On sent une certaine tension dans la voix de mademoiselle Tamir,
notre professeur de SVT. En ce jour de remise des copies avec les résultats de
notre contrôle de mi-trimestre, nous savons tous et toutes que certains auront
mal aux mains avant bien longtemps... Il faut dire que dans notre école privée,
la sanction pour les mauvaises notes c’est le plus souvent des coups de lanière
sur la paume de la main ouverte...
Dès le début du cours, la prof a décroché la lanière la plus
épaisse, celle utilisée pour les « grands contrôles », et l’a posée
sur le bureau. Tous les élèves sont silencieux, assis à leur place dans
l’uniforme de l’établissement, pantalon gris et chemise blanche pour les
garçons, jupe plissée et chemisier blanc pour les filles.
La distribution des copies commence, chacun à l’appel de son nom
monte sur l’estrade apprendre sa note et prendre sa copie. Selon l’usage, la
prof commence par les meilleures copies et félicite les bons élèves pendant que
la pression monte. La barre fatidique de dix approche et je suis soulagé d’être
enfin appelé, onze ce n’est pas terrible mais un regard sur la lanière me
suffit pour être heureux... Je me souviens du jour où j’ai eu sept et reçu
trois coups sur la paume de ma main gauche... la douleur et surtout la difficulté
croissante à tendre la main pour le coup suivant. Quand la prof se saisit de la
lanière il reste encore six élèves qui n’ont pas leur copie et les regards se
tournent surtout vers Marie qui est toute tremblante et inquiète, c’est
habituellement une bonne élève.
Simon est le premier appelé. Neuf, un coup, il tend la main, le
coup claque, il sert les dents et retourne à sa place. Puis Elodie et Franck
prennent courageusement leurs deux coups. Marie est toute blanche et Marion à
coté d’elle n’en mène pas large non plus... Thomas est appelé, avec son six il
hérite de quatre coups de lanière, pour le quatrième coup sa main tremble et
tous se demandent s’il va avoir la honte de la retirer, mais il résiste et
retourne à sa place en se frottant la main.
Mademoiselle Tamir, à notre grande surprise pose la lanière et
appelle en même temps Marie et Marion. Elles montent toutes deux sur l’estrade.
La prof regarde les copies qui sont posées devant elle sur le bureau.
« Excellentes copies mesdemoiselles... mais j’ai une
question... laquelle d’entre vous a copié sur l’autre ? »
On entendrait une mouche voler. Tout le monde regarde Marion tant
la réponse semble évidente. Elle a osé tricher à un contrôle ! Et elle
s’est fait prendre ! Je n’ose même pas imaginer la punition pour pareil
forfait... Certains ont été punis de coups de lanières sur leur culotte, devant
tout le monde, pour des fautes qui semblent moins graves.
Marion : « C’est moi mademoiselle... » Sa voix
n’est qu’un chuchotement tremblant.
La prof se retourne alors vers Marie. « Vous allez donc
garder le bénéfice de votre quinze, mais je sais très bien que vous avez laissé
votre copie bien visible pour aidée votre copine, cela mérite une punition...
adaptée. Penchez-vous et posez les mains à plat sur le tableau. »
Marie s’exécute et présente son derrière à la classe, la jupe est
un peu remontée et lui dévoile la moitié des cuisses. Elle a le dos bien à
plat. Mademoiselle Tamir a repris la lanière en main.
« Marie, vous qui aimez regarder ce que Marion devrait cacher,
dégagez donc ses fesses ! »
Marion reste immobile, sans comprendre... La prof reprend :
« Relevez sa jupe sur son dos ! » Marie émet un
« non » mais la prof lui demande de se taire. Marion prend le bas de
la jupe et le relève lentement, nous dévoilant un beau fessier dans une sage
culotte bleue comme le veut le règlement. Le silence est total.
« Baissez sa culotte maintenant ! » Nous sommes
abasourdis. Marion lève la tête vers la prof... « Plus vite, vous avez
très bien entendu et cela va servir de leçon à tous ceux qui veulent aider les
tricheurs ! » Marion baisse la culotte de sa copine, le moins
possible, en dégageant deux belles fesses rondes. La culotte est restée en haut
des cuisses, protégeant un peu la pudeur de Marie.
Mademoiselle Tamir abat alors la lanière qui laisse une trace
rouge sur les fesses si blanches de Marie. Celle-ci subit le plus dignement
possible une douzaine de coups qui marquent tout son fessier. Nous remuons sur
nos chaises, voire une copine se faire ainsi fesser, cul nu devant la classe,
est un spectacle incroyable. Chaque coup claque et la lanière s’enfonce puis
une marque rose puis rouge se forme. Marie garde les jambes bien serrées mais
le spectacle de ses deux fesses bien rondes qu’elle agite sous nos yeux me
donne une solide érection... et je ne dois pas être le seul.
Quand la punition est finie la prof lui dit de se relever et de
remonter sa culotte. Nous voyons qu’elle a les yeux tout rouges et qu’une larme
a coulé sur une de ses joues. Elle retourne lentement à sa place, sans regarder
personne et s’assoit délicatement.
Tous les regards se portent alors sur Marion, seule debout devant
nous qui croise et décroise ses doigts. La prof la regarde, presque tristement.
« J’ai discuté avec le directeur... Votre comportement est inacceptable
et déshonore toute l’école. Vous avez bien de la chance que nous ayons décidé
de ne pas vous renvoyer ! Mais je vous assure que vous allez regretter
votre comportement ! »
Marion est toute blanche, elle vient de voir Marie montrer ses
fesses à toute la classe rien que pour lui avoir laissé regarder sa copie...
Elle se doute bien que son sort ne sera pas enviable !
« Puisque vous ne respecter pas l’école, vous n’aurez plus
le droit d’en porter l’uniforme tant que vous n’aurez pas fait montre de travail
et de repentir. »
Marion la regarde, craignant de trop bien comprendre...
« Retirez-le tout de suite, avant de m’énerver encore plus ! »
De ses doigts tremblants, Marion défait un à un les boutons de
son chemisier puis l’ouvre et le retire. Se faisant elle nous dévoile lentement
sa poitrine, couverte d’un soutien-gorge en dentelles blanches. Tout le haut de
ses seins est découvert et mon regard plonge dans le sillon qui les sépare. Il
faut reconnaitre qu’elle a de beaux seins ronds !
Puis elle déboutonne sa jupe, baisse la fermeture et la retire. Sa culotte
assortie à son haut n’est pas très réglementaire... mais se n’est pas ce qui me
vient à l’esprit ! Je regarde le bombement de son sexe et ses poils de
brune dont on devine l’ombre par transparence. Elle essaye de garder contenance
pendant que la prof pose ses vêtements sur le bureau.
« Les mains sur le tableau ! » Marion prend la
même position que Marie... et nous attendons tous le moment où ses fesses
seront dénudées... Mademoiselle Tamir se place a coté d’elle et se saisit de la culotte. D’en geste
énergique elle la descend jusqu’au sol et lui retire complètement, l’obligeant
à lever les pieds.
Les fesses de Marion sont moins amples que celles de Marie, sa
peau est plus mate. Mon regard se perd dans l’ombre entre ses cuisses là où la
raie des fesses disparaît au profit de la fente du sexe que j’aperçois.
La prof se saisit de la lanière et entreprend une punition
magistrale. Les fesses se couvrent de lignes rouges et rapidement Marion
s’agite et gémit. En réponse à un coup plus appuyé, elle ne peut pas résister
et se relève en posant ses mains sur ses fesses. Mademoiselle Tamir lui cingle
le milieu des cuisses en lui disant de reprendre la position.
Marion s’efforce d’obéir, ses jambes sont maintenant un peu
écartées nous dévoilant ses trésors cachés. La punition continue et Marion
écarte encore les jambes pour mieux tenir en place, toute pudeur oubliée. Cela
a le don d’énerver la prof : « Vous devriez avoir honte de vous
exhiber ainsi ! » Les coups cessent. Marion se redresse, ses fesses
et le haut de ses cuisses sont écarlates et zébrées de traces plus sombres.
« Retirez donc le haut si vous n’en voulez pas une autre
dose ! » Marion s’exécute et son haut rejoint le reste de ses vêtements
sur le bureau. « Retournez vous asseoir et que cela serve de leçon à ceux
qui seraient tentés ! » Marion regarde la prof puis comprend que
c’est nue qu’elle va devoir suivre la fin du cours. Quand elle se retourne nous
découvrons son sexe couvert par une épaisse fourrure de brune, bien taillée, et
ses seins qui pointent avec l’orgueil de la jeunesse. Son visage
est couvert de larmes et elle les essuie un peu d’un revers de main.