoin.
Monsieur Lefebure n’en revenait pas de ce qu’il venait de dire, comme si punir des filles était une banalité. Il avait l’impression de s’être fait manipuler mais ne voulait pas perdre la face. Dominique, la peste soit de ces prénoms ambigus. Cela allait être une première mais la Dominique allait regretter son choix… Hors de question que d’autres filles aient envie de faire ce choix. La peste soit des précédents…
— Mademoiselle, comme votre père vient de vous le dire, vous allez apporter cette chaise et la mettre au milieu du bureau.
— Bien monsieur.
— Parfait, maintenant vous retirer votre jupe et votre culotte et vous les posez bien pliées sur la chaise.
Le proviseur jette un coup d’oeil au père qui s’est installé à coté du bureau pour observer la scène. Quand son regard revint vers Dominique celle-ci a retiré sa jupe et la plie avant de la poser. Il ne peut s'empêcher d’apprécier la jolie paire de fesses encore cachée par la culotte en coton. Et justement Dominique retire délicatement cette culotte, dévoilant ses fesses et la pose sur la chaise. En revenant se positionner près du dossier, elle ne peut s’empêcher de poser sa main en bas de son ventre.
— En place.
Charmant spectacle, quand Dominique se penche, sa chemise remonte, dégageant complètement son derrière, pire encore, pour elle, sa taille l’oblige à écarter un peu les jambes pour que son ventre porte bien sur le dossier.
Le proviseur, détachant les yeux de ce tableau, va chercher la canne dans l’armoire et prend sans hésiter celle des grands. Pas de sexisme.
— Bon, nous allons commencer. Essaye de rester en place…
La canne tapote doucement pour que la bonnes distance soit trouvée puis le bras se lève et le coup claque. Un gémissement sort des lèvres de Dominique qui sert les dents. Une ligne rouge apparaît.
Au fil des coups suivant les fesses s’agitent de plus en plus, Dominique reprend bruyamment son souffle. Des belles lignes rouges parallèle démontrent l'habileté du proviseur.
Le huitième coup est le coup de trop pour la jeune fille. Il a claqué à la base des fesses là où la peau est sensible. Dominique pousse un cri et se relève, les mains sur les fesses. Elle se retourne et on voit les larmes qui ont coulé sur son joli visage. Pour la première fois elle expose son bas ventre, montrant qu’elle taille soigneusement sa toison intime. La pudeur n’est plus son souci.
— Mademoiselle, un peu de courage, plus que quatre. Remettez vous en position.
Voyant que sa fille est comme figée, le père s’agace.
— Dominique, arrête de me faire honte. A ton âge on sait supporter un peu de douleur…
Finalement elle reprends sa place. Cette fois si les jambes sont encore plus écartées, sans doute veut elle une position bien stable. Mais cette position dévoile sans pudeur la fente de son sexe. Le proviseur se force à regarder les fesses, maintenant toutes rouges et marquées de lignes gonflées. Il cherche un endroit entre deux lignes, il sait que les fesses sont maintenant extrêmement sensibles et que les derniers coups sont les pires.
Effectivement chaque coup arrache maintenant un cri. Dominique sert la chaise de toutes ses force pour ne pas se relever. Elle agite les fesses entre chaque coups.
Quand le dernier tombe accompagné d’un cri rauque, elle se relève et pose les mains sur ses fesses. Douleur, elles ne sont que douleur…
— Voilà qui est terminé mademoiselle. Vous pouvez vous rhabiller.
Elle remet délicatement sa culotte, faisant bien attention que l’élastique ne frotte pas la peau si sensible maintenant. La jupe suit.
— Dominique, remercie ton proviseur pour sa gentillesse et le temps que tu lui as fait perdre…
— Merci monsieur, je vous promets de ne jamais recommencer…
— Mais j’espère bien mademoiselle car la prochaine fois c’est l’expulsion, sans autre choix.
— Je vous remercie moi aussi. Je vous assure que je vais avoir avec elle une bonne discussion à la maison…
Après une poignée de mains, le proviseur les regarde sortir de son bureau. Une fille, il vient de punir une fille, fesses nues, mais quelle journée ! Il n’entends pas la suite de la conversation entre le père et sa fille.
— Alors Dominique, soulagé que le proviseur ait accepté ? Pas fâchée conte lui j’espère, même si tu as du te dénudée devant lui…
— Non, je t’avoue que cela a été un choc de savoir que j’allais devoir retirer ma culotte. Mais j’ai surtout été surprise par la tête qu’il a fait quand je suis entrée, comme s’il découvrait soudain que j’étais une fille… Tu as pourtant du lui expliquer.
— Lui expliquer ? Non, mais il devait bien le savoir..; Quoique… Cela expliquerait bien des choses, j’avoue avoir été surpris qu’il te punisse lui même. Enfin, rien de grave. Retourne en cours, Nous discuterons ce soir de ton comportement…
Sur ce, le père quitta sa fille qui ne savait pas trop à quoi penser. A la honte d’avoir montré ses fesses et le reste au proviseur. A la difficulté qu’elle allait avoir pour s'asseoir dans les cours suivant sans trop faire comprendre ce qui lui était arrivé sous peine de moqueries. A son retour à la maison… Mais cela elle voulait le chasser de ses pensées.