samedi 17 mai 2014

La honte - Fessée et humiliée en public

J’ai passé une très mauvaise nuit.

Je pense que la prochaine sera pire.

J’ai retourné le problème dans tous les sens. Je suis coincée. Je n’ai pas vraiment beaucoup de choix. A quelques mois des examens j’ai du mal à m’imaginer mise à la porte du lycée.

Mise à la porte, tout cela pour un instant de folie. C’est pourtant ce qui m’attend s’il porte plainte. Tout est contre moi.

La scène, je l’ai rejouée dans ma tête toute la nuit.

Cela avait commencé par une discussion entre copines. Aline était furieuse car un gars avait soulevé sa jupe en pleine cour, devant ses copains lui mettant la honte. Elle n’était pas la première à qui cela arrivait, c’était leur nouveau jeu défi. Une fille avait même eu la culotte à moitié baissée avant d’avoir le temps de réagir.

Une fille de la bande a eu cette phrase : « Ils mériteraient que l’on fasse pareil ! ».  Tout le monde était d’accord, mais c’était moins simple avec les gars qu’avec les filles.

A un détour de couloir, j’ai vu Antoine à quelques pas devant nous. Il portait un bas de survêtement. Je ne sais pas ce qui m’a prise. Sûrement un coup de folie.

Je ne suis approchée de lui et d’un geste énergique j’ai attrapé la ceinture et tout baissé. Je n’ai pas fait exprès de prendre son slip en même temps mais tout est descendu. Jolies fesses ! Quand il s’est retourné en poussant un cri, il nous a montré sa queue puis a bien vite posé une main dessus. Ses gesticulations pour remonter son pantalon d’une main ont fait rire toutes les filles.

Le silence s’est fait quand un surveillant a demandé ce qui se passait, puis comprenant la situation il a demandé qui avait fait cela. Antoine était rouge de honte et finissait de cacher ses fesses. Bien sûr personne n’a répondu.

Cela aurait du en rester là, mais Antoine ne l’entend pas comme cela. Il est en passe de devenir la risée des autres, le premier garçon a se retrouver mis à nu par les filles. Il faut reconnaître que les filles se moquent toutes de lui, heureuses de tenir leur vengeance.

Moi je me repasse la scène dans la tête. Je revois ses fesses musclées puis son sexe à quelques centimètres de moi quand il s’était retourné. Je suis devenue très populaire.

Mais Antoine s’est dirigé vers moi à la cantine. Les autres se sont écartés en souriant. Il m’a mis un marché entre les mains, si je refuse il me dénonce. Je suis devenue toute pâle. Le directeur avait été clair car le bruit que des filles étaient agressées était parvenu à ses oreilles : toute tentative d’humilier un camarade serait sanctionnée d’une expulsion immédiate.

J’ai donc passé une mauvaise nuit.

Aujourd’hui je porte une jupe assez courte et un tee-shirt qui met ma silhouette en valeur. Pendant les deux premiers cours je n’ai pas trop écouté les profs, toute à mes pensées et jouant nerveusement avec l’ourlet de ma jupe. A ma tête les autres ont compris que quelque chose se trame.

La sonnerie retentit qui marque le début de la pause de dix heures. Je me lève sans trop regarder autour de moi et me dirige à travers la cour de récréation vers le bâtiment du foyer des élèves. Je sais qu’Antoine m’y attend.

Je rentre et le silence se fait, surprenant dans ce lieu. Tous les regards sont braqués vers moi.

Je me dirige vers Antoine, tout le monde s’écarte sur mon passage mais je ne vois que lui qui écarte sa chaise de la table et a un petit sourire.

Je m’arrête à deux pas de la chaise. Il ne dit rien. Du coin des yeux je vois qu’un large cercle se fait autour de nous. Il se tait mais me désigne ses genoux. Obéissante car je n’ai pas le choix, je m’étend en travers de ses jambes. Un murmure marque ce premier pas et sans doute le fait que ma jupe remonte, collant à mes fesses et dégageant le haut de mes  cuisses.

Antoine me donne quelques tapes sur les fesses, juste symboliques, comme pour tester ma soumission. J’essaye de respirer doucement, mes nerfs sont tendus et je ne veux pas éclater en sanglots.

Il remonte alors ma jupe, dégageant mes fesses et montant à tous le tanga en dentelles que j’ai choisi pour être au moins à mon avantage.

Il commence alors à me fesser avec un peu plus d’énergie. Il ne me fait pas vraiment mal mais je sens mes fesses qui chauffent. Entre les tapes il garde sa main posée sur moi, me caressant doucement. Je sais qu’il joue avec moi.

Il fait une nouvelle pause et je m’attends à ce qu’il me déculotte mais au contraire, ses mains se saisissent de l’ourlet de mon tee-shirt qu’il remonte. Le tee-shirt glisse entre ses cuisses et mon ventre, je sens l’air froid sur mon dos. Soumise, je le laisse me le retirer complètement et il finit en tas, par terre, sous mes yeux. Il détache alors délicatement mon soutien-gorge et celui-ci rejoint le tee-shirt. Je le laisse faire, ramenant mes bras sur mes cotés pour cacher un peu mes seins. Je sais que tant que je suis couchée comme cela, personne ne voit grand chose mais c’est tout de même la honte.

Je ne peux pas n'empêcher de regarder sur le coté et je vois que l’assistance à les yeux braqués sur moi. Les expressions sont très diverses, de celles qui semblent choquées à ceux qui se délectent visiblement.

La fessée reprend doucement, j’ai compris qu’elle n’est qu’un prétexte. Je préférerais qu’il frappe de toutes ses forces et que la douleur me fasse oublier la honte.

Le moment que je redoute le plus finit par arriver. Il retire ma jupe puis baisse doucement ma culotte. Je sers les jambes pour en montrer le moins possible. Je me suis regardée hier dans une glace, je sais que malgré mes efforts mon sexe est visible entre mes cuisses.

La fessée reprend.

Soudain je sens que sa main s’est posée sur ma cuisse au lieu de me caresser les fesses. Tout en caressant la zone si sensible à l’intérieur des cuisses, il appuie doucement et mes cuisses s’écartent. Il continue de me caresser et à ma plus grande honte je sens mon corps réagir.

Quelque grosses claques sur mes fesses me prennent alors par surprise et m’arrachent un cri. Il n’a pas fait semblant.

Il me redresse alors, debout et nue. Mon réflexe est de porter mes mains sur mes fesses qui me cuisent. Je mets un temps avant de réagir et de constater que je suis devant tout le monde et que je montre ce que j’ai toujours appris à cacher : mes seins et plus bas mon sexe rasé car c’est la mode.

Antoine se lève lui aussi, il prend mes mains, m'empêchant de me couvrir, et me dit en souriant que je suis pardonnée.