Je finis ma journée, heureux de pouvoir bientôt rentrer chez moi et pendant quelques heures penser à autre chose qu’à la gestion de cette école.
Je vous assure qu’être Directeur ce n’est pas une fonction de tout repos. Il faut gérer l’administration, les enseignants, les élèves et pire encore les parents. Dès qu’un de leurs petits anges, qui en fait sont parfois de vrais démons, a un problème, ils débarquent dans mon bureau.
Je m’apprête donc à ranger mes affaire quand on frappe à ma porte. Pensant qu’il s’agissait d’un professeur je crie d’entrer, sans même regarder vers la porte. La porte s’ouvre, mais un silence suit. Je me retourne.
J’ai la surprise de voir une jeune fille que je ne connais pas et qui semble gênée. Jean blanc moulant, tee-shirt noir, charmant spectacle comme j’en ai rarement dans ce bureau, je lui demande avec un sourire:
— Que puis-je pour vous mademoiselle ?
Elle me regarde, semble hésiter puis me tend un papier. Je m’en saisi et le lit. Ce n’est qu’un mot bien classique que madame Lepic, qui enseigne l’histoire, a adressé aux parents d’un élève. Devoir pas rendu, cahier oublié, le jeune Thibaud a une fois de trop agacé sa professeur. Il s’est vu remettre une note à faire signer par les parents, leur signalant que leur fils a une fois encore oublié de faire son travail et leur demandant quel est leur choix : une journée d’exclusion qui figurera dans son dossier ou une passage chez le Directeur pour trois bons coups de canne.
Le plus souvent les parents choisissent la canne. Les élèves le savent très bien et cela les rend consciencieux. Parfois les parents débarquent dans mon bureau espérant m’attendrir, c’est rarement le cas.
— Je ne pense pas que vous êtes la mère du jeune Thibaud…
— Non monsieur, je suis sa soeur aînée, c’est moi qui le garde actuellement, nos parents ayant pris quelques jours de vacances. A dix neuf ans ils me font confiance.
— Et donc vous venez essayer de tirer votre frère du mauvais pas où il s’est mis ? Vous pensez que ne pas faire son travail ce n’est pas si grave ? Que la canne n’est pas méritée ?
Je la sens gênée.
— Oh, monsieur, je sais que faire son travail s’est important. Mais il l’avait fait. C’est juste qu’il n’a pas pu l’apporter.
— Je pense que cela lui servira de leçon. La prochaine fois il fera plus attention à ne rien oublier à la maison. Sans compter que ce n’est pas la première fois, sinon il n’aurait eu qu’un avertissement. Mais il a déjà eu un avertissement et cela n’a pas suffi.
— Je vous assure que l’avertissement a été pris au sérieux, d’autant plus que papa c’est chargé de faire en sorte que ce soit le cas. Mais là, ce n’était pas de sa faute.
— Comment cela, pas de sa faute ? C’est tout de même bien lui qui n’a pas rendu son travail.
— C’est à cause de moi.
Elle a du mal à me regarder en disant cela.
— A cause de vous ?
— Oui, ce matin j’étais en retard pour partir à la fac et quand j’ai rassemblé mes affaires j’ai pris son devoir par erreur. Je vous assure qu’il a cherché partout avant de partir.
— Et donc vous venez me voir pour que je l’épargne et qu’il ne paye pas pour votre faute…
— Exactement, je ne voudrai pas qu’il soit puni à ma place.
Je la regarde et une idée me passe par la tête. Une idée que je ne devrais pas avoir mais que sa dernière phrase a fait jaillir.
— Donc c’est vous qui devriez être punie et vous avez du mal à signer un mot condamnant votre frère à trois bons coups de canne.
— Oui monsieur, cela ne me parait pas juste, je vois que vous me comprenez.
— J’ai une proposition à vous faire mais je ne suis pas sûr qu’elle vous plaise.
Je viens de capter toute son attention.
— Puisque c’est vous la coupable, je vous propose de recevoir les trois coups de canne. Cela règlerait la question. Et je crois que cela vous ferait le plus grand bien. A votre âge on prépare ses affaires à l’avance. Qu’en pensez-vous ?
Elle regarde. La surprise se lit dans ses yeux puis la réflexion. Enfin elle arrive à la conclusion que j’espérais.
— C’est d’accord.
— Bon, alors je pense que vous connaissez la musique, vous avez déjà dû faire cette expérience. Mettez vous en place, penchée sur cette chaise pendant que je vais chercher mon adjoint. Il ne me parait pas correct de vous donner la canne sans témoin.
Je sors et vais dans le couloir. Je sais que mon adjoint n’est certainement pas encore parti. Il est très surpris par mes explications mais accepte avec empressement de m’aider.
Nous retournons dans mon bureau et là, c’est moi qui n’en crois pas mes yeux. Elle a retiré son jean et baissé sa culotte. C’est une jolie paire de fesses qui s’offre à nos regards. La canne est toujours donnée sur le pantalon dans notre école. Lui dire risque de la gêner alors autant ne pas le faire.
— Je vois que vous êtes prête mademoiselle.
— Oui monsieur.
— Alors je ne vais pas vous faire attendre.
Sur ce j’ai été prendre la canne et je lui ai donné trois bons coups qui ont laissé trois belles marques sur son derrière. Elle a gardé la position, n’a pas crié, mais à sa tension après chaque coup il était clair qu’elle les sentait passer.
Elle s’est ensuite rhabillée, nous nous sommes salués et elle est partie. Mon adjoint et moi nous sommes regardés. Une expérience pareille cela n’arrive pas deux fois dans une carrière.
— Non monsieur, je suis sa soeur aînée, c’est moi qui le garde actuellement, nos parents ayant pris quelques jours de vacances. A dix neuf ans ils me font confiance.
— Et donc vous venez essayer de tirer votre frère du mauvais pas où il s’est mis ? Vous pensez que ne pas faire son travail ce n’est pas si grave ? Que la canne n’est pas méritée ?
Je la sens gênée.
— Oh, monsieur, je sais que faire son travail s’est important. Mais il l’avait fait. C’est juste qu’il n’a pas pu l’apporter.
— Je pense que cela lui servira de leçon. La prochaine fois il fera plus attention à ne rien oublier à la maison. Sans compter que ce n’est pas la première fois, sinon il n’aurait eu qu’un avertissement. Mais il a déjà eu un avertissement et cela n’a pas suffi.
— Je vous assure que l’avertissement a été pris au sérieux, d’autant plus que papa c’est chargé de faire en sorte que ce soit le cas. Mais là, ce n’était pas de sa faute.
— Comment cela, pas de sa faute ? C’est tout de même bien lui qui n’a pas rendu son travail.
— C’est à cause de moi.
Elle a du mal à me regarder en disant cela.
— A cause de vous ?
— Oui, ce matin j’étais en retard pour partir à la fac et quand j’ai rassemblé mes affaires j’ai pris son devoir par erreur. Je vous assure qu’il a cherché partout avant de partir.
— Et donc vous venez me voir pour que je l’épargne et qu’il ne paye pas pour votre faute…
— Exactement, je ne voudrai pas qu’il soit puni à ma place.
Je la regarde et une idée me passe par la tête. Une idée que je ne devrais pas avoir mais que sa dernière phrase a fait jaillir.
— Donc c’est vous qui devriez être punie et vous avez du mal à signer un mot condamnant votre frère à trois bons coups de canne.
— Oui monsieur, cela ne me parait pas juste, je vois que vous me comprenez.
— J’ai une proposition à vous faire mais je ne suis pas sûr qu’elle vous plaise.
Je viens de capter toute son attention.
— Puisque c’est vous la coupable, je vous propose de recevoir les trois coups de canne. Cela règlerait la question. Et je crois que cela vous ferait le plus grand bien. A votre âge on prépare ses affaires à l’avance. Qu’en pensez-vous ?
Elle regarde. La surprise se lit dans ses yeux puis la réflexion. Enfin elle arrive à la conclusion que j’espérais.
— C’est d’accord.
— Bon, alors je pense que vous connaissez la musique, vous avez déjà dû faire cette expérience. Mettez vous en place, penchée sur cette chaise pendant que je vais chercher mon adjoint. Il ne me parait pas correct de vous donner la canne sans témoin.
Je sors et vais dans le couloir. Je sais que mon adjoint n’est certainement pas encore parti. Il est très surpris par mes explications mais accepte avec empressement de m’aider.
Nous retournons dans mon bureau et là, c’est moi qui n’en crois pas mes yeux. Elle a retiré son jean et baissé sa culotte. C’est une jolie paire de fesses qui s’offre à nos regards. La canne est toujours donnée sur le pantalon dans notre école. Lui dire risque de la gêner alors autant ne pas le faire.
— Je vois que vous êtes prête mademoiselle.
— Oui monsieur.
— Alors je ne vais pas vous faire attendre.
Sur ce j’ai été prendre la canne et je lui ai donné trois bons coups qui ont laissé trois belles marques sur son derrière. Elle a gardé la position, n’a pas crié, mais à sa tension après chaque coup il était clair qu’elle les sentait passer.
Elle s’est ensuite rhabillée, nous nous sommes salués et elle est partie. Mon adjoint et moi nous sommes regardés. Une expérience pareille cela n’arrive pas deux fois dans une carrière.